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L'iboga, une racine aux pouvoirs hallucinants

L'iboga, une racine aux pouvoirs hallucinants
LE MONDE SCIENCE ET TECHNO | • Mis à jour le | Par Sabah Rahmani En 1962, un jeune toxicomane, Howard Lotsof, expérimente avec six compagnons une nouvelle substance hallucinogène dont lui a parlé un ami chimiste : l'ibogaïne. Contre toute attente, après trente-six heures d'expérience, le jeune Américain et ses amis, tous accros à l'héroïne ou à la cocaïne, se sont libérés de leur dépendance. Un sevrage définitif pour Howard Lotsof et d'au moins six mois pour les autres, période durant laquelle ils sont restés en contact. Hasard ou grande découverte ? "Lorsque j'ai entendu parler de l'ibogaïne, je suis devenu très curieux, et sceptique. Depuis, les recherches, principalement américaines, menées sur des animaux et sur des cultures de cellules humaines ont précisé ses effets. "Elle est efficace dans le sevrage aux opiacés pratiquement la plupart du temps. "L'iboga s'inscrit dans un tout, elle m'a ouvert la conscience, nettoyé l'esprit et le corps", ajoute Eric. Related:  Psychonautica

Voyage psychédélique dans l’univers de Timothy Leary (3/4) | Centrifugue Beatnik, hippie, psychédélisme : cette troisième partie du guide consacré à Timothy Leary est, probablement, celle qui parlera au plus grand nombre, tant nos mémoires sont pleines de ces images. Après vous avoir brossé une bio express et m’être attardé sur ses influences, il est temps en effet de parler de son heure de gloire, à savoir les années 50-60. A la fois pionnier de l’exploration du cerveau, passeur dans le domaine artistique, icône pop puis victime sacrificielle, le personnage de Timothy Leary permet de brosser la naissance de la contre-culture aux Etats-Unis. Alors suivez la vague ! Un extrait du concert d’Hendrix à Maui en 1972 pour le film Rainbow Bridge. Les débuts du LSD : une affaire de blouses blanches… Etendre sa connaissance du monde : une démarche qui ne date pas d’hier comme nous l’avons vu. Et quel meilleur exemple que la découverte du LSD par Albert Hofmann ? Parmi ces promoteurs thérapeutiques du LSD, Alfred Matthew Hubbard est l’un des plus intrigants.

Le breuvage du voyage intérieur Hors de toute clandestinité, un psychédélique, l’ayahuasca, est utilisé pour lutter contre les addictions à la cocaïne, l’alcool ou les opiacés. Cela se passe au centre Takiwasi, en Haute-Amazonie, près de Tarapoto (Pérou). Fondé par le médecin français, Jacques Mabit, en 1992, ce centre adapte un rituel millénaire de guérison, en mélangeant psychologie occidentale et connaissances chamaniques. Exigeant et éprouvant, le traitement avec cette liane psychotrope associée à d’autres plantes dure neuf mois, et donne des résultats. Toléré dans certains pays, mais classé comme stupéfiant en France depuis 2005, parce qu’il contient du DMT (diméthyltryptamine, un psychédélique), l’ayahuasca, boisson dégoûtante préparée avec deux plantes, se consomme lors d’un rituel d’hallucination collective encadré par des maestros ou ayahuasqueros. Le voyage intérieur est marqué par des visions parfois effrayantes et des vomissements et nausées. La suite ?

