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TEST : Pensée intuitive ou analytique ?

TEST : Pensée intuitive ou analytique ?
Le Test de réflexion cognitive, publié en 2005 par le psychologue Shane Frederick (1), évalue la tendance à utiliser une pensée intuitive ou analytique. Les résultats de ce test, ont montré des études, sont généralement (c'est-à-dire en moyenne, au niveau d'un groupe et pas nécessairement pour chaque personne) en corrélation avec des mesures de l'intelligence telles que le test de quotient intellectuel. Voyez, après avoir répondu aux 3 questions que comporte ce test, comment sont définies les pensées intuitive et analytique. FAITES LE TEST (gratuit, sans inscription.) Pour plus d'informations sur les modes de pensée, voyez les liens plus bas. (1) « Cognitive Reflection Test » : Frederick, S. (2005), Cognitive reflection and decision making, Journal of Economic Perspectives. Psychomédia Tous droits réservés. Related:  Soft Skills

Les compétences comportementales, ce nouveau critère de recrutement Pôle emploi présente les nouvelles tendances du recrutement dans son infographie et se concentre sur les nouvelles attentes des recruteurs. Quelles sont les compétences de demain ? Faut-il dire adieu à l’expertise métier et accueillir les compétences comportementales comme le nouveau critère du recrutement ? Pour une majorité d’employeurs, les diplômes n’ont plus autant d’importance aujourd’hui ! 59 % des interrogés considèrent que le diplôme n’est pas un critère essentiel. 60 % des employeurs considèrent que les compétences comportementales sont plus importantes que les compétences techniques. Quelles entreprises favorisent les soft skills et ne prêtent pas trop d’attention au diplôme des candidats ? Mais de quelles compétences parlons-nous ? Quelles sont les principales compétences comportementales qui attirent l’attention des employeurs ? Les employeurs sont majoritairement attirés par ces 3 compétences particulières : S’en suit une longue liste de soft skills.

Apprendre aux enfants à réfléchir par eux-mêmes En ce moment, notre système d’éducation cherche plus à endoctriner nos enfants qu’à les éduquer. En fait, c’est le cas depuis un certain temps. Il a été demandé à nos jeunes esprits d’accepter l’autorité comme vérité, et à cause cela, les enseignants parlent aux étudiants au lieu de communiquer avec eux. Didactique et méthodes Les enseignants sont devenus des répéteurs d’informations, régurgitant simplement tout ce qu’ils ont appris de leurs propres enseignants, et perpétuant ainsi le recyclage de l’information; cette même information qui a réussi à s’échapper de la surveillance depuis des générations. Apprendre aux enfants: Nécessité d’apprendre à raisonner La formule du modèle de l’éducation met l’accent sur l’élitisme académique et économique, débitant ainsi les travailleurs dociles du système, tout en les encourageant à se conformer à chaque étape d’un chemin. Apprendre aux enfants : Le modèle socratique Les enfants doivent être encouragés à chercher les réponses par eux-mêmes.

Apprentissage, motivation, émotion : comment apprenons-nous Le cerveau est l'objet le plus complexe de l'univers connu, et c'est de sa compréhension que dépendra l'avenir de nos technologies futures et singulièrement l'intelligence artificielle et la robotique. A l'Inria, Frédéric Alexandre dirige le projet Mnémosyne, chargé de développer des modèles computationnels de notre fonctionnement cérébral, dans le but de développer à terme des agents autonomes, robotiques ou logiciels, qui soient physiologiquement crédibles. Autrement dit, dont l'architecture sera analogue à celle du cerveau humain. Les sciences de l'esprit, sciences cognitives et neurosciences, ont fait des progrès ces dernières années et s'attaquent à des sujets de plus en plus difficiles, a-t-il expliqué en préambule. En neurosciences, on va de la recherche sur la vision à celle des fonctions exécutives. Mais finalement, quelle est la vraie question à se poser sur l'esprit humain ? Comment garder l’information importante Commençons par l’apprentissage. Le rôle des émotions

