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Métacognition et réussite des élèves

Métacognition et réussite des élèves
Suffit-il de mettre les élèves en activités en classe pour qu’ils s’approprient les savoirs, savoirs faire sur lesquels est construite la séance qui leur est proposée ? L’analyse ergonomique des situations d’apprentissage scolaire amène à être très réservé dans la réponse. En effet, quels que soient les modalités pédagogiques, les supports didactiques prévus, un constat s’impose : les enseignants n’arrivent pas toujours à atteindre les objectifs visés.Eviter qu’il y ait autant d’élèves en difficultés d’apprentissage, d’élèves en décrochage scolaire voire en refus scolaire, d’élèves en souffrance, d’élèves en danger, c’est bien l’ambition de tous ceux qui oeuvrent dans ce monde complexe de l’Éducation.Que faire devant cette réalité ? Les enseignants tentent de les aider à retrouver le chemin des apprentissages scolaires afin qu’il apprennent les savoirs scolaires que l’Ecole s’engage à leur donner et définissent sur cette base la plupart des activités qu’ils leur proposent. Gagné P. Related:  Théories

Un aide à se comporter | Didactique professionnelle 31 mai 2013 Henri Boudreault Didactique professionnelle L’aide à se comporter est utilisée lorsque vous désirez vous attaquer à l’apprentissage des savoir-être. Le savoir-être est associé au comportement qu’un individu manifeste lors de la réalisation d’une tâche dans un contexte donné. L’aide à se comporter permet d’expliciter ce que l’on entend par attitudes ou qualités professionnelles visées. Pour permettre au participant à une formation de comprendre les attentes associées au développement d’un savoir-être, il faut pouvoir l’intégrer dans un environnement d’apprentissage qui va lui permettre de se confronter au savoir-être à manifester. Pour fournir aux participants à une formation une aide à se comporter, il faut, dans un premier temps, pouvoir déterminer le savoir-être (les attitudes) de telle sorte que les participants en aient une représentation univoque. C’est-à-dire, qu’il faut nommer le savoir-être et ensuite le définir. 1. 2. 3. 4. Like this: J'aime chargement…

Le diaporama bride vos présentations ? Passez à la carte mentale Le diaporama en formation, voilà un sujet largement débattu, dont nous nous sommes souvent fait l'écho sur Thot Cursus et qui continue d'être alimenté par de nombreux conseillers Tice et autres spécialistes de la communication orale. Globalement, on s'accorde aujourd'hui à dire que le diaporama n'est pas un livre debout, que les diapos doivent être regardées plutôt que lues, soutenir l'attention de l'apprenant plutôt que de la détourner de l'essentiel du message, porté par la parole du formateur. Fort bien. Mais en dépit de toutes ces améliorations, le diaporama conserve une limite indépassable : sa linéarité. Un diaporama comprend un début, un milieu et une fin, strictement ordonnés le long d'une ligne de temps. Toutes les diapos sont de taille égale, ce qui nuit au travail mental de hiérarchisation de l'information opéré par les participants. La carte mentale, une structure non-linéaire Quels rôles pour l'enseignant dans les dispositifs hybrides de formation ? Des expériences multiples

L-e-c-t-u-r-e. Lecture. Le plaisir de la lecture... pour presque tous. Ceux qui lisent facilement ne réalisent guère à quel point le processus est subtil. Quand on demande à des grands lecteurs quelle est la source de ce qu’ils rapportent, parfois ces derniers ne sont pas en mesure d’affirmer s’ils l’ont lu ou s’ils l’ont vu en vidéo ou même en quelle langue ils l’ont lu. Ce qui illustre à quel point le processus du décodage du signe jusqu’à la création de la pensée ou de l’image dans l’esprit du lecteur est intime. Comment on apprend à lire De nombreuses recherches sur l’apprentissage de la lecture démontrent les multiples stratégies que l’esprit mobilise pour lire de plus en plus vite. On apprend d’abord à décoder les lettres et des groupes de lettres et on les associe à des sons et rapidement à des significations et des images. o - oh - au - eau / po, pom, pomme On y ajoute parallèlement une couche de règles grammaticales, règles qui augmentent la redondance du texte et permettent d’enrichir la compréhension, on commence à faire des liens et anticiper.