-._,-v-._,- AromAttitude -._,-v-._,- Tout d’abord, il y a deux choses à prendre en compte : les divers moyens de se procurer des huiles essentielles et le problème de la dénomination française de ces dernières... Pour le premier point, le problème est clair : quand on achète ses huiles essentielles en pharmacie, on a accès par là-même aux conseils d’un pharmacien, et cela peut faire toute la différence !! Comme je le dis souvent, ce n’est pas parce que c’est naturel que c’est inoffensif, bien au contraire. Ensuite, il y a un souci quant à la dénomination des huiles essentielles. On se souvient qu’une telle pratique a entrainé une certaine ambiguïté autour du ravintsare (Cinnamomum camphora CT cineole) et du ravensare (Ravensara aromatica) entre autres, et parfois chez des personnes aussi qualifiées que les rédacteurs d’Aroma News (magazine du N.A.R.D., voir n°28) Vous trouverez la fameuse liste dans l’article D4211-13 du Code de la Santé Publique qui date d’août 2007 : Thuya (Thuya plicata Donn ex D. Badiane (Illicium verum)

Brave toddler Alfie Clamp stuns doctors after being born with extra strand of DNA Alfie Clamp was born with extra DNA which has caused a raft of heath problems Source: Supplied Boy diagnosed with condition at six weeks Parents unsure of son's life expectancy Two-year-old rushed to hospital six times See a picture of Alfie Clamp at the Daily Mail A BRITISH toddler has become the first person in the world to be born with an extra strand in his DNA, in a condition so rare doctors don't even know its name. Alfie Clamp, from Warwickshire, northern England, has a seventh chromosome which has an extra arm. Doctor discovered the extremely rare condition when Alfie, who was born blind and with severe disabilities, was just six weeks old. A series of tests revealed the extra strand of DNA, which has left the medical world baffled. His parents, Gemma and Richard, and doctors have no idea what his life expectancy will be or whether his condition will even improve. Mrs Clamp said: “When the doctors told us I was absolutely devastated.

Cognitive Curiosities | Melting Asphalt A menagerie of the mind. See also: Consciousness: An Outside View, Accepting Deviant Minds, Hallucinated Gods, Neurons Gone Wild States of consciousness Moods and emotions: sadness, fear, surprise, laughter, joy, lust, anxiety, guilt, anger, shame, pride, boredom, and nostalgiaDrugs: drunk, high, coked-up, focused, mellow, manic, ego-less. We typically think of these states as somehow unnatural, but they work by tweaking the same neurotransmitters that the brain uses every day. Not sure if all of the above qualify as "states" of consciousness; they may be mere "effects." Weird effects Synesthesia, ideasthesia, ASMR Alien hand syndrome, face blindness, blindsight, ... Split-brain patients

Des essais stupéfiants Peut-on soigner avec des psychédéliques ? Utiliser du LSD pour réduire les angoisses, face à la mort, de malades en phase terminale, ou de l’ecstasy pour combattre un stress post-traumatique ? Hors de France, de nombreuses études creusent ce filon de la médecine psychédélique qui a connu un bref succès dans les années 50, quand des stars comme Cary Grant se pressaient dans des cliniques huppées en Californie pour être traitées au LSD. «Pourquoi n’ai-je pas commencé plus tôt ?» «L’effet d’une bombe» Aux hôpitaux universitaires de Genève (HUG), le Dr Markus Kosel s’intéresse aux dépressions graves, dites résistantes à tous les traitements, psychologiques et biologiques. Dans ce contexte, l’étude menée en 2006 par Carlos Zarate du National Institute of Mental Health de Bethesda (NIMH), dans le Maryland, a fait «l’effet d’une bombe» (2). «Le front se relaxe» Chansonnette Markus Kosel cite l’effet «spectaculaire» survenu chez une patiente : «Son fils de 18 ans l’a entendu ensuite chantonner.

