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Les habiletés de "pleine conscience" aideraient à surmonter la procrastination

Les habiletés de "pleine conscience" aideraient à surmonter la procrastination
Les habiletés dites de pleine conscience ("mindfulness") aideraient à la surmonter la procrastination, rapporte le psychologue Timothy A. Pychyl de l'Université Carleton (Ottawa, Canada) dans le magazine Psychology Today. La pleine conscience est généralement définie comme consistant à porter intentionnellement attention aux expériences internes (sensations, émotions, pensées, états d'esprit) ou externes du moment présent sans porter de jugement de valeur. Une étude, menée avec 300 étudiants par un chercheur de l'équipe du Pr Pychyl, Mario Dosa, précise les facettes de la pleine conscience qui aideraient à éviter l'échec de régulation de soi-même qu'est la procrastination. Confirmant des études précédentes, il a constaté que la procrastination était liée à une faible disposition à la pleine conscience et une faible tendance à être consciencieux (1). En ce qui concerne la pleine conscience, l'influence de cinq composantes (proposées par Baer et al. en 2006) a été examinée. Related:  Procrastination

Test: Êtes-vous un procrastinateur? [ Europe1 : Florence Servan-Schreiber ] Derrière le mot un peu barbare de "procrastination" se cache un comportement bien contemporain. "On procrastine tous, constate la journaliste conférencière Florence Servan-Schreiber, invitée avec le rappeur Orelsan d' "Il n'y en a pas deux comme elle" mardi. C'est un phénomène de compensation : il y a quelque chose qui nous attend et lorsqu'on y pense, cela nous procure des émotions déplaisantes. 5% de cas inquiétants. "Remettre à demain, cela permet aussi de trouver de l’inspiration. Une question d'âge ? La procrastination: un échec de contrôle de soi dû à une régulation de l'humeur à court terme La procrastination représente un échec de régulation de soi-même qui se produit en raison d'une priorité accordée à la gestion de l'humeur à court terme, font valoir les psychologues Fuschia Sirois de l'Université Bishop (Sherbrooke, Québec) et Timothy Pychyl de l'Université Carleton (Ottawa, Canada). Comme le souligne le psychologue Joseph Ferrari, auteur de Still Procrastinating: The No Regret Guide to Getting It Done, "tout le monde qui procrastine n'est pas procrastinateur". Alors qu'il arrive à chacun de repousser indûment une tâche, environ 20% des gens seraient des procrastinateurs chroniques pour qui retarder l'accomplissement de ce qu'ils ont à faire à la maison, au travail (ou dans leurs études) ainsi que dans leurs relations est un mode de vie. La procrastination , définissent Sirois et Pychyl, consiste à retarder intentionnellement l'accomplissement d'une tâche prévue malgré l'attente de conséquences négatives dans un futur plus ou moins rapproché. leur feraient défaut.

Mythes et réalités: 10 trucs indispenables à savoir sur la procrastination Vous, je ne sais pas, mais moi, il m’arrive de procrastiner. Il m’arrive même de procrastiner grave et c’est la raison pour laquelle je me suis beaucoup intéressée au sujet à une époque où on en parlait très peu. Et maintenant, on en parle beaucoup, à peu près toujours de la même manière, à coup de recettes, trucs et astuces qui, s’ils avaient la moindre efficacité, auraient eu raison de la procrastination en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire. Pour remettre les pendules de ce comportement à l’heure, voilà tout ce que vous avez toujours eu besoin de savoir sur la procrastination. IL n’y a rien à faire: sur la procrastination, on nous ment, on nous spolie, on nous abreuve d’idioties. Du coup, je vous propose une petite rétrospective que j’aurais pu intituler tout ce que vous avez toujours eu besoin de savoir sur la procrastination, ou même un truc un poil plus malin, si je n’avais pas remis aux calendes grecques la recherche d’un titre digne de ce nom. 1001 procrastinations

Les orangs-outans planifient et transmettent la direction de leur déplacement un jour à l’avance Les humains sont assez fiers de leur capacité à établir des plans pour l’avenir. Mais il s’avère que nous ne sommes pas les seuls animaux à planifier. Les scientifiques ont observé des orangs-outans sauvages préparer leurs itinéraires un jour à l’avance et le communiquer aux membres de leur groupe. Au cour de ces dix dernières années, la recherche a commencé à démontrer que certains animaux au grand cerveau ont la capacité de planifier leurs futurs besoins, au moins en captivité. Dans les expériences de laboratoire, les scientifiques ont constaté que, lorsqu’ils ont le choix entre des outils, les orangs-outans et les chimpanzés ont choisi le bon outil pour obtenir une récompense une heure plus tard. Certains corvidés sont également connus pour penser à l’avenir. Pour le savoir, des anthropologues de l’Université de Zurich en Suisse ont décidé d’observer les orangs-outans de Sumatra (Pongo abelii) dans un marais de tourbe forestière en Indonésie. Une femelle orang-outan et son petit.