Apports des sciences cognitives à l'éducation - Pour en savoir plus Une sélection de références Sites web Mon cerveau à l'école Un site de référence, sous la responsabilité l'Unité INSERM-CEA de Neuroimagérie cognitive à Neurospin, dirigée par Stanislas Dehaene. le cerveau, organe complexe, son développement, organe de l'apprentissage les bébés, le langage, le calcul la lecture, son apprentissage, ses troubles, des recommandations le calcul, ses troubles des jeux pour les capacités mathématiques les dys: dyspraxie, dyscalculie, dyslexie Colloques et cours Colloques du Collège de France 3 colloques organisés par Stanislas Dehaene, chaire de Psychologie cognitive et expérimentale au Collège de France, en collaboration avec le Ministère de l'Education Nationale. 3 journées de réflexion, disponibles en enregistrement vidéo, pour renforcer les liens entre sciences cognitives et éducation, identifier les contributions actuelles et à venir, faire un point sur les connaissances, sur les besoins en termes de formation et de stratégies éducatives. Voir aussi:

L’approche par compétence Il est question d’un modèle d’apprentissage basé sur le développement des compétences dans un contexte de formation professionnelle et technique. L’écart est souvent grand entre la formation dispensée au sein des établissements de formation et le milieu du travail. Cet article qui n’est qu’un modeste résumé des travaux de M. Crédits photos UQAM. En deux mots un enseignant doit être capable de distinguer les objets d’apprentissage d’une formation, être capable de développer les concepts liés et de les rendre perceptibles et compréhensibles. 1) La compétence professionnelle c’est quoi ??? La compétence professionnelle est au-delà de la simple acquisition de connaissances ou du développement d’habiletés. Le rôle d’un professeur est donc de mettre en œuvre des situations d’apprentissages contextualisées permettant de relever les défis didactiques authentifiés : Comprendre, réussir, réaliser, s’dapater etc. 2) Les 4 étapes de la compétence Etape3 : Contextualiser les apprentissages. En résumé

Comment faire une bonne présentation? | Daniel Lafrenière Préparer et présenter un sujet devant un public est un art. Malheureusement, cet art n'est maîtrisé que par bien peu de personnes si je me fie à ce que je vois depuis des années. Ce n'est pas parce qu'on sait se servir de PowerPoint qu'on sait faire une présentation. Faire une présentation, c'est entrer en contact avec son auditoire pour lui communiquer un message et non lire à haute voix ce qui est écrit à l'écran ! Voici quelques conseils que j'ai traduits et adaptés du site de Garr Reynolds avec sa permission (© Garr Reynolds, 2006). En espérant qu'ils vous seront utiles. Les 10 meilleurs trucs de préparation 1. Avant même de démarrer PowerPoint, assoyez-vous et prenez le temps de penser à la journée de votre présentation. 2. Avant d’élaborer le contenu de votre présentation, vous devez vous poser plusieurs questions afin de devenir le meilleur présentateur possible pour cet auditoire. Qui assistera à la présentation ? 3. Attention ! 4. « Simple » ne veut pas dire « simpliste ». 5. 6.

Du labo à l'école : Les sciences cognitives vont-elles changer l'École ? Les sciences cognitives vont-elles changer l'école ? Peuvent-elles permettre de définir des méthodes d'apprentissages scientifiques pour faire mieux apprendre les enfants ? Chargée de mission à La main à la pâte et membre associée à l'Institut Nicod, Elena Pasquinelli est particulièrement bien armée pour répondre à ces questions. Elle le fait dans un gros livre qui se dévore au cours d'un récit enlevé, bourré d'anecdotes mais aussi de réponses aux questions que les enseignants se posent. L'ouvrage éclaire les apports des sciences cognitives sur les capacités des enfants. Mais l'ouvrage va plus loin. Loin des nombreux neuromythes qui circulent, Elena Pasquinelli montre le chemin ambitieux d'une véritable prise en compte des découvertes des neurosciences en éducation. Elena Pasquinelli, Du labo à l'école : science et apprentissage, Le Pommier éditeur, ISBN 9-7827-46-506824 E. Votre ouvrage porte sur l'éducation aux sciences. Il y a deux raisons. Alors comment mieux enseigner les sciences ?

