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Le théorème d’incomplétude de Gödel

Le théorème d’incomplétude de Gödel
C’est en cours de philo que j’en ai entendu parler pour la première fois ! Notre prof nous faisait un cours sur la logique et ses fondements, et c’est alors qu’elle le mentionna : le fameux théorème de Gödel, celui qui prouve que quoi qu’on fasse, il existe des énoncés mathématiques vrais, mais indémontrables. Les mathématiques resteront à tout jamais un édifice imparfait ! J’en fus évidemment tout retourné et fasciné : comment était-il possible qu’un truc pareil existe ? Comment prouver ce résultat pouvait même être du domaine de la science ? Peut-on tout démontrer en mathématiques ? Quand on fait des mathématiques, on manipule des énoncés. Quand on considère un énoncé mathématique, on ne sait pas forcément à l’avance s’il est vrai ou faux. Si un mathématicien arrive à démontrer un énoncé, on considère que cet énoncé est "vrai". Les mathématiques reposent donc sur l’idée que si un énoncé est vrai, alors il doit en exister une démonstration, et il n’y a plus qu’à la trouver. Like this: Related:  G.caisson test

Home | Santa Fe Institute Wolfgang Gröbner Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Wolfgang Gröbner, né le 2 février 1899 à Gossensaß, un village près de la commune de Brenner, dans le Tyrol du sud, et mort le 20 août 1980 à Innsbruck est un mathématicien autrichien, spécialiste d’algèbre et de géométrie algébrique. Son étudiant Bruno Buchberger a donné le nom de base de Gröbner à la construction qu’il a introduite dans sa thèse. Biographie[modifier | modifier le code] La mort accidentelle de son frère change tant les convictions de Gröbner, qui de profondément religieux devient libre penseur, que son orientation professionnelle : il s’engage en 1929 dans les mathématiques car, dit-il, « elles refusent toute autre autorité que leur propre raison »[1]. Gröbner poursuit ensuite des études postdoctorales à l’université de Göttingen, dans le cercle d’Emmy Noether, où se développe l’algèbre structurale moderne. En 1947, après un court retour à l'université de Vienne, Gröbner devient professeur à l’université d'Innsbruck.

Quelle empreinte l’histoire de ma famille a laissée sur moi par Caroline Blanco Et si la personne que nous sommes aujourd’hui n’était que le résultat de notre histoire familiale ? Et si nos choix de vie, nos comportements, nos qualités ou nos défauts n’étaient, en réalité, que la conséquence logique de l’histoire de nos ancêtres. Notre famille c’est le début de notre histoire. Nous avons plusieurs histoires qui se jouent à la fois, celle de notre culture, celle de notre éducation, celle de notre sexe, celle de notre peuple, … Mais nous avons surtout notre propre histoire qui elle, est intimement liée à notre famille puisque c’est dans l’enfance que se programme la majorité des schémas et des croyances à l’origine de notre propre histoire. Que sont les histoires ? Les histoires sont tout d’abord ce que racontent les personnes qui nous entourent dès notre naissance. Dès notre arrivée dans le monde, ce sont d’abord nos parents (empreints, eux aussi, de l’histoire de leurs propres familles) qui vont nous raconter leurs histoires. Exemples : Exemple :

Compliqué ou complexe ? « Barba-Rossa’s Blog Je crois que je me souviendrai toujours de cette explication d’un de mes profs d’apprentissage pour nous démontrer la différence entre un système compliqué et un système complexe. Prenez tout d’abord un avion, vous la démontez et ensuite vous la remontez selon le mode d’emploi, c’est un système très compliqué mais en suivant étape par étape, vous y arrivez et il fonctionne à nouveau.Prenez maintenant un plat de spaghetti, vous le renversez sur la table et maintenant vous essayer de le remettre dans l’état initial. Ça, c’est un système complexe, il y a tellement d’interaction, de paramètres, de variables, que vous pouvez vous approchez de la solution exact mais il y aura toujours une ou deux choses qui ne seront jamais pareil. J’espère que ma mémoire ne m’a pas trop fait défaut et que j’ai pu restituer fidèlement son explication. Voili ! Tags: complexe, compliqué, système

Israel Gelfand Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Israel Gelfand en 1955. Biographie[modifier | modifier le code] Israel est cloué dans un lit d’hôpital pour une appendicite à l’âge de 15 ans, il en profite pour maîtriser un traité de calcul infinitésimal en moins de deux semaines. En 1930, à 17 ans, il vit à Moscou ; il cherche du travail avant même d'avoir terminé ses études au lycée. Préoccupé par l’enseignement des mathématiques, il est à l’origine d’une série de cours par correspondance destinés à des adolescents doués ne pouvant pas bénéficier, pour différentes raisons, d’un enseignement de qualité. Le décès de l’un de ses fils des suites d’une leucémie le conduit à s’intéresser de près à la biologie à partir de 1958. Il émigre aux États-Unis à la fin des années 1980 et continue d’enseigner à l'université Harvard, au Massachusetts Institute of Technology et enfin à l’université Rutgers où il accepte un poste de professeur visiteur distingué en 1990.

