background preloader

SIEFAR - Accueil

SIEFAR - Accueil
Related:  Groupes & listes de femmesfemmes artistes ; généralités

10 Amazing Women Who Led Rebellions History Male revolutionaries such as Che Guevara have gone down as heroes for leading rebellions against “the Man.” But forgotten by history are the women who took on far greater powers than Fulgencio Batista. 10 Yaa Asantewaa Yaa Asantewaa, described as the African Joan of Arc, was Queen Mother of the Edweso region, part of the former Asante Kingdom and now modern-day Ghana. When the Asante began to resist British rule, the British Governor, Lord Hodgson, demanded that they turn over their Golden Stool, used as a throne and symbol of independence. Shortly after, on March 28, 1900, what was left of the monarchy was assembled and the British Captain demanded the Stool. This speech caused the Yaa Asantewaa War for Independence to break out on the same day. 9 Corazon Aquino Corazon “Cory” Aquino was a Filipino woman who, in 1986, led the first democratically elected government of the Philippines since before the Japanese occupation. 8 Laskarina Bouboulina 7 Queen Mavia Of Arabia 2 Toypurina

Chronologie Lesbienne - C.L.F. Comme l’histoire lesbienne n’est pas encore écrite, nous avons souhaité y contribuer avec "cette chronologie lesbienne" retrouver année par année les évènements, initiatives, actions et créations lesbiennes. identifier ce qui, dans le contexte social, politique, économique ou dans l’actualité de l’époque permet de cerner la situation des lesbiennes et des femmes. Cette chronologie s’appuie sur une première base de travail réalisée par Martine Laroche complétée des travaux de Brigitte Boucheron (que nous remercions au passage). Ces travaux ont été rendus possibles grâce aux Archives Lesbiennes (ARCL) qui depuis plus de 20 ans collecte et met à disposition documents, littérature, écrits de toute nature, objets..... ces précieuses traces de notre histoire lesbienne. Pour apporter vos compléments d’information, remarques, précisions, contactez clf.info@yahoo.fr

Les Éditions Sisyphe Depuis plus de quinze ans, Liliane Blanc lutte contre l’oubli et l’occultation des créatrices et, surtout, contre l’idée préétablie qui veut que seuls les hommes aient créé de "vrais" chefs-d’œuvre. Formée en histoire, en littérature et en pédagogie, cette conférencière exceptionnelle a révélé à de nombreux auditoires québécois un apport des femmes aux arts infiniment plus riche que celui que rapportent les traditionnelles histoires de l’art ou encyclopédies musicales et littéraires. En 1991, Liliane Blanc (1) publiait un premier essai sur les femmes et la création artistique, qui rassemblait l’information accessible, mais dispersée, sur un certain nombre de peintres, de musiciennes et d’écrivaines. Le projet est d’autant plus ambitieux que la période proposée dans le premier ouvrage est la plus délicate à circonscrire. Qu’à cela ne tienne ! La somme est édifiante. Cependant, pour chaque femme que la mémoire collective a gardée vivante, au moins dix ont sombré dans l’oubli. Références

Liste des femmes sur le Heritage Floor de The Dinner Party Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cette liste recense les femmes mentionnées sur The Dinner Party, une installation artistique de Judy Chicago. The Dinner Party, réalisée entre 1974 et 1979, comprend les noms de 1 038 personnalités féminines, mythiques ou historiques[1]. 39 de ces noms sont brodés sur un set de table, installé sur une table triangulaire, divisée en trois ailes. Les 999 autres noms sont inscrits sur le socle de l'œuvre. Aile I[modifier | modifier le code] Déesse primordiale[modifier | modifier le code] Partie centrale d'une grande mosaïque de sol provenant d'une villa romaine de Sentinum (actuelle Sassoferrato en Marche), v. 200-250 ap. Déesse primordiale (Primordial Goddess) ; Déesse mère, représentant la maternité, la fertilité, la création, la Terre. Déesse de la fertilité[modifier | modifier le code] Déesse de la fertilité (Fertile Goddess) ; déesse associée à la fertilité, la grossesse, la naissance, parfois au sexe et à l'amour.

