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L’apprenance : rapport au savoir et société cognitive

L’apprenance : rapport au savoir et société cognitive
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Apprenance Un ensemble durable de dispositions favorables à l’action d’apprendre dans toutes les situations formelles et informelles, de façon expériencielle ou didactique, autodirigée ou non, intentionnelle ou fortuite. Mieux gérer les savoirs, c’est peut-être le grand défi qui est lancé à notre société du xxie siècle. Pour l’ensemble des pays occidentaux, la principale source de création de richesses réside désormais dans les savoirs et les compétences. « Le problème central concerne moins l’accès à l’information que la faculté de s’en servir et plus généralement, la capacité d’apprentissage de la part des différents acteurs concernés. » Le sommet de l’Union européenne qui a eu lieu à Lisbonne en mars 2000 en est le symbole. Une des directives majeures de ce sommet a été de signer l’entrée de l’Europe dans l’ère de la connaissance et de l’économie du savoir. Il s’agit désormais pour notre continent d’aborder la période postindustrielle et d’accompagner la « révolution cognitive » en cours.

L'apprenance : c'est quoi ? L’apprenance vers une nouvelle culture de la formation ? Philippe Carré, CREF (EA 1589), Université Paris X, Nanterre Audition publique trimestrielle, 30 janvier 2006 COMITE MONDIAL POUR L’EDUCATION ET LA FORMATION TOUT AU LONG DE LA VIE Extrait : Une culture nouvelle de la formation, centrée sur les individus émerge : les bénéficiaires de la formation doivent devenir "acteurs", "sujets apprenants". Or ce renversement de perspective, explique Philippe Carré, professeur à l'université Paris X–Nanterre ne va pas de soi. Il s'agit, pour développer les apprentissages tout au long de la vie, de prendre conscience du renversement copernicien qu 'entraîne le passage de la formation à l'apprenance. Définition de l'apprenance L'apprenance décrit un ensemble stable de dispositions affectives, cognitives et conatives, favorables à l'acte d'apprendre, dans toutes les situations formelles ou informelles, de façon expérientielle ou didactique, auto-dirigée ou non, intentionnelle ou fortuite

Les 101 théories de la motivation En 1971, Deci montrait que la persistance des individus, durant une période de libre choix, est moins importante pour les sujets récompensés que pour ceux qui ne le sont pas. Ce résultat, contre-intuitif pour l’époque, montrait pour la première fois chez l’homme de façon expérimentale que la récompense n’est pas un facteur motivant dans tous les cas de figures. Depuis les années 70, Deci (1975, 1980) et Ryan (Deci & Ryan, 1985, 2000, 2002) ont proposé différentes formulations et reformulations théoriques qui ont permis de conceptualiser ce résultat et donne lieu à une volumineuse littérature afférente produite aux cours des trois dernières décennies. La dernière formulation en date (Deci & Ryan, 2002) repose, selon les propos des auteurs, sur ce qu’ils appellent des « mini-théories » : la théorie de l’évaluation cognitive, la théorie de l’intégration organismique, la théorie de l’orientation causale et celle des besoins de bases.

La théorie de l'autodétemination (TAD) : un autre regard sur le climat motivationnel (Sarrazin, Tessier, Trouilloud, 2006) - Bloc-notes de Jean Heutte : sérendipité, phronèsis et atharaxie sont les trois mamelles qui nourrissent l'Épicurien de la connaiss Postulats théoriques La théorie de l’autodétermination (Deci & Ryan, 2002 ; voir Sarrazin et Trouilloud, 2006 pour une présentation de ces travaux en langue française) s’est imposée, ces dernières années, comme un cadre heuristique pour rendre compte des comportements des individus dans différents contextes dont l’école. Selon cette approche, différents types de motivation peuvent être repérés et classés en fonction de leur degré d’autodétermination (Deci & Ryan, 2000). En contexte scolaire, les élèves font preuve d’une motivation autodéterminée : quand ils s’engagent dans les activités scolaires parce qu’ils les considèrent comme quelque chose de cohérent avec leurs valeurs et besoins (motivation extrinsèque intégrée) ; quand ils s’engagent dans des tâches scolaires qu’ils jugent importantes pour atteindre des buts personnels (motivation extrinsèque identifiée). Par contraste, les élèves font preuve d’une motivation non-autodéterminée : Comment catalyser une motivation autodéterminée ?

