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Oui, mais... Le Triangle Dramatique

Oui, mais... Le Triangle Dramatique
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Compliments ! ... faire un compliment efficace à un enfant - S Comm C, le blog Il y a quelques temps, ma fille (3 ans) a voulu mettre son pyjama seule … et elle y est arrivée !Je ne sais pas si vous réalisez combien c’est compliqué de s’habiller … Certains papas (qui ont du mal à identifier le devant du derrière de certains vêtements) me comprendront (pas de nom hein ;-)…). Pensez-y en tout cas la prochaine fois que vous vous habillerez ! « waouh ! et j’ai eu envie de marquer le coup. Le truc habituel qui nous vient dans ces cas-là, c’est: « super ! Mais je n’avais pas envie de ça. Comment faire un compliment efficace à un enfant ? Alors je me suis dit que c’était l’occasion ou jamais d’utiliser les compliments descriptifs dont je parle en atelier. « tu as mis le pyjama toute seule : tu as pris le pantalon, tu l’as bien regardé, tu as mis l’étiquette derrière, tu l’as tenu et tu as enfilé les jambes l’une après l’autre. « tu diras tout ça à papa hein ? Alors j’ai répété mot pour mot mon compliment devant le papa en lui disant : Quelques livres pour aller plus loin :

La compassion, un art qui se travaille Avoir vécu des moments difficiles peut conduire à juger plus sévèrement (voire à mépriser) ceux qui ne parviennent pas à faire face à ces mêmes épreuves. «Avoir souffert rend tellement plus perméable à la souffrance des autres.» N'en déplaise à l'abbé Pierre, les personnes malmenées par la vie ne sont pas systématiquement celles qui font preuve de plus de compassion. Les expériences de chercheurs de l'université américaine de Northwestern montrent au contraire que les personnes qui ont vécu des moments difficiles ont tendance à juger plus sévèrement ceux qui sont en lutte avec ces mêmes problèmes ou qui se montrent incapables d'y faire face. Ils ont testé la compassion d'un groupe d'adultes à travers une série de cinq expériences. Dans la première, ils annonçaient à un groupe de personnes qui avaient participé à un plongeon dans un lac glacé la réaction d'un homme appelé Pat, qui, au dernier moment, à cause du froid, avait annulé le plongeon. Pourquoi? Partagez cet article

Aider sans sauver (codépendance, dépendance, sauvetage) Les sauveteurs potentiels Plusieurs personnes ont choisi de travailler dans les secteurs de la santé et des services sociaux, motivées par le désir d'aider. Elles ont généralement une conscience sociale plus développée et sont sensibles aux difficultés vécues par leur entourage. D'après Melody Beattie, thérapeute auprès d'alcooliques et de toxicomanes, les attitudes du sauveteur se retrouvent beaucoup chez les conjoints d'alcooliques. Le triangle de Karpman Les observations de Stephen B. La dynamique C 'est souvent de la pitié, de la culpabilité ou simplement l'anxiété qui mettent le sauveteur en action. Malgré cette image de pureté relative, c'est plutôt pour se libérer de l'inconfort ressenti par la détresse de l'autre, que le sauveteur passe à l'action. Le persécuteur et la victime Loin de s'améliorer, la personne sauvée, libre de toutes responsabilités, poursuit ses comportements destructeurs et elle a tout le loisir d'en faire le reproche au sauveteur. Se libérer du sauvetage Note

Repérer et bichonner ses « activités de flow » | Marion LFD Ahhh les activités de flow… Je les ai avais rapidement évoquées dans mon dernier article, puisqu’elle font partie des 7 composantes de la vie des gens heureux. Les 6 autres étant énumérées ici pour les curieux (à juste titre !). J’ai choisi de leur dédier un post parce que je trouve qu’elles font le sel de la vie, et qu’il est essentiel de repérer les siennes pour mieux les valoriser. Alors, alors, qu’est-ce qu’une activité de flow ? Un bon vieux Wikipédia pour ouvrir le sujet, on a encore rien trouvé de mieux : « Le flow, littéralement le flux en anglais, est l’état mental atteint par une personne lorsqu’elle est complètement immergée dans ce qu’elle fait, dans un état maximal de concentration. Ces « moments de grâce », comme les a baptisé Florence Servan-Schreiber dans « 3 kifs par jour », c’est pour elle « le fait d’être absorbée par mon activité, d’être emportée par son flux et de suspendre ma perception du temps qui me procure une satisfaction profonde. Des exemples ! Des exemples !

La violence n’aurait pas toujours existé Des scientifiques et des militants de l’empathie sont rassemblés dans un projet simple et ambitieux: montrer que la brutalité n’est pas inhérente à l’animal humain – et que nous pouvons changer Il fut un temps où la violence n’existait pas. Ce n’est pas un rêve, une fable, de la spéculation philosophique. De plus en plus, c’est le scénario qu’ébauchent les sciences, au confluent de l’archéologie, de l’anthropologie, de la biologie de l’évolution, des disciplines qui étudient le cerveau et la psyché. Une préhistoire paisible La mort violente infligée par un humain à un autre apparaît plus tard que l’humanité elle-même et reste longtemps un phénomène très limité. Résultat? Voilà qui tranche avec les idées reçues, où la violence primitive serait activée par la compétition pour les ressources ou par des rivalités des appétits. Pas d’angélisme, pourtant: on n’est pas dans le jardin d’Eden, on garde les pieds sur terre. L’archéologie permet-elle de retracer la préhistoire de l’empathie?