Impostures scientifiques, le serpent cosmique de jeremy Narby, science contre religions, anthropologie Le Serpent Cosmique - l'ADN et les origines du savoir Un anthropologue à la recherche de champignons hallucinogènes fait une découverte extraordinaire Entre les multinationales pharmaceutiques, minières, pétrolières, forestières, diamantaires, les missionnaires catholiques, évangélistes, les sociologues civilisateurs, les ethnologues hollywodiens, le sauvage capitalisme brésilien, et les épidémies apportées par tous ceux-ci, on peut s'inquiéter de l'avenir très incertain de nos insouciants frères d'Amazonie. Si des Dr Folamour, Pr Maboule, et des associations "New age" s'en préoccupent eux aussi, on peut craindre le pire. Déconstruction, en cinq étapes et en toute sobriété, d'une imposture anthropologique. L’anthropologue canadien Jeremy Narby a écrit « Le serpent cosmique – l'ADN et les origines du savoir », Terra Magna chez Georg Editeur - paru en 1995. 1 - Bien ! a. 4 - Voici pourquoi : Mais de qui se fiche-t-on à la fin ?!!? « Le cortex produit 4 formes. Rafael Terrón

Les Amis d'Iccarre - Evenement clicdanstaville en soutien aux Amis d'Iccarre Qu’est-ce que les amis d’ICCARRE ? Cette association a pour but: D’informer le public par l’organisation de conférences et de colloques sur le PROGRAMME ICCARRE, protocole de soin pour le plus grand nombre de patients HIV déjà sous traitement antiviral effectif, dans le but d’ajuster la posologie à 4, 3 ou 2 jours de prises par semaine..La promotion, la défense, la formation et l’accompagnement du PROGRAMME ICCARRE auprès des patients HIV, de leur famille et du grand public. Le protocole ICCARRE : Qu’est-ce que l’allègement thérapeutique ICCARRE (Intermittents en cycles courts les antirétroviraux restent efficaces) ? C’est diminuer les antirétroviraux sous forme de cycles courts (2 ou 3 jours par semaine) afin de préserver l’organisme du patient avec un traitement aussi efficace que 7 jours sur 7 et lui procurer un meilleur confort de vie au quotidien avec moins d’effets secondaires. Y-a-t-il sur-médication pour de traitement du VIH et cette sur-médication est elle dangereuse ?

What a Kambo Ceremony is Like - Goldmund Unleashed Getting burns scarred into your arm by a witch, shaking, sweating, vomiting, shitting your brains out, convulsing, and getting to a point where all you can think is “what has my life come to, why did I do this?” Sound like a nice way to spend a birthday? I had been interested in doing a Kambo Ceremony ever since hearing about it during my first Ayahuasca journey through Peru three years ago. The people who had done it raved about how it brought them new levels of clarity and spiritual refreshment. It sounded intriguing, especially because Kambo (or Sapo), is the poisonous secretion that comes from a large frog that is native to the Amazon. This badass has no natural enemies. When I was living in the rainforest in the Atherton Tablelands in Australia, we had tried to get the effects from Cane Toad poison, but the taste was so disgusting that none of us could handle it and nothing happened (yes, I have done some incredibly stupid shit in my life that I do not recommend). …To be continued

Approche thérapeutique de la prise d’iboga dans l’initiation au Bwiti vécue par les Occidentaux Approche thérapeutique de la prise d’iboga dans l’initiation au Bwiti vécue par les Occidentaux par Marion Laval-Jeantet De plus en plus de voyageurs vont vers les thérapies traditionnelles africaines, alors qu’ils considèrent que la thérapie psychologique ou psychanalytique occidentale s’est avérée insuffisante à régler leur mal-être. Dans le cas du Gabon, la rencontre a lieu dans un processus initiatique au sein de la religion du Bwiti dont les conséquences sont complexes. D’autant plus complexes que " l’outil " thérapeutique utilisé par les guérisseurs est une plante médiatrice, l’iboga, dont les effets psychotropes et physiologiques s’étalent dans le temps. Mots clefs : ethnopsychiatrie, initiation, iboga, Bwiti, thérapie traditionelle, toxicomanie, approche de la mort. Marion Laval-Jeantet psychothérapeute, artiste plasticienne et écrivain. ouvrages de l’auteur : Iboga : Invisible et guérison ( ) Dreigestirn, Piper Verlag, Münich, 2006.

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