Neurosciences et métacognition » Jeux mathématiques à Bruxelles Jeux mathématiques à Bruxelles Partageons le plaisir de faire des mathématiques ! ↑ Revenir à Liens généraux Neurosciences et métacognition Voir aussi la page « Méthodes de travail – apprentissage » Actualités : Colloque 2015 : ressources : Apprentissages et ressources numériques (conférence assez longue mais intéressante) : Neurosciences Activités et fonctions exécutives : (août 17) Apprentissages et neurosciences : quelques points d’attention : Neurosciences et apprentissages : 5 points d’attention : (août 17) Ennemis de l’apprentissage : (août 17) Making Education Competent “Are you saying I’m incompetent?” That’s what my friend asked when I told her the newest trend in education is “competency-based education.” I’ll be honest. What the term means, though, is something pretty revolutionary. These days, educators don’t have to move a class through the curriculum based on a set period of time. The flexibility that comes with competency-based education is rewriting the way schools, universities, government and industry are educating people. This flexibility makes some people nervous. None of that addresses the real problems we’re seeing in education today. As someone who works in education technology, the biggest concerns I hear are the rising cost of tuition for students, the cost of delivering education for institutions and the time it takes to complete a degree. Did you ever sit in class as a topic whizzed by you? But the social benefits of competency-based education go beyond using people’s time more efficiently. That’s strong stuff. Todd A.

Réussir sa vie en dix leçons - Jean-François Dortier, article Philosophie « Deviens ce que tu es », « carpe diem », « connais-toi toi-même », « accepte ce que tu ne peux changer et change ce qui peut l’être »… Les leçons de sagesse délivrées par les philosophes antiques ou les manuels de développement personnel se résument en un petit nombre de principes – toujours les mêmes – censés améliorer l’existence. Loin de converger vers un modèle unique d’existence, ces préceptes peuvent parler à tous et chacun peut en retirer un message. C’est l’une des raisons de leur succès universel. Petit tour d’horizon en dix leçons. 1. Il y a trois bonnes raisons de vivre (plus quelques autres) Quand j’ai demandé à Franck (42 ans, célibataire) ce que voulait dire pour lui l’« art de vivre », il m’a répondu qu’il ne croyait pas au bonheur. Quand j’ai demandé à Sarah, 23 ans, ce qu’elle pensait du bonheur, elle m’a répondu que son rêve était de trouver un emploi ou elle pourrait s’épanouir, gagner un bon salaire et partir vivre à l’étranger : c’est son « rêve américain ». 2. 3.

Le statut de l'erreur Quel statut donner à l’erreur ? L’erreur peut être considérée comme une faute dans un modèle d’apprentissage dit transmissif. Une faute mise à la charge de l’étudiant qui ne se serait pas assez investi, motivé et qui n’aurait pas mis en œuvre toutes ses compétences. L’erreur peut être considérée comme un disfonctionnement dont l’origine serait une mauvaise adaptation de l’enseignant ou des contenus de la formation au niveau des étudiants. L’erreur peut également servir d’indicateurs des processus intellectuels en jeu lors d’un apprentissage. L’enseignant peut avoir ce rôle : il doit situer les erreurs dans leur diversité afin de déterminer les modalités de l’intervention didactique à mettre en œuvre. Pour nous aider, Jean Pierre Astolfi nous propose, à cet effet, une typologie des erreurs en fonction de leurs origines. Typologie des erreurs. L’erreur peut relever de la compréhension des consignes. L’erreur peut résulter d’un mauvais décodage des règles du contrat didactique.

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