Les compétences du 21e siècle Avec l’industrialisation massive, le développement d’une économie et d’une politique mondiales, ainsi que des moyens de transport et de communication, et l’invention d’Internet, qualifier le 20e siècle d’ère de changement résonne comme un euphémisme. Toutefois, en comparaison avec le début du 21e siècle, le monde en était alors possiblement encore seulement aux premiers pas d’une courbe exponentielle de changements ayant le pouvoir de balayer entièrement la manière de vivre que nous connaissions jusqu’ici. La problématique soulevée ci-dessus agit comme trame de fond du rapport de Cynthia Luna Scott qui affirme la nécessité de redéfinir et d’enseigner de nouvelles compétences pour faire face aux principaux défis du 21e siècle. Son texte met en lumière les différentes formes possibles de l’apprentissage dans une ère de mondialisation, de migration, de concurrence internationale et de nouveaux défis environnementaux et politiques. Pourquoi repenser les compétences? Apprendre à connaître

Quelle hiérarchie de valeurs vous motive et guide votre jugement? FAITES LE TEST Mise à jour : Une révision de ce test, le Questionnaire des valeurs par portraits - révisé évalue 19 valeurs fondamentales plutôt que 10. Ce nouveau modèle est beaucoup plus précis et prédit mieux les attitudes et les comportements, soulignent les auteurs. Ce test, le Questionnaire des valeurs par portraits, publié par le chercheur en psychologie sociale Shalom H. Schwartz et ses collègues (1), évalue 10 valeurs fondamentales qui, selon le modèle de ces chercheurs, seraient universelles , c'est-à-dire se retrouveraient dans toutes les cultures. Les valeurs sont des croyances liées aux affects qui, à travers une diversité de contextes, motivent l'action et guident l'évaluation des actions des autres, des politiques, des personnes et des événements. Par exemple, les personnes pour qui l’indépendance est une valeur importante sont alertées si leur indépendance est menacée, malheureuses quand elles ne parviennent pas à la préserver, et heureuses quand elles peuvent l’exercer.

Augmenter sa concentration : être 100x plus efficace L’ennemi de la concentration, c’est le manque d’intérêt. Mais pas seulement. Je vous propose en quelques points des pistes pour augmenter sa concentration. 1. Il faut se débarrasser de toutes ces petites idées parasites qui surgissent au mauvais moment. La solution : avoir un bloc notes à portée de main, afin d’y noter toutes ces petites choses, et de pouvoir ainsi se libérer la tête. 2. Nous l’avons vu, l’esprit humain est ainsi fait, qu’il ne peut rester concentré sur quelque chose qui ne l’intéresse pas. La solution : Tenir le cerveau en éveil en cultivant un intérêt pour ce que l’on fait. 3. L’esprit est capable de produire quantité d’efforts, pour peu qu’on lui indique la bonne direction. La solution : Indiquer à son cerveau ce que l’on a à faire, et le temps que l’on souhaite y consacrer. 4. En assimilant un plaisir à la réussite de s’être concentré sur une tâche, on l’encourage à recommencer. 5. Dès lors que l’on fait un travail sur soi, il peut être utile de mesurer sa progression.

Soft skills, les 15 compétences douces à maîtriser en entreprise Management Les 15 soft skills à maîtriser en entreprise Matryoshka doll / @A.Munich Flickr Forbes France 22 novembre 2023 Les soft skills suscitent de plus en plus l’intérêt des entreprises Pour être recruté puis être performant au travail, les seules compétences techniques ne suffisent plus. Jérôme Hoarau précise : « l’évolution du monde du travail, notamment avec la robotisation, l’automatisation et l’intelligence artificielle, nous oblige à miser sur le capital humain, donc les soft skills. » Les soft skills sont littéralement les « compétences douces », que les auteurs du livre préfèrent qualifier de « compétences comportementales, transversales et humaines ». Comment acquiert-on la confiance en soi par exemple ? Pour les deux auteurs, les softs skills sont transversales, chacune ayant un impact sur l’autre. 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10. 11. 12. 13. 14. 15. * Le réflexe soft skills, les compétences des leaders de demain, Fabrice Mauléon, Julien Bouret et Jérôme Hoarau, Ed. Je m'abonne