Chronology of Women's History - Kirstin Olsen Femmes peintres à l'aube du XXe siècle Depuis la Renaissance (et même avant) un certain nombre de femmes peintres ont été répertoriées par les historiens de l’art. Quelques-unes sont devenues très célèbres, comme Artemisia Gentileschi, qui fût la première femme admise à l’Accademia delle Arti del Disegno de Florence (première Académie européenne) en 1616 ; Elisabeth-Louise Vigée-Lebrun, inscrite en 1783 à l’Académie Royale de Peinture et de Sculpture au côté de trois autres femmes, Adélaïde Labille-Guiard, Anne Vallayer-Coster et Marie-Suzanne Giroust-Roslin ; Berthe Morisot - amie de Manet ; Mary Cassatt – amie de Degas ; Suzanne Valadon, mère d’Utrillo et première femme admise à la Société Nationale des Beaux Arts en 1894 ; Marie Laurencin – amie de Guillaume Apollinaire ; Frida Kalho - femme de Diego Rivera ; Sonia Delaunay, Tamara de Lempicka ; Vieira da Silva, première femme à obtenir le Grand Prix National des Arts du gouvernement français, en 1966, et enfin Léonor Fini.

The Dinner Party Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Description[modifier | modifier le code] La table comprend 39 places pour autant de femmes. Elle repose sur un socle, appelé « plancher de l'Héritage » (Heritage Floor), triangle équilatéral composé de 2 300 plaquettes de porcelaine sur lesquelles figurent les noms de 999 femmes mythiques et historiques associées aux 39 convives suivantes[1] : Historique[modifier | modifier le code] Réalisation[modifier | modifier le code] Judy Chicago réalise The Dinner Party entre 1974 et 1979, avec l'assistance de plusieurs bénévoles, dans le but de « mettre fin au cycle continuel d'omissions par lequel les femmes sont absentes des archives de l'Histoire »[2]. L'œuvre est conservée au Brooklyn Museum de New York, aux États-Unis[3]. Réaction[modifier | modifier le code] Premières réactions des critiques (1980-1981)[modifier | modifier le code] The Dinner Party a provoqué diverses réactions. Réactions postérieures[modifier | modifier le code]

h' Artpon » Entretien dans Beaux Arts Magazine, septembre 2007 | « Pour en finir avec l’idée des femmes artistes victimes » Beaux Arts Magazine accorde dans son numéro de septembre 2 double pages à la retranscription d’un entretien avec la critique d’art Catherine Gonnard et l’essayiste Elizabeth Lebovici, au sujet de leur tout récent ouvrage consacré aux artistes femmes à Paris, de 1880 à nos jours. L’occasion de nuancer quelque peu le propos souvent unilatéral de victimisation des femmes artistes dans l’histoire de l’art. L’article met en avant les particularités de l’approche de ces deux spécialistes, à savoir les délimitations temporelles et géographiques du thème (de 1880 à nos jours, à Paris), et souligne ainsi l’originalité de leur ouvrage. A découvrir pour faire connaissance avec des artistes plus méconnues, et une vision sur de nombreux points contraire aux idées habituellement véhiculées. Femmes artistes / artistes femmes : Paris, de 1880 à nos jours, de Catherine Gonnard et Elizabeth Lebovici, aux éditions HAZAN | 480 pages, 45 euros.

Femmes artistes, une longue et difficile émancipation Le XIX° siècle « …que les hommes s’occupent de tout ce qui touche au grand art, de ce qui exige une conception élevée de l’idéal artistique (…), que les femmes se tiennent aux formes d’art pour lesquelles elles ont toujours marqué leur préférence : le pastel, le portrait, la miniature ou encore la peinture de fleurs, ces travaux minutieux qui conviennent si bien au rôle d’abnégation et de dévouement que toute honnête femme se réjouit de remplir ici-bas et qui est sa religion. » Gazette des Beaux Arts 1860 « Du rang des femmes dans les arts » Peu à peu le nombre de femmes artistes augmente, dans une plus large couche de la société. Elles enseignent le dessin comme professeurs ou gouvernantes, vendent leur production dans des boutiques, exposent. Une petite « industrie » du dessin se développe. Les freins sont toujours puissants, mais le féminisme est en marche avec les écrits de George Sand, les combats des suffragettes américaines. En 1900, elle leur sera enfin ouverte sans restrictions.

