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Le cerveau a-t-il un sexe ? – Catherine Vidal

Le cerveau a-t-il un sexe ? – Catherine Vidal
Souleymane Coulibaly, alias Soro Solo, est un journaliste culturel originaire de Côte-d’Ivoire. Découvreur de talents, il a accompagné l’ouverture de l’Europe aux musiques africaines. Il a collaboré aux magazines de RFI pour lesquels il fait des reportages, ainsi qu’à plusieurs émissions sur France Inter, dont L’Afrique Enchantée qui, après trois saisons estivales, est désormais programmée à l’année. Soro Solo était, jusqu’aux événements tragiques de 2002, le plus fameux des journalistes culturels de Côte-d’Ivoire. Avec plus de 20 heures d’antenne hebdomadaire et une voix reconnaissable entre mille, il reçoit deux fois le prix du meilleur journaliste du pays (Prix Ebony – 1993, 1994). Son émission Le Grognon, lancée en 1989, lui vaut une grande popularité car il y évoque les dérapages des services publics ivoiriens à partir de témoignages sur les petits arrangements avec l’administration. Des membres de sa famille sont assassinés. Depuis, Soro Solo a collaboré à de nombreux magazines sur RFI. Related:  Genre/Sexualité/Romantisme

Fille ou garçon ? Non, intersexué – Frédéric Joignot Mis en ligne le : 27-04-2011 1 – Où l'on apprend l'incroyable histoire de l'hermaphrodite Herculine Barbin " Le lendemain trouva Sara anéantie ! Ses yeux, rougis par les larmes, portaient l'empreinte d'une insomnie cruellement tourmentée (…) Je n'avais pas la force de lever les yeux sur Madame P., qui ne voyait en moi que l'amie de sa fille, tandis que j'étais son amant. " Nous sommes l'été 1858, Herculine Barbin, surnommée Alexina, 20 ans, institutrice, a passé la nuit avec sa collègue Sara dans un pensionnat de La Rochelle. Longtemps, elle s'est considérée comme une adolescente laide et mal fichue. Eperdue, elle court se confesser à l'évêque de Saintes. Herculine-Abel Barbin aurait été oublié sans son journal publié en 1874 dans une revue médico-légale, dont l'écrivain allemand Oscar Panizza tirera en 1893 le roman Un scandale au couvent. Le philosophe voit dans la décision de l'état civil d'en faire un homme la volonté nouvelle de diviser le monde en deux "vrais sexes". En chiffres

Irma Souleymane Coulibaly, alias Soro Solo, est un journaliste culturel originaire de Côte-d’Ivoire. Découvreur de talents, il a accompagné l’ouverture de l’Europe aux musiques africaines. Il a collaboré aux magazines de RFI pour lesquels il fait des reportages, ainsi qu’à plusieurs émissions sur France Inter, dont L’Afrique Enchantée qui, après trois saisons estivales, est désormais programmée à l’année. Soro Solo était, jusqu’aux événements tragiques de 2002, le plus fameux des journalistes culturels de Côte-d’Ivoire. Avec plus de 20 heures d’antenne hebdomadaire et une voix reconnaissable entre mille, il reçoit deux fois le prix du meilleur journaliste du pays (Prix Ebony – 1993, 1994). Son émission Le Grognon, lancée en 1989, lui vaut une grande popularité car il y évoque les dérapages des services publics ivoiriens à partir de témoignages sur les petits arrangements avec l’administration. Des membres de sa famille sont assassinés. Depuis, Soro Solo a collaboré à de nombreux magazines sur RFI.

Des féministes transphobes Il y aurait beaucoup à dire sur la place des trans dans le féminisme. C'est un vaste sujet, comme la place d'autres populations dominées dans le féminisme (par exemple la place des non-blanc-he-s ou la place des prolos) et je ne suis pas sûre qu'un seul article suffise. Dans ce texte je vais m'intéresser à la transphobie de certain-e-s féministes. Il y a peu Prose a eu un tweet attirant mon attention. Mais ça concernait aussi ce texte dans lequel la transidentité de Brandon Teena passe à la trappe. Les féministes radicales des féministes transphobes ? Alors autant le dire c'est des choses avec lesquelles j'ai un peu de mal. Du coup comment parler de choses que je connais peu? Cathy Brennan "Mon féminisme qui dit que pénis = mâle" : Cathy Brennan est une attorney (je ne sais quel est la meilleure traduction de ce mot, avocate ou procureuse) et RadFem (féministe radicale) américaine. Je suis sûre que "mon féminisme" du "pénis = mâle" a du sens pour 99% de la planète. @(OoO)@ Wait... Koala