Comment arriver à ne plus repousser tout à plus tard « J’aime les dates limites, a écrit un jour l’auteur anglais Douglas Adams. J’aime le bruissement qu’elles font en disparaissant. » Nous avons tous connu cette expérience de vouloir mener un projet à son terme tout en le repoussant à plus tard. Parfois, c’est parce que nous n’y tenons pas suffisamment que nous le mettons en attente ; mais d’autres fois, nous sommes vraiment attachés à ce projet – et cependant nous finissons par faire autre chose. Moi, par exemple, en me mettant à faire le ménage chez moi alors que j’ai tant de travaux à annoter et que je sais bien qu’il faudra s’y mettre. Pourquoi, alors, procrastinons-nous ? Faire ou ne pas faire Tout commence par un choix très simple entre s’attaquer tout de suite à un projet, ou bien se consacrer à autre chose : réaliser une autre tâche, ou se livrer à une occupation plus amusante, voire ne rien faire du tout. Une date butoir lointaine Les gens ne sont pas entièrement rationnels dans leur façon d’évaluer les choses.

Les meilleures stratégies pour s'adapter aux échecs et revers du quotidien Les stratégies utilisées incluaient: le recours au soutien (émotionnel ou instrumental), la distraction, le déni, la religion, la ventilation, l'utilisation de substances, l'auto-accusation et le désengagement comportemental. Le recours au soutien social (émotionnel et instrumental), le déni, la ventilation, le désengagement comportemental et l'auto-accusation étaient liés à une moins grande satisfaction à la fin de la journée: plus les étudiants utilisaient ces stratégies, moins ils se sentaient satisfaits à la fin de la journée. Alors que le recadrage positif (essayer de voir les choses sous un angle plus positif, rechercher quelque chose de bon dans ce qui s'est passé), l'acceptation et l'humour avaient des effets positifs sur la satisfaction: plus ces stratégies étaient utilisées, plus grande était la satisfaction à la fin de la journée. Cette étude est publiée dans la revue Anxiety, Stress & Coping. Voyez également: Psychomédia avec source: Science DailyTous droits réservés

Dépasser la procrastination en moins de 5 minutes! Chers procrastinateurs, à force de vous mettre la rate au court-bouillon pour vous lancer dans les tâches que vous n’aimez pas, vous procrastinez davantage? Voici deux techniques simples et déculpabilisantes pour vous y mettre en moins de 5 minutes! Vous êtes procrastinateur(trice) de classe internationale? Vous savez alors autant que moi que les solutions ne sont pas à aller chercher du côté des objectifs SMART, des plans d’action, des trucs et astuces comme la to-do list (que je désigne avec conviction Grand amplifieur en chef de la procrastination chronique!) Car vous le savez, fidèles lecteurs, la procrastination n’est pas l’ennemi qu’on a bien voulu nous décrire et qu’il faudrait “combattre” comme une maladie ou une “mauvaise habitude”. Seulement voilà: ce n’est pas toujours possible. Attention à ne pas utiliser ces techniques pour vous mettre à tout un tas de tâches en parallèle, ce qui deviendrait contre-productif en générant une surcharge mentale. 1- S’y mettre pendant 5 minutes

Comment résoudre les conflits "parents enfants" (en 6 étapes !) Une alternative efficace à la punition : trouver des solutions ensemble ! Lorsqu’il y a conflit entre un parent et son enfant (en règle générale parce que les besoins de l’un, de l’autre ou des deux ne sont pas respectés), le réflexe de la grande majorité des parents est… la punition. Pour mettre fin au conflit et asseoir notre « autorité », nous envoyons notre enfant dans sa chambre, ou nous le privons de dessert. Pourtant, nous savons bien que la punition n’est efficace qu’à court terme… et que sur le long terme, ses effets peuvent être dévastateurs. Pour résoudre les conflits, il existe une alternative bien plus respectueuse de l’enfant qui, même si elle demande du temps, de la patiente et de la pratique, permettra petit à petit d’apaiser vos relations, tout en permettant à vos enfants de gagner en autonomie, en « autodiscipline » et en favorisant leur sentiment d’importance et d’appartenance !. Se focaliser sur les solutions implique donc : Pourquoi ça fonctionne ?

Procrastination, je ne te hais point;) La procrastination est une amie qui vous veut du bien. Vous faire croire le contraire, c’est un peu comme s’en prendre aux lanceurs d’alertes au lieu de regarder les dysfonctionnements qu’ils dénoncent ! Car c’est bien à ça que sert la procrastination : pointer du doigt ce qui ne va pas. Bref, procrastination, je ne te hais point. Ou je ne te hais plus. Ou moins qu’avant, puisque maintenant, je te comprends ! J’ai déjà eu l’occasion de vous en parler à de nombreuses reprises, la procrastination n’est ni de la paresse, ni une “vilaine habitude” ni un ennemi à abattre. “Je ne fais rien… “ Lors d’une séance, un client – appelons-le Patrick- me fait part du fait que sa procrastination le conduit, selon ses mots, à ne rien faire, ou du moins à ne pas faire tout ce qu’il devrait faire. Depuis quelques jours, au prix de grands efforts et de beaucoup de culpabilisation, il repousse quotidiennement le démarrage de ce dossier. “…mais je fais plein de choses à la place” En attendant le burnout

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