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Synthese de l'enquête sur les standards e-learning

Synthese de l'enquête sur les standards e-learning
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Pourquoi le e-learning ne marche pas Les pass-word et login rebutent les utilisateurs Les ressources proposées sont de qualités inégales Les produits sur étagère n’apportent pas toujours de plus-value significative Les produits e-learning se périment vite Les réseaux et terminaux ne sont pas au niveau des solutions proposées Les ressources proposées sont fermées et peu accessibles Les dispositifs proposés sont trop complexes à maîtriser pour une variété d’acteurs Les apprenants ne persistent pas dans l’apprentissage, il ne sont pas automones Les formateurs, ingénieurs ou conseillers formation ne proposent pas l’offre. Suivre ce blog Utilisez notre Reader et abonnez-vous aux meilleurs articles de ce blog ! Où va l'E-Learning ? Dans les établissements d'enseignement supérieur européens, l'e-learning progresse et bien peu d'universités désormais ne proposent pas au moins de la formation mixte associant enseignement en présence et à distance. En Afrique, les universités publiques et privées outrepassent leurs difficultés techniques et organisationnelles pour accroître l'usage des outils numériques de gestion et proposer un nombre croissant de cours et diplômes en ligne. Nécessité fait loi, dira t-on : quand on ne peut décidément plus ajouter un seul étudant dans l'amphi bondé, il faut bien trouver de nouvelles modalités de distribution des cours. Aux USA, plus de la moitié des élèves de secondaire ont déjà suivi un cours en ligne. Mais l'avenir du e-learning se profile ailleurs, dans le mélange bientôt inextricable de la présence et de la distance. Illustration : Mihail Jershov, Shutterstock.com Ces profs devenus populaires... en donnant leur cours ! 21 septembre 2013 Scénario arborescent pour e-learning de qualité

Claroline Ma Cl@sse Virtuelle | Pôle FOAD Un service en accès illimité pour la formation, les réunions et webinaires. Ma Cl@sse virtuelle pour tous Tous les personnels du Ministère de l’Education Nationale ont la possibilité de créer une réunion en ligne. Un accès simplifié : Directement à cette adresse ou directement depuis le portail Arena de votre académie : "Formation et Ressources" -> "Services de la FOAD" -> "Plate-forme de classes virtuelles" Systèmes supportés : Navigateurs compatibles : Assistant de configuration pour le contrôle de son matériel et du réseau Edition en ligne des enregistrements Export multi-formats des enregistrements Interface conviviale et ergonomique Optimiser l’organisation de ses évènements : Gestion flexible des inscriptions : URL d’invitation, copie d'une liste de participants Création de classes virtuelles permanentes ou périodiques Sans limitation du nombre de participants Préparation simplifiée entièrement en ligne de sa classe virtuelle

Formation blended (mixte): chacun cherche son mix Tout le monde est d’accord: l’unité temps-action- lieu est finie, place aux dispositifs de formations mixant plusieurs modalités, en différents temps, sur différents lieux. Mais comment décider du meilleur « mix »? Les réalisations des lauréats des récents E-Learning Excellence Awards nous donnent des pistes pour répondre. Ainsi que l’affirme Magali ARTECHE, chef de projet des E-Learning Excellence Awards, les dossiers déposés cette année par les candidats reflétent une grande maturité. Le cadrage du projet, le recentrage sur l’efficacité pédagogique, priment sur la recherche de l’effet de surprise. Les « parties »: utiliser au mieux chaque modalité pour répondre aux objectifs visés,Le « tout »: veiller à la cohérence du dispositif, de l’amont à l’aval. Premier enseignement, à la lecture des projets: il n’y a pas un , mais plusieurs mix. Un mix? Il y a le mix modalités, bien sûr, pour lequel il me semble que les choix peuvent être répartis ainsi: Le mix accompagnement Le mix communication

E-learning et blended-learning XEnvoyer cet article par e-mail E-learning et blended-learning XEnvoyer cet article par e-mailE-learning et blended-learning Le e-learning pur et dur est largement supplanté par le mix formation à distance et présentiel L’e-learning est à la peine en France. L’e-learning pur, désormais has been ? Le concept de blended learning ne se limite donc pas uniquement à un mix entre présentiel et e-learning. En somme, du présentiel en passant par le distanciel ou les outils communautaires et de communication, le blended-learning n’a pas son pareil pour mixer l’ensemble des ingrédients. Après l’e-learning Pendant de longues années, la formation présentielle traditionnelle, vaste terrain de jeu ancré dans une culture française forte de la formation académique, a dominé. Rapidement, de nombreux salariés se sont montrés réfractaires à ce type d’apprentissage à distance. Panacée ? Le blended permet également de penser l’apprentissage comme un processus dans le temps. Par Pierre-Jean Leca

Agence Wallonne des Télécommunications, la plateforme ICT de la Wallonie Rapid Learning, « Rapid » en quoi Rapid Learning, micro learning, nano learning… autant de « learning » qui nous font tourner la tête pour comprendre ce que ces termes cachent dans le fond ! Concentrons-nous sur le Rapid Learning. Est-ce que le Rapid Learning signifie qu’on apprend plus rapidement ? Est-ce une manière de produire plus rapide ? Une optimisation du temps de production Le Rapid Learning, version courte de « Rapid e-learning Development », est bien une manière de produire des cours en ligne plus rapidement. D’accord, mais est-ce que ce sont des formations ou des présentations en ligne ? Une production à moindre coût Une chose est sûre : le Rapid Learning passe bien par l’utilisation d’un outil (souvent appelé outil auteur), qui permet à quiconque sans compétence particulière en informatique, graphisme ou ingénierie pédagogique multimédia de créer et produire du contenu en ligne, en minimum de temps et donc à moindre coût. Et si on peaufine notre module de Rapid Learning ?