Solutions locales pour un désordre global Je reviens tout juste d’une avant première du prochain film de Coline Serreau : « Solutions locales pour un désordre global ». [youtube= Contenu du film : il s’agit de montrer ce qui se fait aujourd’hui dans le monde pour dire non à l’asservissement des paysans par les multinationales. Un des thèmes directeur du film s’attache à dénoncer la machination que les agro-industriels et fabricant d’engrais (les pétroliers) ont méthodiquement mise en oeuvre pour soumettre les paysans à leur bonne volonté. Cette dépendance agricole est depuis une dizaine d’années critiqué par l’opinion publique. Clairement documentaire ce film mérite des critiques cinématographique que je ne saurais écrire. Une petite critique pour la forme : Je ne suis pas convaincu que le titre soit bien choisi. Ah oui, j’oubliais, pour info : je suis fils d’agriculteur.

"Le ‘Gender’ à l’américaine - Un verbiage qui noie la réalité du pouvoir patriarcal" drôle d'article !! Le ‘Gender’ à l’américaine - Un verbiage qui noie la réalité du pouvoir patriarcalmardi 16 août 2011par Dre Michèle Dayras, présidente de SOS-SEXISME La théorie du ‘gender’ est prônée, en France, par les homos, les bi et surtout par les transsexuels, mais aussi par de jeunes féministes qui militent dans des groupes mixtes, (notre pays est le seul où des femmes luttent contre l’oppression masculine, avec les oppresseurs), et par des universitaires qui se veulent ‘branchées’. La Commission de Terminologie et de Néologie écrivait en 2005 : « (…) La substitution de “genre” à sexe ne répond donc pas à un besoin linguistique et l’extension de sens du mot “genre” ne se justifie pas en français. Mais les choses ont bien changé depuis. L’intrusion des trans - non opérés et non traités médicalement - dans la représentation féminine de l’humanité, est une erreur gravissime, qui défie le bon sens scientifique. La théorie du ‘genre’ (et des ‘genres pluriels’ !) Notes 1.

Le blog de Pierre Rabhi Un arbre unique et solitaire fait offrande de ses ramures au ciel incandescent. Nul ne sait par quel stratagème il a, dès son enfance, échappé à la main prédatrice de l’homme armé de fer, à la dent avide de l’animal famélique, à la rareté de l’eau et au dard du soleil plus que nulle part au sommet de son ardeur. Alentour est le désert infini submergé de silence séculaire parfois troublé par la rumeur lointaine de troupeaux évanescents allant sur les dunes et les immenses plateaux ensemencés de rocailles. Ici, l’espace et le temps sont confondus l’un par l’autre tenus, et n’ont d’autre mesure que la démesure de l’éternité. Dans cette vastitude lunaire librement parcourue de bise en février ou de vent en ouragan de sable, rugissant d’une fureur dont on ne sait la raison, l’arbre demeure en patience témoin superbe et pathétique d’un temps révolu. En m’approchant de la colline où il se tient en vigile de silence, il grandit à mes yeux. Des battements sourds se font entendre.

Les baisers entre personnes du même genre ne sont pas des blagues (n'en déplaise au PAF) En ce moment j’ai souvent la télé allumée. L’écran (et le son) m’accompagne pendant de longues journées en solitaire à travailler sur des projets secrets pour sauver le monde. Je vois défiler toutes les émissions les unes après l’autres, du JT de 13h aux films mal doublés de l’après-midi, en passant par les plus célèbres talk-shows du PAF — je suis sûr que vous voyez très bien de quoi je parle, ça commence parfois par « touche pas » et finit par « à mon poste »… À lire aussi : Cyril Hanouna, Enora Malagré et les filles faciles C’est mon petit plaisir pas si coupable pendant lequel je relève souvent la tête pour me délecter des coups de gueules surjoués des chroniqueurs ayant apparemment « mal à leur France ». Un « gag » récurrent Je l’admets, dans ce genre de talk-show/divertissement, ça s’amuse, ça fait des boutades pas très recherchées souvent en dessous de la ceinture. Le public scande alors le fameux « Un bisou ! Ce genre de séquence revient souvent. Pourquoi ça fait tellement rire ?