Les aventures d'Euterpe Centre des Archives du féminisme - détails Missions Après plus de dix ans d'existence, le CAF a permis de rassembler et de classer près de 150 mètres linéaires d'archives privées des XIXe, XXe et XXIe siècles, données ou déposées par des associations militantes d'envergure nationale ou par des personnalités françaises, de tous horizons, connues pour leurs combats et leurs prises de position féminites : Cécile Brunschvicg, Marcelle Devaud, Florence Montreynaud, Benoîte Groult... Le CAF mène une politique de classement et de conservation des documents concertée avec l'association Archives du féminisme et en partenariat avec la filière Archivistique de l'Université d'Angers. En complément de ces archives, la Bibliothèque universitaire d'Angers développe un fonds documentaire unique sur le genre et le féminisme, constitué de près de 10 000 ouvrages (notamment des livres rares, épuisés, des thèses et des mémoires, de la littérature grise, etc.) et d'environ 200 titres de revues féministes. Conditions de consultation horaires d’ouverture

Nathalie Heinich / Pourquoi y eut-il si peu de femmes artistes ? | elles@centrepompidou Nathalie Heinich est sociologue et directrice de recherche au CNRS. Ses recherches portent sur la sociologie de l’art. Elle a notamment publié de nombreux travaux sur le monde de l’art contemporain en France. L’histoire de l’art est, indubitablement, beaucoup plus riche en noms d’hommes que de femmes. Pour ce qui est du régime artisanal, (…) il n’exis­tait pas vraiment d’”artistes” au sens strict du terme, hommes ou femmes. Pour ce qui est du régime professionnel contemporain du mouvement académique, le très petit nombre de femmes artistes était fonction du statut même de toute activité rémunérée, quelle qu’elle soit: les travaux d’exécution ou les tâches domestiques étaient le lot des femmes pauvres; quant aux femmes de la bourgeoisie et de l’aristocratie, les occupations rétribuées - artistiques ou pas - leur étaient interdi­tes pour des raisons de prestige. La vraie question n’est donc pas celle de l’affinité, ou du manque d’affinité, entre art et féminité; (…) .

Radicalizing Cathedrals Way Before Pussy Riot: Meet The Top 10 Feminist Saints (Disclaimer: I’m atheist-ish, but my mom is Catholic and I was baptized Lutheran, so I’ve got that going for me.) Since Pope Francis was inaugurated in March, he’s been up to a lot of liberal shenanigans. He thinks homophobia and debates over abortion are a waste of time and is showing by example how love and humility are at the core of what it means to be Christian, from washing the feet of women to turning down the papal apartment. Four for you, Pope Francis. You go, Pope Francis. But long before the current pope shocked the world by not being a terrible person, there have been saints who exemplified what it means to be a good Christian. (listed in chronological order) 1. While many female saints are celebrated simply for their virginity, Mary’s case is a bit more interesting. “I’m the queen of heaven, nbd.” from the Ghent Altarpiece by Hubert van Eyck 2. 3. Wanting to avoid marriage, Apollinaria was allowed to go on a pilgrimage instead. 4. 5. 6. 7. 8. Vive la France et les lesbiennes!

Historique du droit des femmes - Info femmes : CNIDFF - Centre National d'Information sur les Droits des Femmes et des Familles - Le réflexe égalité Nous vous proposons un bref rappel, sur les deux derniers siècles de l'évolution des droits des femmes. 1791 : Olympe de Gouges rédige la « Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne » 1792 : La loi permet le divorce par consentement mutuel 1804 : Le code civil prévoit que : « le mari doit protection à la femme, la femme doit obéissance à son mari » 1850 : Création obligatoire d’écoles de filles dans les communes de 800 habitants (loi Falloux) 1876 : Hubertine Auclert fonde la société Le droit des femmes qui soutient le droit de vote pour les femmes 1903 : Marie Curie reçoit le prix Nobel de physique 1920 : La loi assimile la contraception à l’avortement qui est considéré comme un crime 1924 : Uniformisation des programmes scolaires masculins et féminins et création d’un baccalauréat unique 1938 : Suppressions de l’incapacité juridique de la femme mariée 1944 : Droit de vote et d’éligibilité pour les femmes. 1946 : suppression de la notion de « salaire féminin »

Related: