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André Gide

André Gide
Pour les articles homonymes, voir Gide. Œuvres principales André Gide, est un écrivain français, né à Paris 6e le et mort à Paris 7e le [1]. Il écrit, notamment Paludes et, après la mort libératrice de sa mère, épouse sa cousine Madeleine et achève Les Nourritures terrestres, dont le lyrisme est salué par une partie de la critique à sa parution en 1897. Son œuvre trouve ensuite un nouveau souffle avec la découverte des réalités du monde auxquelles il est confronté. En 1940, accablé par les circonstances, il abandonne la NRF et quasiment l'écriture en se repliant sur la Côte d'Azur, puis en Afrique du Nord durant la guerre. Biographie[modifier | modifier le code] L’enfance[modifier | modifier le code] Paul Guillaume André Gide naît le à Paris. À Paris, les Gide habitent successivement rue de Médicis puis rue de Tournon (à partir de 1875), à proximité du jardin du Luxembourg. Le jeune André commence très tôt l'apprentissage du piano, qui sera pour lui le compagnon de toute une vie. Related:  Russologues, soviétologuesAudiolivres, lectrices, lecteursLittérature du XXe

Retour de l'U.R.S.S. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Retour de l'U.R.S.S. est un récit de voyage d'André Gide publié en novembre 1936 aux éditions Gallimard. Gide publie Retouches à mon « Retour de l'U.R.S.S. » en juin 1937 qui se veut une réponse aux critiques et aux injures[1] dont il a été victime à la suite de la parution de Retour de l'U.R.S.S. Contexte[modifier | modifier le code] Au début des années 1930, André Gide s'intéresse au communisme et s'enthousiasme pour l'expérience soviétique. Il est particulièrement actif dans diverses cercles antifascistes[2]. Arrivé le 14 juin 1936 à Moscou, quatre jours avant les funérailles de Maxime Gorki[3], André Gide prononce le 18 juin sur la place Rouge un éloge funèbre de l'écrivain officiel du régime[4]. Il rend visite entre autres à Nikolaï Ostrovski et ne cache pas l'admiration que suscite en lui la personnalité du jeune écrivain[5]. Ses illusions tombent : au lieu de l’homme nouveau, il ne trouve que le totalitarisme. Retour de l'U.R.S.S.

Pierre-François Garel - comédien et lecteur de livres audio Pierre-François Garel commence sa formation théâtrale au CNR de Rennes. En 2006, il entre au CNSAD où il suit l'enseignement de Dominique Valadié, Andrjez Seweryn, Nada Strancar, Caroline Marcadé, Cécile Garcia Fogel, Yann-Joël Collin. Il y jouera notamment Leontes dans Le Conte d'hiver sous la direction de ce dernier. Depuis 2010, il enregistre régulièrement des livres audio pour les éditions Thélème, notamment de nombreux titres de Laurent Gaudé et d'auteurs russes comme Dostoievski.

Saint-John Perse Portrait de 1960. Signature En marge des mouvements littéraires de son époque, sa poésie, en versets, est réputée pour son hermétisme, mais aussi pour sa force d’évocation. Il reçoit le prix Nobel de littérature « pour l’envolée altière et la richesse imaginative de sa création poétique, qui donne un reflet visionnaire de l’heure présente[1] ». Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse et débuts diplomatiques[modifier | modifier le code] Alexis Leger, enfant, avec sa grand-mère, sa mère et ses sœurs, en 1896. Il rencontre assez tôt le poète Francis Jammes, en 1902[10], qui habite alors à Orthez, lequel le présente notamment à Paul Claudel, avec qui il entretient des relations mouvementées. Carrière diplomatique[modifier | modifier le code] En 1929, il rédige pour Aristide Briand le Mémorandum sur l'organisation d'un régime d'union fédérale européenne sur mandat de l'Assemblée générale de la Société des Nations. Exil américain et mort[modifier | modifier le code] — René Char, 1949[45]

La Russie en 1839 Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Grâce aux recommandations recueillies avant son voyage et à la renommée de sa famille (son grand-père, Adam Philippe de Custine, et son père ont été guillotinés pendant la Révolution française), Custine a pu rencontrer un certain nombre de hauts personnages, comme le tsar Nicolas Ier et son épouse, mais aussi l'ambassadeur de France, Prosper de Barante, ce qui a permis, outre ses capacités d'observation, de dresser un tableau intéressant de la Russie, encore méconnue en Europe à cette époque. Custine la présente comme un pays arriéré, aux routes désastreuses et aux hôtels pouilleux. Bien que présentée comme un recueil de lettres écrites pendant son voyage, La Russie en 1839 a été rédigée par Custine entre 1840 et 1842 et publiée seulement en 1843, longtemps après son séjour en Russie. On a rapproché La Russie en 1839 de De la démocratie en Amérique, publiée quelques années auparavant par Tocqueville. Notes[modifier | modifier le code]