Le cercle d'excellence : un exercice pour générer de la confiance en soi rapidement Le cercle d’excellence est une technique PNL (programmmation neuro linguistique) qui permet de générer de la confiance en soi simplement et rapidement. Il s’agit de retrouver le souvenir d’une expérience au cours de laquelle on a éprouvé une forte sensation de confiance en soi. On localisera et ressentira en pleine conscience cette sensation dans le corps : où est-ce que je ressens la confiance dans mon corps ? Une fois les sensations identifiées et bien ressenties, on prononcera le mot qui représente le mieux cette confiance auquel on associera un signe qui représente la victoire, la réussite, le bien-être. Une fois le mot et le geste choisis, on saute dans le cercle d’excellence tracé au sol. On peut utiliser le cercle d’excellence à chaque fois qu’on a besoin de confiance en soi et d’énergie rapidement. Marjorie Moulineuf, auteure de 10 astuces pour booster l’estime de soi d’un enfant: Ni pantin ni enfant-roi Pour aller plus loin : Related 4 August 2016 In "Collège"

Les parts de moi Coffre d'outils: Trucs pour se retrouver Les outils d'Exploration de soi Cheminer avec ma jalousie Outil de développement personnel pour identifier clairement la source réelle de la jalousie, préparer un plan d'action pour résoudre le vrai problème et assumer une nouvelle dimension de soi-même. Oublions les résolutions et créons des projets! Un truc simple pour vous aider à ne pas prendre de résolutions que vous ne tiendrez pas! Un "kit" d'outils pour profiter des Fêtes en famille! Un ensemble de 3 outils de développement personnel pour profiter des rencontres en famille du temps des Fêtes pour avoir des relations plus satisfaisantes et des vrais contacts! Il nous arrive tous, de temps en temps, d’être de mauvaise humeur. Parfois, plutôt que d’écouter le message que nous envoient nos émotions, nous expliquons notre humeur d’une façon qui n’a pas de lien véritable avec ses causes. La liste de ces fausses explications peut être longue: Prendre conscience que je suis de mauvaise humeur (évidemment !) Rationnel: Utilité 1. 1.

Pratiquer la communication bienveillante, la CNV, la médiation, la gouvernance dynamique, la justice réparatrice Comment accueillir une émotion Une émotion est une énergie qui transporte de l’information et demande un certain temps de réception, de compréhension. Avec cette bande dessiné réalisée par Art-mella, apprenez à accueillir une émotion jusqu’au bout ! Ceci est un extrait de l’ouvrage Émotions : enquête et mode d’emploi publié aux éditions PourPenser. Lire aussi : La communication non violente expliquée en bande dessinée VERS LE PACIFIQUE 26 janvier, 2015 La communication et aussi…l ‘écoute ! par Les mediateurs consultants Il est si facile de reconnaitre les conditions essentielles à une bonne communication : parler calmement et chacun son tour en utilisant le message clair (je), écouter l’autre, respecter ce qu’il vit, mais il est encore plus facile de les oublier … Continuer la lecture 3 décembre, 2014 Les sentiments par Les mediateurs consultants Les gens ressentent tous les mêmes sentiments, mais ne les expriment pas nécessairement de la même façon. 1 décembre, 2014 Les médiateurs-consultants ! Voici la formidable équipe qui se cache derrière les médiateurs-consultants ! 4 novembre, 2014 Les conflits ! As-tu déjà vécu une situation de conflit ? 20 mai, 2014 Les médiateurs-consultants se présentent! Avant le début de l’été, l’équipe des médiateurs-consultants de l’Institut Pacifique a souhaité se faire connaître! 30 avril, 2014 Que faire quand…? 15 janvier, 2014 La communication non-verbale par Les mediateurs consultants

les besoins psychologiques en Process Com pour gérer le stress des types de personnalités, stimuler la motivation Process Communication management Modes de perception en Processs Com Canaux de communication en Process Com Besoins psychologiques en Process Com Degrés de stress en Process Com Synthèse des types de personnalités sous stress en Process Com La Process Communication Management et le leadership La Process Communication Management et le coaching La Process Communication et le coaching Auteurs Les auteurs du site Les besoins psychologiques en Process Com Un des points clefs découverts par les recherches de Taibi Kahler dans la Process Com représente l’identification des besoins psychologiques liés aux types de personnalités Le modèle de la Pocess Com définit que la satisfaction des besoins psychologiques de la phase de la personnalité constitue une source essentielle pour la motivation. On peut comparer cette notion à une quantité de carburant dont la personne a besoin pour être « bien » . En Process Com on utilise l’expression« nourrir ses besoins ». comportements inefficaces , dits négatifs.

Derrière la Peur Auto-efficacité Le sentiment d’auto-efficacité constitue la croyance qu’a un individu en sa capacité de réaliser une tâche[1]. Plus grand est le sentiment d'auto-efficacité, plus élevés sont les objectifs qu’il s'impose et son engagement dans leur poursuite[1]. La théorie de l’auto-efficacité a été élaborée par le psychologue canadien Albert Bandura (Bandura, 1977, 1997, 2003) dans le cadre théorique plus large de la théorie sociale cognitive (Bandura, 1986). Définitions et traductions[modifier | modifier le code] L’auto-efficacité est une émotion aussi connue sous le nom de confiance contextuelle (ou situationnelle). Elle est le sentiment de se sentir prêt, de savoir que l’on peut faire les choses bien dans n'importe quel contexte. La notion d’agentivité et sa « variable clé » selon Bandura, l’auto-efficacité, posent des difficultés de traduction et d’interprétation en français. Quatre sources de construction de l'efficacité personnelle[modifier | modifier le code] Le sport[modifier | modifier le code]

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