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L'imprimante 3D , une innovation qui peut tout bouleverser !!

L'imprimante 3D , une innovation qui peut tout bouleverser !!
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Votre design 3D devient réalité avec l'impression 3D L’impression 3D prête à révolutionner les industries du jeu Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Maxime Vaudano Dans l’étroit local embouteillé du « Petit fablab de Paris », on peine à imaginer que le fragile cube jaune qui bourdonne dans un coin deviendra peut-être un jour le fossoyeur de pans entiers de l’industrie mondiale. Connectée à un ordinateur, l’imprimante 3D de cet espace associatif fabrique patiemment une figurine de quelques centimètres de haut qui n’est pas sans rappeler les « Warhammer », une collection de figurines qui compte des milliers d'amateurs en France. Aux quatre coins de la France, cette technique commence à intéresser des passionnés, qui y voient le potentiel de s’émanciper des grands acteurs économiques. « Figurinistes », bricoleurs de décors, amoureux des jeux de société : beaucoup sont convaincus qu’il sera bientôt possible d’imprimer tout le matériel nécessaire à leur hobby directement chez eux. Lire (édition abonnés) : "On ira dans un fablab comme chez un commerçant"

Le calcul numérique, ça chauffe ! | Digital MIF « Jugaad » (*) ! Ainsi s’exclamerait Navi Radjou, le chantre franco-indien de l’innovation frugale, en découvrant les solutions des Français Qarnot Computing et Stimergy. Ces deux start-ups développent des infrastructures de cloud computing en rupture avec celles communément concentrées dans les data centers actuels. Leurs fondateurs, respectivement Paul Benoît et Christophe Perron, deux ingénieurs, le premier polytechnicien, le second diplômé de Supelec, ont eu l’idée ingénieuse d’exploiter l’énergie calorifique des ressources de calcul pour chauffer les bâtiments. Paul Benoît, CEO de Qarnot Computing. Paul Benoît est le premier à être sorti du bois en fondant fin 2010 sa société Qarnot Computing implantée à Paris et Montrouge. Les différents composants d’un radiateur numérique. Le parc de Qarnot est aujourd’hui formé de 350 radiateurs numériques, dont 300 ont récemment été déployés dans des logements sociaux en collaboration avec la Régie immobilière de la ville de Paris (RIVP).

Lexique de l'impression 3D Pas toujours simple de s’y retrouver dans ce monde de l’imprimante 3D qui fourmillent de termes techniques. Voici un lexique qui vous permettra de connaitre rapidement les définitions des termes usités comme les types de plastique ou les modes d’impression sans oublier les pièces caractéristiques des imprimantes. Un sigle pour un nom barbare : l’Acrylonitrile Butadiène Styrène. Voir la différence avec le PLA. Extruder : C’est la pièce emblématique de l’imprimante 3D. Extrusion : Action thermomécanique qui consiste à faire passer de la matière à travers une « filière ». Extrusion thermoplastique : Voir Fused Deposition Modeling Fused Deposition Modeling : Ou FMD. C’est l’acide polylactique (PolyLactic Acid en anglais). Voir la différence avec l’ABS Selective Laser Sintering : Ou SLS. Voir Selective Laser Sintering Voir Stereolithography Stereolithography : Ou SLA. Thermoplastic Extrusion : --Cet article a été rédigé par +Francois

Tobeca | RepRap Diffusion La Tobeca® est une imprimante open source développée et fabriquée en France. Toutes les sources du projet sont disponibles sur GitHub. Elle a la particularité d’être transportable dans sa solide mallette pour en faire un produit performant et peu encombrant. Grâce à la simplicité de sa conception et à sa robustesse, faire des impressions 3D est pratiquement aussi simple que d’imprimer une feuille de papier. Sa connexion USB permet de la connecter à n’importe quel ordinateur (Windows, Linux ou Mac) et son logiciel intégré Repetier Host intègre toutes les fonctionnalités nécessaires pour faire vos impressions et gérer votre imprimante 3D. Ses profils d’impression pré enregistrés permettent de choisir en un clic la vitesse et la finition du modèle à imprimer. Découvrez la Tobeca en détails dans la galerie ! Petite vidéo de la FCEC sur le montage de leur Tobeca® : Liste complète des spécifications techniques

L'imprimante 3D est déjà dépassée... place à la 4D L'impression 3D, c'est tellement 2013! Désormais, c'est sur la 4D qu'il faudrait miser. Tandis que la première de ces technologies révolutionnaires se démocratise à peine - La Poste par exemple teste en France un service d'impression d'objets - la seconde se développe. Un objet intelligent Mais au fait, des objets en quatre dimensions, qu'est ce que c'est? Il s'agit en effet de matériaux qui évoluent dans le temps ou s'adaptent à leur environnement. Qui intègre la nano-technologie Concrètement, pour passer de la troisième à la quatrième dimension, il faut ajouter un élément: les nano-technologies. Lors d'une expérience présentée en vidéo, il montre le fonctionnement de ses premiers prototypes. L'intérêt de ces nouveaux matériaux? Le chercheur explique ainsi: "J'aimerais proposer (...) qu'on combine le monde des matériaux adaptifs programmables de l'échelle nanotechnologique et l'environnement du bâtiment. Vidéo L'Armée américaine intéressée Des bijoux en 4D

5 innovations qui vont bouleverser le XXIème siècle Homo Sapiens Sapiens va sans grand doute accomplir plus de progrès techniques au XXIème siècle que pendant ses 100 000 premières années sur la planète. Passage en revue de 5 technos qui vont façonner notre siècle. Passage en revue de 5 technos qui vont façonner notre siècle : logiciels de reconnaissance des formes et comportements, véhicules autopilotés, logiciels de traduction, impression 3D, et appareils d’autodiagnostic médical. Les logiciels de reconnaissance faciale, reconnaissance des formes, des humeurs, logiciels d’anticipation comportementale. Grâce d’une part au perfectionnement croissant des capteurs en tous genres (caméras, micros, etc.) et d’autre part à l’immense puissance de calcul désormais disponible, les machines vont être en mesure de capter de plus en plus d’informations et de l’interpréter de façon de plus en plus fine. Viendront ensuite les visages. Les véhicules autopilotés : voitures et drones Notre ciel quant à lui s’apprête à être envahi par les drones.