Les Faux-monnayeurs Les Faux-monnayeurs est un roman écrit par André Gide, publié en 1925 dans la Nouvelle Revue française (NRF). Alors que Gide a déjà écrit de nombreuses œuvres à cette époque, telles Les Caves du Vatican, il affirmera dans la dédicace à Roger Martin du Gard que c'est son « premier roman » (qualifiant ses publications antérieures de « récits » ou de « soties »). Construit avec minutie, ce roman multiplie les personnages, points de vue narratifs et intrigues secondaires diverses autour d'une histoire centrale. Par la liberté de l'écriture et la multiplicité des angles de vue, Gide se détache de la tradition littéraire du roman linéaire. À travers le personnage d'Édouard il montre les limites de la prétention du roman à reproduire le monde réel et ouvre ainsi la voie à la recherche plus large d'une écriture créatrice. Résumé[modifier | modifier le code] Ce roman est difficile à résumer car les intrigues et personnages sont multiples et s'enchevêtrent les uns les autres. Famille Profitendieu

Marcel Schwob Pour les articles homonymes, voir Schwob. Portrait publié par L’Illustration en 1905 Biographie[modifier | modifier le code] Marcel Schwob naît dans une famille de lettrés ; son père, George Schwob, était un ami de Théodore de Banville et de Théophile Gautier tandis que sa mère, Mathilde Cahun, appartenait à une famille d'intellectuels juifs originaires d'Alsace[1]. Au moment de la naissance de Marcel, la famille Schwob revient d'Égypte où George était chef de cabinet du ministre des Affaires étrangères[2]. Il se passionne également pour la linguistique et notamment l'argot, pour le langage des coquillards utilisé par Villon dans ses ballades en jargon: contrairement à l'opinion répandue à l'époque (et qui avait été celle qu'avait développée Victor Hugo dans les Misérables), Schwob considère que l'argot n'est pas une langue qui se crée spontanément, mais qu'il est en réalité un langage artificiel et codé[1]. Il meurt d'une grippe le 26 février 1905, à l'âge de trente-sept ans[1]. Posthumes

Astolphe de Custine Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Custine. Biographie[modifier | modifier le code] Origines familiales et jeunesse[modifier | modifier le code] Il est le second fils d’Armand de Custine et de Delphine de Sabran. La disgrâce d’un des amis les plus chers de Delphine de Custine, Joseph Fouché, ministre de la Police de Napoléon, provoque la rupture avec le régime impérial en 1810. La Restauration[modifier | modifier le code] Astolphe entre alors dans l'armée et le corps diplomatique, assistant au congrès de Vienne aux côtés de Talleyrand. Après plusieurs tentatives de fiançailles arrangées en vain par sa mère (notamment avec Albertine de Staël, fille de Madame de Staël), il épouse en 1821 Léontine de Saint-Simon de Courtomer, malgré son homosexualité. Le , alors qu'il se rend à un rendez-vous galant avec un jeune soldat, il est attaqué par les compagnons d'armes de celui-ci, battu, dénudé et abandonné inconscient sur le pavé.

Sonnets (Shakespeare) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Première de couverture de l'édition de 1609 des Shake-Speares Sonnets. Les sonnets de Shakespeare, aussi appelés Les Sonnets, est le titre d'un recueil de sonnets écrits par William Shakespeare qui abordent des thèmes tels l'amour, le beau, la politique et la brièveté de la vie. Ils ont probablement été composés sur plusieurs années. Les 154 poèmes figurent dans l'édition de 1609 intitulée SHAKE-SPEARES SONNETS ; ce recueil comporte 152 sonnets inédits et deux sonnets publiés en 1599 (no 138 et 144) dans une anthologie intitulée Le Pèlerin passionné. La page de dédicace des Sonnets. Les 17 premiers sonnets sont dédiés à un jeune homme et l'exhortent à se marier et à avoir des enfants[2], afin de transmettre sa beauté à la prochaine génération. Souvent, le début du troisième quatrain marque le « tournant », ou la ligne où le poème fléchit vers autre chose, et où le poète exprime une révélation ou un entendement soudain. — Sonnet 18

Jean Genet Signature Jean Genet, né le 19 décembre 1910 à Paris VIe arrondissement et mort le 14 avril 1986 à Paris XIIIe arrondissement, est un écrivain, poète et auteur dramatique français. Genet aborde notamment dans ses ouvrages l'homosexualité et l'érotisme, à travers la célébration de personnages ambivalents évoluant au sein de mondes interlopes. Biographie[modifier | modifier le code] Les premières années[modifier | modifier le code] Né de père inconnu (son nom était Frédéric Blanc selon les archives de l'Assistance publique), Jean Genet est abandonné à sept mois par sa mère, Camille Gabrielle Genet (1888-1919), gouvernante ou femme de chambre[1],[2]. La famille adoptive de Genet lui offre l’éducation communale, une mère de lait douce et aimante et un environnement protégé. Il commet son premier vol à l'âge de dix ans. Il y écrit ses premiers poèmes et quelques ébauches de roman, sans cesse reprises, refondues, rejetées. Les premiers écrits[modifier | modifier le code] Genet écrit :

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