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La confession-choc d'un célèbre écologiste devenu pro-OGM

La confession-choc d'un célèbre écologiste devenu pro-OGM
Temps de lecture: 4 min Si les aliments génétiquement modifiés vous font peur, Mark Lynas fait sans doute partie des gens que vous pouvez remercier. De son propre aveu, le dynamisme du mouvement anti-OGM, né au cours des années 1990, lui doit beaucoup et, en 2008, il expliquait encore comment l'égoïsme et la cupidité des multinationales du transgénique allaient mettre en péril la santé des humains et celle de la planète. Grâce aux efforts de Lynas et de ses homologues, tous les gouvernements du monde –en particulier ceux d'Europe de l'Ouest, d'Afrique et d'Asie– ont freiné les recherches sur les OGM et, à l'instar de Greenpeace, de nombreuses ONG ont banni tous les dons d'aliments génétiquement modifiés. Mais Lynas a changé d'avis –et il compte bien le faire savoir. Et comme on peut le voir dans cette vidéo et la retranscription qui l'accompagne, dès son préambule, il n'y est pas allé de main morte: «Je voudrais commencer par présenter mes excuses. Grande rigueur intellectuelle Torie Bosch Related:  ecologie

ET SI ON ARRÊTAIT AVEC CES LÂCHERS DE BALLONS? - En vert et contre tout Défilés, mariages, anniversaires: pourquoi tout ce plastique en l'air? Ballonfest 1986: « The Mistake On The Lake » Cleveland, USA. Plusieurs associations caritatives s’unissent pour battre le record du monde de lâcher de ballons de baudruche remplis d’hélium, détenu jusque là par le parc d’attraction californien, Disneyland. Ainsi, le 27 septembre 1986, 1,5 millions de ballons gonflés par 2500 bénévoles prirent leur envol dans le ciel de l’Ohio…en même temps qu’une violente tempête se levait. Les forts vents empêchèrent les ballons de s’élever, gardant la masse de latex coloré dans la ville et sa périphérie. Résultat des courses: un aéroport fermé, des accidents, des chevaux apeurés… et deux morts. Autre conséquence de la « Balloonfest » : un coût environnemental colossal, notamment pour la faune aquatique. Les ballons sont-ils biodégradables? Nous parlerons ici de deux différents types de ballons, ceux en latex synthétique et ceux en latex naturel. Lourd impact sur la faune Leïla Rölli

Nous voulons des coquelicots, l'appel du lobby BIO ? — Le blog d'Utopia Mercredi 12 septembre, parait le manifeste du mouvement des Coquelicots militant pour l’arrêt de tous les pesticides. « Un appel urgent qui doit réunir tous les citoyens », espère Fabrice Nicolino, journaliste rescapé des attentats de Charlie Hebdo. L’appel, lancé à grand renfort médiatique, n’est pas passé inaperçu : Les grands médias ont relayé l’information et à l’heure où j’écris ces lignes la pétition récolte plus de 160 000 signataires… Nous ne débattrons pas ici de la pertinence de cet appel. Sur le fond, un combat écologique est un combat légitime, voire essentiel. En revanche, nous parlerons de la méthode, et de la motivation, pas forcément aussi « citoyenne » que ce que l’on est en droit d’espérer. « C’est un appel lancé par des humains à d’autres humains. » En gros, les chercheurs, spécialistes du sujet, sont absents. Nous trouvons également dans cette liste, quelques personnalités, pour la plupart connues pour leur militance. Vraiment ? Steiner en disait ceci : Tous ? Non.

Soja, coco ou amande : les laits végétaux sont-ils vraiment écolos ? Leur bilan carbone est, en effet, souvent inférieur à celui du lait de vache dont la filière représente 18 % des émissions de gaz à effet de serre de la planète et nécessite une plus grande quantité de ressources. Pourtant, certains laits végétaux ne sont pas si bons pour la planète… Focus. Vous l’avez sûrement goûté au moins une fois. Après le lait de soja vient le lait d’amande. Si vous ne connaissez pas le lait d’amande, vous connaissez alors sans doute le lait de coco. Il possède toutefois un défaut : le nombre de kilomètres parcourus par le produit avant d'arriver dans nos frigos.