Innovation. L'imprimante 3D s'invite dans les hypers L'imprimante 3D, kezako ? Depuis vendredi, une étrange machine intrigue les clients de l'hypermarché Leclerc de Kergaradec, aux portes de Brest. Cette imprimante 3D permet de reconstituer, après modélisation informatique, n'importe quel objet ! Les marques s'y mettent Ce week-end, des objets promotionnels à l'effigie de marques du réseau Produit en Bretagne ont été présentés, en plus de dégustations plus classiques. « On cherche constamment des idées pour innover, et exister en magasin », explique Malo Bouessel du Bourg, directeur de Produit en Bretagne. À Carrefour les 11 et 12 mars L'animation sera également proposée les vendredi 11 et samedi 12 mars prochain, à Carrefour Iroise. Lire aussi. Ouest-France.

Prix imprimante 3d - imprimer ses objets en trois dimensionsns Les grandes tendances de l’innovation biomédicale au XXIe siècle - Les grandes tendances de l’innovation biomédicale au XXIe siècle 1Monsieur l’Administrateur, Mes Chers Collègues, Chers Amis, Mesdames, Messieurs, 2En premier lieu, je voudrais remercier Pierre Corvol et Philippe Kourilsky, ainsi que Mesdames et Messieurs les professeurs, de me donner l’opportunité de partager ma vision sur les grandes tendances qui, aujourd’hui, dessinent l’innovation médicale. Norman Augustine, l’ancien président de l’Académie nationale d’Engineering des États-Unis faisait remarquer que les institutions dédiées au savoir font preuve d’une espérance de vie bien supérieure à celle des gouvernements. Sur cent gouvernements existant en 1900, seuls deux d’entre eux restaient inchangés, notait-il, alors que sur cent universités et académies existant au xvie siècle, plus de soixante-quinze demeurent bien vivantes, y compris le Collège de France. 1 Abraham H. 3Les scientifiques estiment que l’univers a commencé à l’occasion d’un « Big Bang » remontant à plus de quatorze milliards d’années. Le paradoxe central 4 Steven M. 6 Elias A.

On peut pirater les imprimantes 3D en les écoutant... Des chercheurs de l’Université d’Irvine en Californie ont démontré la possibilité de pirater les imprimantes 3D en écoutant leur fonctionnement pour reproduire leurs créations. Tandis que la plupart des fabricants d’imprimantes 3D commencent à peine à entrevoir un véritable marché grand-public pour leurs appareils, il semble que des esprits brillants aient déjà trouvé le moyen d’en pirater le fonctionnement. Depuis son démarrage, le concept d’impression 3D attise autant de curiosité que de craintes autour du respect de la propriété intellectuelle. Si certaines entreprises –comme le groupe SEB– choisissent de mettre à disposition les modèles 3D de leurs produits (afin de réduire les coûts de maintenance et remplacement de pièces usagées) d’autres s’inquiètent du risque de ‘copie’ généralisée grâce à l’impression 3D. Ce ‘piratage’ s’effectuerait simplement par l’écoute des bruits caractéristiques de la machine pendant le processus de fabrication additive.

Impression tridimensionnelle Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'impression 3D ou impression tridimensionnelle sont les termes courants utilisés pour parler des procédés de fabrication additive. Initialement, en raison de leurs défauts originels, ces procédés ont été développés pour le prototypage rapide, mais maintenant ils sont de plus en plus utilisés pour la fabrication de pièces fonctionnelles. Bien que d'autres existent, voici quelques technologies qui coexistent : le FDM (Fuse Deposition Modeling : modelage par dépôt de matière en fusion), la SLA (Stéréolithographie : une lumière UV solidifie une couche de plastique liquide) et le frittage sélectif par laser (un laser agglomère une couche de poudre). L'impression tri-dimensionnelle permet de produire un objet réel : un opérateur dessine l'objet sur un écran en utilisant un outil de Conception assistée par ordinateur (CAO). En 2013[modifier | modifier le code] Une maquette de façade d'immeuble créée par impression tridimensionnelle.

Santé, médecine. Le corps sous protection Les 12 et 13 décembre, se tient à Paris un colloque consacré au santéisme. Organisée par le Centre d’études des techniques, des connaissances et des pratiques (CETCOPRA), cette rencontre va interroger les enjeux de l’autosurveillance généralisée par les capteurs, les diagnostics précoces, la quantification permanente de soi. Deux organisateurs posent ici le paysage de la « santé assistée » et pointent quelques questions : quelles figures du corps, du vivant et de la santé façonnent ces pratiques ? Le « santéisme » est une idéologie qui envahit de plus en plus nos sociétés contemporaines. La « vie saine » quantifiée ou normée ? Pensons, par exemple, aux podomètres, aux biocapteurs et aux appareils de mesure utilisés pour produire des données biologiques personnelles au sujet de l’alimentation, de l’état de santé, des prestations sportives ou sexuelles. Service utile, dès lors que la personne peut donner du sens Télémédecine et numérisation des humains : la menace de l’infobésité

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