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Terre de liens normandie - convertisseur

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Manger (juste) local n'est pas forcément meilleur pour l'environnement Nourriture locale ne rime pas forcément avec impact moindre sur l’environnement, rappelle le Commissariat général au développement durable (CGDD) dans son note parue en mars dernier. Il existe peu d'études sur le sujet. Mais on sait que si les distances parcourues par les aliments entre producteur et consommateur sont certes petites, la consommation d’énergie et les émissions de gaz à effet de serre ne sont pas pour autant plus faibles. Car ces gaz (CO2, méthane, vapeur d’eau) sont pour moitié émis lors de la phase de production agricole. -> voir aussi l'avis de l'Ademe sur les circuits courts alimentaires de proximité, paru en avril 2012

La jardinière qui voulait protéger nos semences Du fond de son jardin, Nathanaelle lutte contre les géants de l'agro-industrie. Cette ancienne citadine s'est lancée dans la préservation de variétés de légumes anciens afin de protéger la biodiversité et favoriser notre autonomie alimentaire. Nathanaelle est entrée en résistance. Son combat, elle le mène binette à la main du fond de son jardin, à Neuvy-deux-clochers, village de 400 habitants dans le Sancerrois. La jardinière s’insurge contre la standardisation des légumes et la prolifération de variétés dégénérescentes (qui ne peuvent pas être replantées d’une année sur l’autre) mises en vente par les multinationales comme Monsanto ou Syngenta. Mais elle ne se contente pas de protester contre les dégâts causés par les géants de l’agro-industrie sur la biodiversité. « Je ne me bas pas contre Monsanto. Des semences hors-la-loi Récolte du jour : petits pois violet et cassis. Un acte politique Ainsi, pour cette ancienne citadine, la passion des tomates est devenu un « acte politique ».

Jardinons ensemble ! Des chèvres tondeuses à Morlaix (29) : la SNCF tente l'écopâturage Cela fait près de trois semaines que quatorze chèvres alpines ont pris leurs quartiers sur des parcelles pentues qui jouxtent les venelles menant au premier étage du viaduc. Leur propriétaire ? L'entreprise d'écopâturage, Danved & Co, créée en février 2012 et implantée à Rosporden. « Les quadrupèdes accèdent sans difficulté à des zones où il est compliqué, voire dangereux de faire réaliser un débroussaillage mécanique par des hommes, souligne leur propriétaire. Des chèvres de réforme promises à l'abattoir Sur les terrains à forte pente qui caractérisent la ville, l'expérience, encore en cours, s'annonce pour le moins prometteuse. Herbes, ronces, orties, lierre et autres végétaux ne résistent pas à la dizaine de biquettes qui revient de loin. « Réformées de l'industrie laitière car elles ne produisaient plus ou pas assez, elles étaient toutes promises à l'abattoir.

Via campesina : 200 millions de paysans s'unissent pour une autre agriculture - Alternative Qui aurait prédit, il y a vingt ans, qu’un collectif de paysans deviendrait le plus grand mouvement social international ? Dans les années 1990, alors que triomphe l’agro-industrie, menaçant les petits agriculteurs de disparition, la Via campesina (la voie paysanne, en espagnol) relève le défi de défendre un autre modèle. Représentant plus de 200 millions d’agriculteurs dans 79 pays, le mouvement est parvenu à faire reconnaître au plus haut niveau la justesse de ses luttes, pour la souveraineté alimentaire des peuples et la promotion des semences paysannes, contre l’accaparement des terres ou la violence subie par les femmes. Une onde d’émotion parcourt l’arène du Padepokan Pencak silat Indonesia, ce 12 juin 2013. Pour la première fois en vingt ans d’existence, l’organe de pilotage de la Via campesina s’installe en Afrique [1], et sous la responsabilité d’une femme. « Un véritable mouvement, pas un simple forum » En première ligne face au système capitaliste Texte et photos : Patrick Piro

