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Apprentissage social?

Apprentissage social?
Alors voilà, cette semaine, nous traitons de la dimension sociale de l’apprentissage : Quel rôle joue notre environnement, notre entourage dans nos apprentissages ? J’avoue que j’ai un peu été désorientée par le « butinage » proposé et par les deux expressions proposées « Social Learning et « Apprentissage par les pairs ». Y-a-t-il une différence entre les deux termes ? En lisant les premiers liens, j’ai eu l’impression que le social learning ne parlait que d’apprentissage par le réseau… "Après le e-learning, le social learning est le nouveau concept qui doit révolutionner la formation dans les années à venir. ou encore: "Le social learning ne repose pas tant sur le contenu que sur la façon dont on va se connecter aux autres", explique Frédéric Domon. En fait sur la page proposée par Thot cursus, il y a cette page : Apprentissage social : retour aux sources de Christine Vaufrey et là, je découvre le nom d’Albert Bandura. Et conclut en disant : Like this: J'aime chargement… Related:  Courants pédagogiquesDivers types de pédagogie, débats et innovations pédagogiques

Connaître les grands courants de l'apprentissage Bien souvent, enseignants et apprenants manquent de recul sur leurs pratiques. Ceci, parce qu'ils ignorent les grands principes connus qui régissent l'enseignement et l'apprentissage. Dans ces conditions, les choix pédagogiques relèvent de l'intuition et des représentations, et les insatisfactions de part et d'autres sont mal vécus. Le comble c'est quand pour un choix proclamé, le socioconstructivisme par exemple, on en vient à soumettre les apprenants à une pédagogie de transmission. De la connaissance des courants de l'apprentissage et du choix de l'un d'eux, on pourra définir un scénario pédagogique qui fait sens avec les objectifs visés. Dans une vidéo d'une quizaine de minutes intitulée L'évolution de l'apprentissage à travers le temps, Judith Cantin, conseillère pédagogique en intégration des TIC, propose de survoler les grands courants de l'apprentissage. Vision de l'apprentissageRôle de l'enseignant et de l'élèveForces et limitesPistes de réflexion.

Chroniques en innovation et en formation » Blog Archive » Echanger des savoirs, coopérer, c’est se former; l’extraordinaire “évaluation externe” des réseaux d’échange de savoirs A l’occasion de la publication du dernier ouvrage collectif, dirigé par Claire héber-Suffrin, « Plaisir d’aller à l’école », qui narre finalement l’aventure collective de trois classes d’il y a 40 ans, qui font le bilan des savoirs ensemble, 40 ans plus tard. Quelle évaluation externe ! (video) Claire m’avait alors sollicité pour en faire la préface que je propose ici: Qu’est-ce qui fait que « l’école a du goût » ? Quand chacun revisite son expérience d’école, peut-il repérer ce qui l’a vraiment fait apprendre ? L’innovation naît dans les marges : « à Orly les CET, à Draveil les lycées ». L’innovation est une aventure : la démarche s’est construite pas à pas, sans grande programmation ni objectifs (il en fallait un peu pour l’inspecteur), forte de convictions sincères et d’attachement aux valeurs de l’Ecole. L’innovation devient organisation apprenante. L’innovation est d’autant plus efficace qu’elle s’appuie et se nourrit de son environnement.

Dix constats clés de la recherche cognitive sur l'apprentissage (Schneider & Stern, 2010 1. L’apprentissage est une activité exercée par l’apprenant L’enseignant ne peut pas intervenir dans le cerveau de ses élèves pour y insérer de nouveaux éléments de savoir. Les connaissances que chacun possède ne sont accessibles qu’à lui seul. Dès lors, l’enseignant ne doit pas se contenter de bonnes connaissances pédagogiques et de bonnes connaissances du contenu de la discipline qu’il enseigne, mais il doit aussi avoir une bonne connaissance du contenu pédagogique, c’est-à-dire comprendre comment les apprenants construisent leurs savoirs dans un domaine donné (Schulman, 1987). 2. L’enseignant ne peut aider ses élèves que s’il connaît leurs acquis. Dans l’exemple donné en introduction, l’enseignant n’a pas tenu compte des connaissances de ses élèves. Ce processus consistant à donner du sens à une information nouvelle en l’interprétant à la lumière des acquis ne se limite pas aux enfants du primaire. 3. 4. 5. 6. Une bonne structuration du temps apporte une autre forme de structure.

Maria Montessori Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Maria Montessori Compléments Biographie[modifier | modifier le code] Elle est issue d'une famille bourgeoise. En 1882, ses parents déménagent à Rome pour qu'elle fasse des études. En 1884, Maria éprouve un très grand intérêt pour les mathématiques et la cuisine. Maria intervient au congrès de pédagogie de Turin en 1899 : Guido Bacceli, Ministre de l'Éducation, lui demande de faire des conférences à Rome peu après. En 1901, elle commence à s'intéresser aux enfants « normaux ». Maria Montessori avec le journaliste américain Samuel Sidney McClure, qui fit connaître son œuvre aux États-Unis, en 1914. La création de la première Maison des enfants (Casa dei bambini) a lieu en 1907 dans le quartier populaire de San Lorenzo à Rome[2],[1]. regrouper tous ces enfants et les empêcher d'errer, de semer le désordre,procurer une meilleure hygiène et instaurer une harmonie familiale. Elle organise des cours internationaux à partir de 1913. Pédagogie Montessori