Distance Expert ™ Non, le porno n'est certainement pas la seule source d'injonctions | Le ticket de Metro d'Ovidie La diffusion de mon film À quoi rêvent les jeunes filles ? sur France 2 le 23 juin dernier dans la case Infrarouge a ouvert bien des débats, et j’en suis vraiment ravie. Il n’y a qu’à travers les débats et discussions que les choses avancent, pour ma part la mission a donc été accomplie. En revanche, là où je me suis sentie irritée, c’est lorsque j’ai constaté que certain(e)s se l’étaient réapproprié afin de nourrir des plaidoyers anti-porno. Un raccourci simpliste qui évite soigneusement les problèmes de fond évoqués qui, je vous l’accorde, exigent un tout petit peu plus de concentration qu’un simple « porno = pas bien ». « Le porno comme nouvelle source d’injonction« , combien de fois ai-je lu cette formule ces derniers jours. embedded by Embedded VideoYouTube Direkt L’effet de ce déplacement de la norme, j’ai pu le constater durant toute la phase d’enquête de ce film, qui ne s’est évidemment pas limitée aux interviews de six personnes.

Le cerveau a-t-il un sexe ? - EduSCOL par Catherine VidalNeurobiologiste,Directrice de Recherche à l'Institut Pasteur de Paris Introduction Avec les progrès des connaissances en neurosciences, on serait tenté de croire que les idées reçues sur les différences biologiques entre les hommes et femmes ont été balayées. Ce n'est manifestement pas le cas dans notre réalité quotidienne. Médias et magazines continuent de nous abreuver de vieux clichés qui prétendent que les femmes sont "naturellement" bavardes et incapables de lire une carte routière, alors que les hommes seraient nés bons en maths et compétitifs. Ces visions déterministes font le succès des ouvrages de certains psychologues peu scrupuleux qui prétendent expliquer les problèmes de communication entre hommes et femmes.Il est temps de replacer le débat autour de la différence des sexes sur un terrain scientifique rigoureux au delà des stéréotypes et des préjugés. La taille du cerveau, le sexe et l'intelligence Cerveau, reproduction et orientation sexuelle

Transphobie dans un entretien avec Christine Delphy : ma réponse Je décide de mettre sous la forme d’un texte, un commentaire que j’ai écrit suite à un entretien réalisé par Ingrid Merckx avec Christine Delphy disponible ici, car il n’a pas été validé sur son blog. [Ajout 27 novembre : le commentaire initial est désormais validé sur blog de C. Delphy :) ]. Votre position sur la transsexualité déclenche des réactions vives. Cela vous surprend-il ?Christine Delphy : La question de la transsexualité se pose beaucoup plus maintenant. Chère Christine Delphy, En premier lieu, je suis sidéré qu’Ingrid Merckx vous parle de « votre position sur la transexualité ». Je suis encore plus sidéré que vous ayez consenti à répondre à une telle question, sans questionner la légitimité qu’il y aurait ou pas à la poser. Arrêtons-nous pour l’instant sur le terme « transexualité ». Nous trans, sommes beaucoup à ne pas aimer le terme « transexualité » car il entretient une confusion entre sexe (ce qu’on « est ») et sexualité (ce par quoi on « est » attiré-e). Second point :

Clement Alteresco: Pas un mot sur le coworkin... La Marche des fiertés 2015 se veut revendicative mais certains militants en demandent plus LGBT - Depuis le vote de la loi sur le mariage pour tous, deux ans se sont écoulés. Après la joie, l'amertume: l'an dernier, la traditionnelle Marche des fiertés organisée par l'Inter-LGBT à Paris s'était déroulée sous le signe de la colère. Les associations demandaient plus de droits: la PMA, des avancées significatives pour les personnes trans, autant d'engagements qu'elles reprochaient au gouvernement de ne pas avoir tenus. Ce samedi 27 juin, le mot d'ordre de la marche est "Multiples et indivisibles", un "slogan qui tranche un peu avec ceux que nous avons l'habitude de proposer", explique au HuffPost Nicolas Rividi, co-Porte-parole de l’Inter-LGBT en charge de la lutte contre les discriminations. "Nous avons voulu ouvrir l'espace, les revendications, tenir compte du fait que nos communautés sont variées, que la multiplicité est importante", détaille-t-il. Danser ne suffit pas Trop festive, la Marche des fiertés? Des luttes au-delà des revendications LGBT

gregory pouy: 45 min de trajet aller, c'...

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