E-learning, les 5 alertes de Meirieu Avec l'avènement du numérique, les pédagogues ont dû relever plus d'un défi. Comment intégrer les nouvelles technologies aux apprentissages ? S'agit-il d'une simple amélioration de l'existant, d'une plus-value qui rehausse la qualité de l'enseignement et de la formation ou carrément d'une refonte de nos prestations face à une génération hyper connectée ? Enrichissement du présentiel, hybridation des contenus, FAD, e-learning, applications portables et autres tablettes, réseaux sociaux etc., autant d'outils, de pratiques et d'usages qu'institutions et enseignants ne peuvent plus ignorer sans risquer d'être décalés par rapport au cours actuel des choses. Mais faut-il s'en convaincre encore, il y a toujours débat dans le milieu universitaire autour de la question pédagogique, notamment lors de la conception et mise en oeuvre de projets e-learning. Meirieu et le numérique : méfiance E-learning et pédagogie peuvent (vraiment) faire bon ménage Références :

Quel ROI attendre de l’e-learning? L’e-learning peut devenir très rentable par rapport au présentiel, malgré des investissements de départ relativement élevés. Dans une stratégie e-learning, une variété de coûts disparaissent ou sont atténués par rapport au présentiel: la gestion des salles de cours, les déplacements des apprenants, leur hébergement éventuel, ainsi que la rétribution des formateurs – à laquelle se substitue toutefois la rémunération des tuteurs, proportionnelle, celle-ci, au nombre d’apprenants. A l’inverse, la diffusion des cours e-learning nécessite des équipements (postes utilisateurs ou tablettes, réseau et bonne bande passante, …). Mais même le coût de cette infrastructure s’amenuise progressivement eu égard au coût des supports de cours, depuis l’essor du cloud et des logiciels à la demande (saas). En bref, on peut circonscrire les coûts spécifiques au présentiel aux postes suivants: Comment calculer le ROI d’une formation e-learning? Contexte et demande Ce qui détermine le ROI de l’e-learning?

Le Mobile Learning arrive vite. Êtes-vous prêt ? Dans 15 ans, il paraîtra improbable de devoir s’arrêter derrière un bureau pendant près d’une heure pour apprendre quelque chose. Tout comme il parait aujourd’hui improbable de devoir se rendre dans une agence de voyage pour acheter un billet d’avion, ou au guichet de sa banque pour demander un relevé de compte. Imaginer que l’apprentissage va devenir complètement mobile (laptop, tablette, smartphone et autres devices plus récentes) nous apparaît déjà comme une évidence. Pourtant, on voit encore difficilement émerger ce standard dans nos entreprises et nos écoles. La faute à trois facteurs : Le support : la technologie mobile n’est arrivée à maturité que très récemment. Pourquoi trouve-t-on encore aujourd’hui un écart si important entre notre usage mobile quotidien (vous lisez peut-être ce billet sur votre téléphone) et les outils pédagogiques qu’on utilise en formation ? Que s’est-il passé ? Ces expériences étaient aussi difficilement viables économiquement. L’apprentissage est omniprésent

L'École numérique » E-learning : la pédagogie avant tout Comment placer la pédagogie au centre de l’usage des nouvelles technologies en tenant compte des spécificités qu’induisent ces nouveaux outils ? Tel est l’objectif auquel doit avant tout répondre le e-learning. Souvent, l’usage des nouvelles technologies dans la formation et l’enseignement consiste à médiatiser des ressources pédagogiques qui sont déposées sur une plateforme ou un ENT. Deux principes directeurs Les NTIC offrent une opportunité de réviser le dispositif d’enseignement en proposant des possibilités d’individualisation des parcours, d’inversion des activités entre le travail à la maison et le travail en classe, d’adaptation au nouveau rapport des élèves à l’information et à la technologie, et c’est de là que vient leur pertinence d’usage. L’utilisation des NTIC nécessite plus de rigueur dans la conception du dispositif d’apprentissage. Définir une stratégie pédagogique globale Structurer le parcours La technique oui, mais la pédagogie avant tout

_Guide_LMS_comment_choisir_sa_plateforme Les 7 compétences clés du travail de demain Michel Serres nous rappelait récemment que l’évolution des technologies nous force à être intelligents. Les technologies révolutionnent en effet notre environnement de travail et nous poussent à développer de nouvelles compétences. De nombreuses prospectives alimentent le débat et mettent en lumière les compétences qui feront la différence sur le marché du travail de demain. Quelles sont les évolutions dans les compétences distinctives ? Quelles doivent être les priorités en termes de développement des compétences ? Essayons de creuser. Un consensus se dégage autour de 7 compétences Etre compétent dans son travail requiert un savant mix de compétences techniques (les hardskills), comportementales (les softskills), et sectorielles (je maîtrise les enjeux et la culture du secteur d’activité dans lequel j’évolue). 1. 2. Quand on pense au numérique, on pense plus aux outils et aux média (Youtube, twitter,…) que ce que l’on y fait. 3. 4. 5. Plus que jamais, ce que vous ferez dépendra de vous.

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