Film « Vers une restauration collective bonne, propre et juste » Le film « Vers une restauration collective bonne, propre et juste – produits frais et bonnes pratiques » présente le portrait de deux chefs de cuisine de restauration scolaire dont les pratiques sont remarquables à bien des égards, André Parra et Dominique Valadier. Parmi les bonnes pratiques mises en œuvre par ces deux cuisiniers on retrouve l’utilisation de produits frais, bruts, de saison, en provenance de producteurs locaux et en partie issus de l’agriculture biologique. Ils brisent ainsi certaines idées préconçues sur la restauration collective et donnent de nombreuses pistes permettant de tendre vers une cuisine gastronomique en collectivité. L’éducation au goût est aussi une dimension abordée dans ce document (présentation des plats, gestion des déchets, sensibilisation des professeurs et des élèves, etc.). Bref, une voie vers une restauration collective bonne, propre et juste ! André Parra travaille au lycée Paul Héraut de Gap dans les Hautes-Alpes. Slow Food vvv

A food desert in paradise: Solving Hawaii’s fresh vegetable problem Sam Kalalau, a Native Hawaiian who lives in the isolated, rural town of Hana on Maui’s eastern edge, has a dream for his people, many of whom suffer from chronic conditions with dietary links such as obesity, diabetes, and hypertension. Hana is known mostly for its lushness, postcard-perfect beaches, and spectacular oceans views, and less so for its fertile fields. But this produce whisperer helps run Hana Fresh Farm, a seven-acre, certified organic farm situated on a gentle slope and filled with tropical fruit trees, heirloom greens, and fragrant herbs. The 60-year-old also seeks to educate locals and visitors alike about the health benefits of homegrown foods like avocado and papaya over the canned and processed goods transported from the mainland. For local residents, many of whom are Native Hawaiians, Hana Fresh offers one-stop wellness shopping. Hana Fresh Farm’s executive director, Cheryl Vasconcellos, is in the front row, center. But people live here too.

Vente directe du producteur au consommateur (1/3) : l'AMAP au banc d'essai Face aux scandales alimentaires à répétition, les Français éprouvent de plus en plus le besoin de savoir ce qu'ils ont dans leur assiette. Selon une étude récente de 60 millions de consommateurs et de Mediaprism, plus de quatre consommateurs sur cinq font attention au caractère naturel des produits qu'ils achètent, et ils sont plus d'un sur deux à considérer désormais que le bio est une tendance pérenne. Les principaux responsables de ce changement de mentalité? Les industriels se retrouvent au premier rang des responsables de la malbouffe, mais pas seulement. Les consommateurs reconnaissent volontiers qu'en se tournant de plus en plus vers le prêt à consommer pas cher, ils participent au système. Du coup pour éviter de se retrouver avec son chariot au supermarché du coin sans trop savoir ce que vous allez mettre dedans, vous pouvez vous tourner vers cette solution alternative qu'on appelle les circuits courts. Il en existe beaucoup. L'Amap, le plus médiatisé des circuits courts

Kokopelli La récolte de la luzerne en foin - ArvalisTv ArvalisTv ARVALIS tv est la web tv de ARVALIS – Institut du végétal ainsi qu’une chaîne thématique de TerreTv. Ce média moderne s’adresse avant tout aux professionnels des filières agricoles et propose une nouvelle façon de découvrir des informations sur les grandes cultures. Il intéressera tout autant le monde de l’enseignement agricole. ARVALIS TV propose divers sujets techniques et économiques et traite d’agronomie, d’environnement, de conduite des cultures, de marchés agricoles, débouchés et qualité des productions. ARVALIS TV assure une qualité d'image pour tout le monde. ARVALIS tv est une webTv en perpétuelle évolution, à l’écoute de vos envies et de vos propositions, et qui n'a de cesse de vous offrir encore plus de programmes de qualité. A propos d’ARVALIS - Institut du végétal ARVALIS – Institut du végétal est un organisme de recherche appliquée agricole. Infos pratiques :

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