Le bio : ni vraiment bio, ni vraiment bon Par Richard Guédon. Étude après étude, malgré l’énorme pression sociale et médiatique qui martèle le contraire, il faut se rendre à l’évidence, le bio n’a aucun effet sur la santé des gens qui le consomment à grand frais. Pourtant, certains scientifiques entretiennent la confusion. L’état actuel des connaissances ne permet pas de conclure avec un niveau de preuve suffisant, fondé sur le consensus scientifique, sur un effet bénéfique de la consommation d’aliments « bio » pour préserver la santé de la population… C’est la conclusion limpide d’un article paru dans le dernier numéro de « La Revue du Praticien », revue médicale française de référence sous le titre « Les aliments bio sont-ils meilleurs pour la santé ? Mais il faut en manger quand même… Une fois de plus l’examen rigoureux des dossiers par les experts les plus compétents démontre que l’alimentation bio n’a aucun effet sur la santé des gens qui la consomment à grands frais. Pourquoi faire des études ? Un principe bien confus

20 raisons de ne pas consommer bio (1ère partie) Publié le 24 septembre 2015 Par Wackes Seppi. Récemment, les mamans blogueuses de Mamavation ont tapé fort sur la communauté scientifique et les entreprises avec des campagnes de peur et des sermons de culpabilisation du style : « Si vous aimez vos enfants… ». L’argent afflue de partout et même les stars de Hollywood sont en train de lire leurs scripts tout préparés : « Pesticides et OGM = mal », ou « les bonnes mères achètent bio ». Quand j’ai lu l’article faiblard, au ras des pâquerettes, que Mamavation (dont le slogan est : « Changing Lives One Mom at a Time » (changer la vie, une maman à la fois ») a intitulé : « Les 10 raisons de nourrir votre famille avec des produits bio », je me suis dit : c’est du délire (quoique, c’est fait pour que les gens se sentent bien). Il m’a mis au défi de produire 10 raisons de ne pas nourrir votre famille avec des produits bio et, en quelques minutes, je me suis retrouvé avec 15 raisons et, peu de temps après, jusqu’à 25. 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10.

Zéro déchet: les gestes verts que le livre m'a inspirés Green Zéro déchet moi? Non! Mais j’ai adopté ces gestes verts anti-gaspi après la lecture du livre de Béa Johnson prônant une vie minimaliste et sans gaspillage. Il y a un an, j’ai lu le livre de Béa Johnson prônant une vie minimaliste et sans gaspillage, « Zéro déchet ». Dans ce billet je vous liste ce qui a changé pour moi après la lecture de « Zéro Déchet »! J’avais déjà listé 10 gestes pour voir la vie en vert par ici. Je dis non aux sacs en plastique! Les astuces Zéro Déchet à explorer D’autres pistes écolo intéressantes, mais que je n’ai pas adoptées personnellement. Le vrac m’attire! En matière d’écologie, je ne suis pas exemplaire, mais je suis contente de faire des efforts! Alors, ce billet vous donne-t-il des idées?

3 questions à @TristanKamin sur une autre vision du nucléaire ! - Twog En premier lieu, parce qu’il s’agit d’une décision extrêmement importante dont les enjeux (économiques, technologiques, sociaux…) se répercutent sur plusieurs décennies, et je ne vois pas comment laisser la peur guider une telle décision peut être une bonne idée. Plus concrètement, aucun de ces accidents ne peut raisonnablement conduire à penser «le nucléaire en France est trop dangereux parce que Tchernobyl, parce que Fukushima». Tchernobyl, c’est un réacteur en tous points différents des nôtres, à une époque bien différente, dans une société bien différente (et ça n’est pas anodin : la gestion de crise en U.R.S.S., ou plutôt le déni de crise, a rendu cette catastrophe bien plus grave qu’elle n’aurait pu l’être). Enfin, se pose la question de savoir comment produire notre électricité si ce n’est au nucléaire… Elles ont toujours existé. Elles sont mêmes plus insuffisantes que jamais car, aujourd’hui, on veut de l’énergie quand on en a besoin, pas quand la nature veut bien nous en donner.

Trop jeune, manipulée, payée... Nous avons passé au crible les critiques faites à Greta Thunberg Avant son passage devant l'Assemblée mardi, des députés ont critiqué l'activiste suédoise. #AlertePollution Rivières ou sols contaminés, déchets industriels abandonnés… Vous vivez à proximité d’un site pollué ?Cliquez ici pour nous alerter ! Deux tresses qui dégringolent sur ses épaules, un bonnet enfoncé sur la tête et une pancarte dans les mains. 1Elle est trop jeune et devrait retourner à l'école "La petite Greta, cette gamine de 16 ans devant laquelle il faut plier le genou." Il est loin d'être le seul à le penser. Greta Thunberg l'entend volontiers. "C'est bien qu'elle soit jeune, pense au contraire le chercheur Daniel Boy, directeur de recherche au Cevipof, spécialisé dans les mouvements environnementaux. 2Elle est manipulée par des lobbys verts Pour Valérie Boyer, la jeune militante écologiste est également "sous emprise". Ne pensez-vous pas qu'une adolescente de 16 ans puisse parler d'elle-même ? Le nom qui revient le plus souvent est celui d'Ingmar Rentzhog.