Le travail à l'heure du collaboratif Même si le malaise des cadres et le stress sont des réalités - très médiatisées - dans l'entreprise en France, il existe aussi un autre visage de la vie au travail. Celui de l'entraide et de la solidarité. Stimulées par l'essor constant du 2.0, ces pratiques vitaminent le lien social et la convivialité. 1 - L'essor des fab labs Les entreprises manifestent un intérêt croissant pour les "fab labs", ces locaux ouverts où se rencontrer et concevoir des objets. "L'innovation collaborative s'accélère depuis deux ans, constate Muriel Garcia, présidente d'Innov'Acteurs, association d'organismes engagés dans la démarche. S'y croisent ingénieurs et techniciens. Une bouffée d'air pour les collaborateurs qui n'ont pas l'occasion d'exprimer leur créativité au quotidien. Car les fab labs se veulent aussi source de plaisir au travail. 2 - Les vertus du coworking 3 - Des échanges de savoirs "Les salariés apprennent à se parler. 4 - Du troc de matériel 5 - Partager le pouvoir

25 biais cognitifs qui nuisent à la pensée rationnelle Les biais cognitifs sont des formes de pensée qui représentent une déviation de la pensée logique ou rationnelle et qui ont tendance à être systématiquement utilisées dans diverses situations. Ils constituent des façons rapides et intuitives de porter des jugements ou de prendre des décisions qui sont moins laborieuses qu'un raisonnement analytique qui tiendrait compte de toutes les informations pertinentes. Ces processus de pensée rapide sont souvent utiles mais sont aussi à la base de jugements erronés typiques. Le concept de biais cognitif a été introduit au début des années 1970 par les psychologues Daniel Kahneman (prix Nobel d'économie 2002) et Amos Tversky pour expliquer certaines tendances vers des décisions irrationnelles dans le domaine économique. Depuis, une multitude de biais intervenant dans plusieurs domaines ont été identifiés par la recherche en psychologie cognitive et sociale. Voici une liste de 30 biais cognitifs fréquents Raisonnement et jugement Le biais de confirmation

Pourquoi votre e-mail va finir à la poubelle - L'Express L'Entreprise Dans un courrier électronique, certaines incorrections de langage font mauvais effet. Elles arrêtent la lecture, reléguant l'essentiel du message au second plan et risquent de questionner votre compétence: est-ce du mépris ? un manque d'instruction ? un stress non maitrisé. Voici cinq dérapages usuels à rayer de vos pratiques. 1. "Brief", "check-list", "feedback", "deadline"... >> A faire. 2. "Collusion-collision" ; "effraction-infraction" ; "abjurer-adjurer" ; "attention-intention"; "éminent-immanent"... A faire. 3. Il s'agit du mauvais emploi d'un verbe, d'un substantif ou d'un qualificatif. A faire. 4. La syntaxe est ici prise en défaut. A faire. 5. Rajouter des mots aux mots, dans un registre identique, reste tentant pour souligner sa pensée, frapper les esprits. A faire : s'interroger sur la redondance possible du qualificatif ou de l'adverbe adjoint au vocable principal. * Chez Gualino (Lextenso Editions), édition 2015.

Les 4 piliers du bonheur selon les neurosciences Le neuroscientifique Alex Korb a déduit de ses recherches en neurosciences 4 rituels qui peuvent nous rendre plus heureux. 1.La question la plus importante à se poser quotidiennement Les neurosciences nous invitent à faire preuve de gratitude au quotidien par le biais d’une question cruciale : Pour quoi suis-je reconnaissant.e aujourd’hui ? Faire preuve de gratitude active les neurotransmetteurs qui produisent de la dopamine et de la sérotonine. Penser aux choses pour lesquelles nous pourrions être reconnaissants nous invite à considérer les aspects positifs de la vie. Et ce n’est pas tant les choses pour lesquelles nous éprouvons de la gratitude qui comptent… mais surtout la mise en marche, le fait de se mettre à la recherche de ses petits moments de bonheurs, de partir à la chasse aux moments « chaudoudoux« . Ajouter la gratitude dans une « hygiène mentale » est une forme d’intelligence émotionnelle. 2.Nommer les émotions douloureuses, désagréables 3.Prendre des décisions 4. 6 avril 2018

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