Socio-constructivisme Ce mouvement pédagogique est à la base des principes du social learning. Mais de quoi s’agit il ? En réalité, il font suite aux travaux de Piaget, et démontrent que le processus d’assimilation/accommodation est en réalité assuré par une médiation sociale dans laquelle l’apprenant est co-auteur dans l’acquisition de la connaissance. Ainsi, l’environnement social, affectif, émotionnel joue un rôle primordial dans le développement cognitif de l’enfant et de l’adulte. Dans cette perspective, il est important de mettre en avant le fait que les acteurs de la construction et du développement intellectuel de l’individu sont bien évidemment les parents et les professeurs mais également les autres élèves de la classe. Ainsi le processus d’apprentissage comporte plusieurs dimensions : la capacité cognitive de l’individu en terme de développement neuronal par exemple mais aussi la richesse des interactions sociales dont il pourra bénéficier. A consulter ici

Pédagogie Montessori La pédagogie Montessori est une méthode d'éducation créée en 1907 par Maria Montessori. Sa pédagogie repose sur l'éducation sensorielle et kinesthésique de l'enfant. Description[modifier | modifier le code] La pédagogue italienne Maria Montessori étudie d'abord en médecine. Ce projet d'éducation nouvelle s'inscrit dans la promotion de la paix et du progrès ; il repose sur trois piliers : une posture particulière de l’éducateur, un environnement préparé et un matériel pédagogique spécifique[2]. Montessori a voulu élaborer une « pédagogie scientifique » s'appuyant sur une démarche expérimentale et des observations, dans le but d'obtenir l’épanouissement de l'enfant[3]. de 0 à 6 ans (petite enfance) : l’enfant veut apprendre à se débrouiller seul. Elle utilise du matériel repris notamment aux professeurs Jean Itard et Édouard Séguin, tout en l'adaptant aux périodes sensibles de l'enfant. Historique[modifier | modifier le code] Montessori aujourd'hui[modifier | modifier le code]

Constructivisme Le constructivisme est une théorie de l’apprentissage fondée sur l’idée que la connaissance est élaborée par l’apprenant sur la base d’une activité mentale. Cette théorie repose sur l’hypothèse selon laquelle, en réfléchissant sur nos expériences, nous nous construisons et construisons notre propre vision du monde dans lequel nous vivons. Développée par Jean Piaget (1964) en réaction au behaviorisme, la théorie constructiviste met en avant le fait que les activités et les capacités cognitives inhérentes à chaque sujet lui permettent de comprendre et d’appréhender les réalités qui l’entourent. Ainsi, une personne confrontée à une situation ou à un problème donné va être amenée à mobiliser un certain nombre de structures cognitives, nommées schèmes opératoires. L’enseignement constructiviste est fondé sur la croyance que toute personne apprend mieux lorsqu’elle s’approprie la connaissance par l’exploration et l’apprentissage actif, les mises en pratique remplaçant les manuels.

4 étapes pour favoriser l’engagement des élèves dans les projets scolaires - Infobourg.com Dans son mémoire de maîtrise, l’enseignant Stéphane Côté a identifié 4 points qui semblent être des facteurs clés pour favoriser l’engagement de haut niveau des élèves dans les projets scolaires. Derrière chaque élément se trouve un concept central de l’approche : la motivation personnelle des jeunes. Ces 4 recommandations sont une sorte de conclusion à son projet de mémoire de maîtrise. Elle datent de… 2008, mais sont encore tout à fait d’actualité! On peut consulter le texte complet sur son site. 1. Les recherches de l’enseignant lui ont permis d’identifier qu’une erreur souvent commise par les pédagogues est de créer un climat favorisant la motivation extrinsèque plutôt qu’intrinsèque des élèves. 2. 3. Pour réussir en tant qu’enseignant dans une telle approche par projet, M. 4. Les TIC dans un projet favorisant un haut degré de motivation des élèves ne devraient surtout pas se résumer à mettre au propre une production écrite! À propos de l’auteur Audrey Miller Pour suivre l’auteur :

Humaniste - Carl Rogers Portrait de Carl Rogers Il a principalement œuvré dans les champs de la psychologie clinique, de la psychothérapie, de la relation d'aide (counseling), de la médiation et de l'éducation. Sa méthode met l'accent sur la qualité de la relation entre le thérapeute et le patient (empathie, congruence et considération positive inconditionnelle). Une étude publiée en 2002 dans la Review of General Psychology a classé Carl Rogers comme le 6ᵉ psychologue le plus important du XXe siècle[1]. Biographie[modifier | modifier le code] Enfance et études[modifier | modifier le code] Les trois attitudes rogériennes[modifier | modifier le code] Selon Rogers, les trois attitudes fondamentales du psychothérapeute (ou de l'aidant) sont l'empathie, la congruence et le regard positif inconditionnel. L'empathie (ou verbalisation) s'exprime par des messages verbaux et non verbaux. La « chaleur » (ou considération positive, non-jugement), enfin, consiste en l'accueil inconditionnel du patient / client. 1930.

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