Comprendre la norme WCAG : guide de démarrage rapide pour les concepteurs e-learning | Les essentiels du e-learning Si vous cherchez des normes d’accessibilité en e-learning, vous allez forcément tomber sur cet acronyme : WCAG. Dans cet article, nous vous expliquerons ce que c’est, pourquoi c’est important et comment vous pouvez l’appliquer à votre e-learning. Qu’est-ce que les WCAG ? Les directives d’accessibilité du contenu Web (WCAG ou Web Content Accessibility Guidelines en anglais) sont un ensemble de normes pour rendre le contenu web, y compris les modules e-learning publiés sur le web, plus accessibles. Les normes WCAG sont des bonnes pratiques facultatives mises en place par le World Wide Web Consortium (W3C), une organisation qui œuvre pour le développement de normes web. Cela semble assez simple, non ? Principes et recommandations d’accessibilité Selon les WCAG, le contenu web accessible doit suivre quatre principes : il doit être perceptible, utilisable, compréhensible et robuste. Perceptible Les apprenants doivent pouvoir accéder aux informations présentées. Utilisable Compréhensible Robuste

Kurt GÖDEL Origine : page trouvée sur le site Cette page n'est plus accessible, l'auteur me signale qu'elle est ici et mise à jour sur http:/www.chronomath.com/ GÖDEL Kurt Friedrich, américain, 1906-1978Mathématicien et philosophe d'origine autrichienne, le plus grand logicien depuis Aristote, selon Von Neumann. Après avoir débuté des études de physique à Vienne, il se passionne pour la théorie des nombres en suivant les cours de Phillip Fürtwängler (1869-1940, même famille que le célèbre chef d'orchestre Wilhelm Fürtwängler) et poursuit dès lors (1926) des études de mathématiques tout en s'intéressant à la philosophie. Sa thèse, Sur la complétude du système logique (1929) est supervisée par Hahn à l'université de Vienne.

Gödel’s Incompleteness Theorem: Ontological Mathematics vs. Science | Climate of Sophistry Most people think that Gödel’s Incompleteness Theorem means something about the final answer to everything being something that can never be attained, only more and more closely approximated, because any system of logic and its axioms will always be incomplete and contain inconsistent statements inevaluable as either absolutely true or false. Similarly, Stephen Hawking wrote in the ‘Brief History of Time’ that it seemed as though science would only ever asymptote towards a final theory of everything, but never completely get there. To properly understand Gödel, it is helpful to understand his philosophical enemies, one being Bertrand Russell. Russell wished to explain mathematics and numbers as having originated, and originating in, a more fundamental set of axioms that determined the truth or falsity of mathematical statements. Basically, he wished to prove that mathematics was a creation of the human mind, that it was a convention of logic among humans. Mathematics is numbers.

Mathématiques/sciences - Mathemathieu [ version PDF à télécharger : « Le silence éternel de ces espaces infinis m'effraie. » [ Blaise Pascal (1623-1662) ] G. Cantor / K. Gödel / B. Russell Lorsque nous sommes à l'école primaire, nous apprenons à compter et à écrire ces nouveaux nombres avec les 10 symboles (numération décimale) que sont 0, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9. 0, 1, 2, 3, 4, 5, … , 99, 100, 101, … , 999, 1 000, 1 001, … , 999 999, 1 000 000, 1 000 001, … , etc. Nous pouvons continuer ainsi pendant longtemps… très longtemps… Il y a une infinité d'entiers naturels. Nous noterons pour l'instant ∞N cet infini (l'ensemble des entiers naturels se note N et le symbole de l'infini est ∞ - il a été inventé par le mathématicien John Wallis en 1655, sa forme est similaire à la lemniscate de Bernoulli, une courbe plane ayant la forme d'un 8). Mais cette notion d'infini n'est pas si facile à appréhender. Question 1 : y a-t-il autant d'entiers naturels que d'entiers naturels pairs ? Il y en a bien sûr une infinité... Eh bien oui ! 2ℵ0=ℵ1.

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