Statut des concepts scientifiques et difference avec notion A. Position du problème Qu’est-ce qu’un concept scientifique ? Apparemment, c’est un mot, un terme, une désignation verbale, un nom chargé d’un sens, une notion abstraite. Pourtant le concept scientifique ne se réduit pas à n’être que cela. Le problème est donc de savoir ce qui peut faire d’un mot un concept, à quel signe il possible de reconnaître dans l’utilisation d’un mot une valeur conceptuelle en matière scientifique. Au terme des exemples que nous pourrons analyser, trois critères, trois signes semblent pouvoir se dégager : le fait que ces concepts soient définis de façon " opératoire " ; le fait qu’ils soient intégrés à un " système ", c’est-à-dire à un réseau de relations ; le fait qu’ils soient soumis (ou puissent l’être) à un processus ouvert de rectification et d’évolution . B. Une notion devient un concept scientifique lorsqu’on est capable d’en donner une définition. Cela signifie qu’un concept scientifique fonctionne à l’intérieur d’un domaine délimité. La Masse : C. D.

L’acte pédagogique de Philippe Meirieu Dans cette vidéo, Philippe Meirieu nous présente les trois actes forts qui constituent l’acte pédagogique. Vous trouverez ci-dessous le lien de sa vidéo provenant du site FranceTvEducation mais aussi la carte mentale de son intervention que j’ai réalisé avec le logiciel MindMapper 12 Arena . Cliquer sur l’image pour accéder à la vidéo Résumé en carte mentale : Cliquer sur l’image pour agrandir la carte Bonne consultation Olivier L

Design pédagogique www2.dijon.inra.fr/esr/pagesperso/sencebe/SocioGe... A. Bandura. Auto-efficacité. Le sentiment d’efficacité personnelle 1Albert Bandura est docteur en psychologie et enseigne à l’université de Stanford (Californie). Il est l’auteur de L’Apprentissage social (Mardaga, 1985). 2Depuis les années 80, Albert Bandura s’intéresse au sentiment d’efficacité personnelle. Ce concept s’inscrit dans le cadre de la théorie sociocognitive (théorie issue du béhaviorisme et du cognitivisme). Selon cette théorie, le fonctionnement et le développement psychologique doivent être compris en considérant trois facteurs en interaction : le comportement, l’environnement et la personne. 3Le sentiment d’efficacité personnelle désigne les croyances des individus quant à leurs capacités à réaliser des performances particulières. L’expérience active de maîtrise est une des sources les plus influentes sur la croyance en l’efficacité personnelle car elle est fondée sur la maîtrise personnelle des tâches à effectuer.

Autodétermination Auto-efficacité : le sentiment d'efficacité personnelle (Bandura, 1977, 1997, 2003) - Bloc-notes de Jean Heutte : sérendipité, phronèsis et atharaxie sont les trois mamelles qui nourrissent l'Épicurien de la connaissance ;-) Article mis à jour le 19 mars 2011 La théorie de l’auto-efficacité de Bandura (1977, 1997, 2003) entre dans le cadre théorique plus large de la théorie sociale cognitive (Bandura, 1986), dénommée ci-après TSC. La TSC stipule que « le fonctionnement humain est le produit d’une interaction dynamique et permanente entre des cognitions, des comportements et des circonstances environnementales. En 1986, il expose ainsi son modèle de « causalité triadique réciproque » : le comportement (C) et les facteurs personnels internes (P) sous forme d’événements cognitifs, émotionnels et biologiques (E) interagissent ensemble de façon réciproque et s’influencent mutuellement ; le comportement (C) et l’environnement (E) interagissent ensemble de façon réciproque et s’influencent mutuellement ; les facteurs personnels internes sous forme d’événements cognitifs, émotionnels et biologiques (E) et l’environnement (E) interagissent ensemble de façon réciproque et s’influencent mutuellement. L’agentivité

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