Forêt amazonienne : peut-on vraiment parler du "poumon de la planète"? L'agriculture bio utilise-t-elle des pesticides ? « ​Pesticides : opération désintox ​​», épisode 4. A l’occasion de la consultation publique lancée par le gouvernement sur les distances à respecter entre les habitations et les zones d’épandage de pesticides, Emmanuelle Ducros lance une série pour dissiper les peurs sur ce sujet ô combien passionnel Une légende tenace et bien entretenue veut que le bio soit une forme d’agriculture qui n’utilise pas de pesticides ou de produits phytosanitaires. Le diable est dans les détails. La nature nous a donné les amanites phalloïdes, la ciguë ou le curare. Ce sont des produits qui font débat. Les produits phytosanitaires utilisés en agriculture biologique ne sont pas plus anodins que les autres, ce sont des principes actifs qui sont évalués dans les mêmes conditions que les autres. C’est une bonne chose de dire que l’agriculture biologique utilise aussi des produits pour traiter les plantes. C’est pour ça qu’il faut en finir avec le marketing du bio sans pesticide de synthèse.

Un sapin artificiel, c’est vraiment meilleur pour l’environnement? Un sapin artificiel, ça pollue vraiment moins ? Non ! Selon le cabinet d’études canadien Ellipsos, un sapin de Noël artificiel émet l’équivalent de 8,1 kg de CO2 pour sa production et pour son transport. Un sapin de Noël naturel n’émet lui, « que » 3,1 kg de CO2. C’est que le sapin naturel est biodégradable et stocke du CO2 quelques années, quand les sapins synthétiques sont constitués de matières plastiques à base de pétrole, non renouvelable, et de métaux. Oui mais au bout d’un moment, c’est quand même plus écologique, non ? D’après l’étude, il faudrait garder son sapin de Noël artificiel plus de 20 ans pour que son bilan carbone soit meilleur qu’en achetant chaque année un sapin naturel. Oui mais en achetant un sapin naturel, je contribue à la déforestation… Les sapins de Noël sont des variétés cultivées, on ne contribue donc pas à décimer la forêt en achetant son sapin. Comment faire pour que l’impact écologique de mon sapin soit le plus faible possible ?

Pourquoi je ne souhaite pas voir Pierre Rabhi dans mon lycée J’ai failli en tomber de ma chaise, tout à l’heure, en voyant passer un message qui propose à des établissements scolaires dont le mien d’accueillir Pierre Rabhi, pour ce que j'ai compris être une semaine d’interventions filmées devant élèves !!! On est face à un projet piloté par le « CLEMI / France TV », et dont la description est la suivante : « Il s’agirait d’accueillir sur la semaine du 27 au 31 janvier (semaine de l’Education de France TV) Pierre Rabhi pour une rencontre avec une ou plusieurs classe » France TV présente ainsi son projet : « Le thème de la Semaine de l’éducation de France Télévisions est celui de l’Environnement. Comment en parler quand on est un média ? Comment sensibiliser les jeunes à partir d’une offre audiovisuelle (info, doc, mag, web). Nous proposerions à une ou plusieurs classes d’un établissement une rencontre en deux temps : La projection d’un magazine (supplément du JT Week-end de France 2) sur la pollution (plastique) des fleuves (dont le Rhône) en Europe.

En Allemagne, les effets inattendus de la sortie du nucléaire - Revue Passages En 2011, sous la pression de l’opinion publique inquiète de la catastrophe de Fukushima, Angela Merkel s’engage à une sortie complète et définitive du nucléaire à l’horizon 2022, date à laquelle le dernier réacteur devra fermer. Le recours aux énergies renouvelables, notamment solaire et éolienne, a été très largement promu. Mais, malgré des progrès indéniables, il reste encore insuffisant pour couvrir la perte des centrales nucléaires et les besoins énergétiques des Allemands. Une étude américaine vient de dévoiler les conséquences sanitaires inattendues — et dramatiques — de la sortie trop rapide du nucléaire en Allemagne. Une hausse de la mortalité liée à la pollution de l’air est notamment évoquée. Un déficit de production énergétique compensé par les énergies fossiles En 2018, 38 % de la production énergétique allemande était issue des centrales à charbon. En France, la filière nucléaire représente 67 % du mix énergétique, alors que le recours au charbon reste négligeable.

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