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Journée Mondiale Sans Achats, le 23 novembre

Journée Mondiale Sans Achats, le 23 novembre
Aujourd’hui le caddie est devenu un véritable totem dans les sociétés occidentales. Notre niveau de satisfaction dépend généralement de son niveau de remplissage et nous lorgnons toujours avec envie sur les caddies plus remplis que le notre. J’achète donc je suis devient le credo des accros de la carte de crédit. Le pouvoir de dire non ? Pour tout ceux qui en ont assez de faire partie de cette société de surconsommation, un rendez-vous incontournable : la journée sans achats fétée chaque année fin novembre. La journée sans achats, c’est 24 heures de réflexion sur l’impact social, économique et écologique de la consommation des pays riches sur l’ensemble de la planète. Lancé à l’initiative de la Media Fondation à Vancouver, cet événement est relayé dans de nombreux pays depuis plusieurs années. La journée sans achats est le meilleur moyen de s’interroger sur ses actes de consommation. Au fait, pour fêter la journée sans achat, n'oubliez pas d'acheter une bonne bouteille... la veille ! Related:  MARKETING 2017 2018

Bâcher les panneaux, l'action antipub made in Montauban | Rue89 Planète Tony Smith, restaurateur britannique installé à Montauban (Tarn-et-Garonne) depuis trente ans, n’avait rien d’un activiste. Seulement, il était fatigué de voir sa ville devenir moche à cause des panneaux publicitaires. Alors il s’est mis à les bâcher, en toute légalité. En 2006, il a rejoint l’association Paysages de France qui agit dans des domaines très variés pour faire respecter la beauté des paysages, et se met en tête de lutter contre la « pollution visuelle » des pubs géantes. « A Montauban, on est des intrépides, on a inventé la technique de bâchage des panneaux. Venu du réseau Résistance à l’agression publicitaire (RAP), il a réussi à fédérer une trentaine d’activistes du samedi, qui, armés de bâches à 3 euros et de pots de peinture, redécorent la ville. Panneau bâché à Montauban (DR). « Même les policiers et les RG nous soutiennent » A chaque action, ce sont une dizaine de panneaux de la ville qui passent du « Achetez plus ou moins cher » à « Réfléchissez avant d’acheter ».

Réactance psychologique des consommateurs face aux programmes de fidélisation : cas des cartes de fidélité dans la distribution Les programmes de fidélité tissent des liens et un contact important entre l’enseigne et ses clients. Ils influencent alors l’image de l’entreprise (Pez et Lunardo, 2008). Une mauvaise expérience liée au programme de fidélité (procédures longues ou pénibles pour bénéficier de la récompense ou du cadeau, stock limité par rapport au nombre de clients éligibles à la faveur, conditions d’éligibilité pénibles, faible valeur de la récompense, absence de confidentialité des informations personnelles…) est jugée négativement par les clients et peut provoquer la déception, le mécontentement, la frustration (Guftasson et al., 2004 ; Strauss et al., 2005, cités par Pez et Lunardo, 2008), la colère ou encore une restriction de liberté (« plus liés que fidélisés », Pez et Lunardo, 2008).

Seulement 10 entreprises contrôlent notre alimentation Lorsque l’on fait ses courses au supermarché, notre argent est destiné à l’une des multinationales suivantes : Coca-Cola, Mondelez, Mars, Unilever, Kraft, General Mills, Nestlé, PepsiCo, P&G, Johnson & Johnson, Danone et Kellogg’s. Pour illustrer ceci, Oxfam International a réalisé une infographie exhaustive qui montre l’emprise qu’ont ces 10 entreprises sur la nourriture que nous consommons. (Cliquez sur l'image pour l'agrandir) Avec ce graphique, il est possible de faire le lien entre plusieurs marques que l’on croyait indépendantes. Face à cette mainmise des multinationales sur l’alimentation, Oxfam International conseille : "Les plus grandes entreprises de nourriture et de boissons au monde ont beaucoup de pouvoir, mais vous en avez plus. Par conséquent, il nous est tout à fait possible d’arrêter d’enrichir ces grands groupes.

Les ruses de la pub pour continuer à vous cibler demain Oubliée la réclame à papa ! Désormais digitalisée, la pub se veut intelligente et personnalisée. Passage en revue des innovations les plus prometteuses. “Une bonne publicité, c’est le bon message livré à la bonne personne au bon moment.” La traditionnelle formule n’a jamais été aussi pertinente qu’à l’heure de la révolution numérique. Pour toucher des audiences fragmentées, des start-up moulinent des données permettant un ciblage des consommateurs toujours plus précis. Dans l’immédiat, ces jeunes entreprises ont pourtant à régler quelques problèmes plus pratiques, comme imaginer des moyens moins intrusifs et déjouer les blocages antipubs qui se multiplient, en particulier chez les millennials devenus totalement “adlergics”. Slogans sur trottoirs La pub qui ne laisse pas de trace ? >> À lire aussi - Pour ou contre la pub sur les trottoirs ? La “pause-pipi” monétisée En créant Little Corner en 2014, Efraim Clam a réussi une percée originale dans le monde encombré de l’affichage.

Nike : qui est Colin Kaepernick, visage de cette campagne de pub qui fait scandale ? Célébrée par les uns et détestée par les autres, la nouvelle campagne de pub Nike n'a laissé personne indifférent, aux États-Unis. Ce lundi 3 septembre, c'est Colin Kaepernick, un footballeur américain militant contre les violences policières, qui apparait sur le cliché en noir et blanc de la marque à la virgule. Un joueur controversé Et son message est clair : "Croyez en quelque chose. En guerre ouverte avec le président Donald Trump qui l'accuse d'anti-patriotisme, Colin Kaepernick s'est aussi mis à dos la police nationale, et la ligue de football américain (NFL). C'est historique Si côté sport, le joueur ne sera plus sur les terrains cette saison, il est toujours soutenu par son sponsor (avec qui il est sous contrat depuis 2011). Et les stars telles que Serena Williams, Alicia Keys, Naomi Campbell, Puff Daddy, Jessica Alba ou encore Russell Crowe ont envoyé toute leur admiration au sportif sur la Toile... >> A voir aussi : Nike : Thuram

Comment réussir la stratégie d'influence de sa marque ? Le marketing d'influence est devenu en quelques années l'un des leviers préférés des marques pour s'adresser à leurs clients avec plus d'authenticité. Mais, attention aux faux pas, rappellent les intervenants de la Big Session Influence organisée par le Club des annonceurs, le 14 septembre. Intégrer une brique de marketing d'influence dans sa stratégie est devenu la norme. C'est même "l'un de leurs leviers préférés des marketeurs", introduit Hubert Blanquefort d'Anglards, président du Club des annonceurs, à l'occasion de la troisième édition de la Big Session, consacrée le 14 septembre à la brand influence. Pourquoi ? La perception. Quel est le bon influenceur pour ma marque ? Une fois sa stratégie d'influence bâtie par la marque, encore faut-il trouver l'influenceur en adéquation avec son ADN et avec ses valeurs. Pour Philippe Schmidt, CTO de Prisma Media Solutions : "Le marketing de l'influence souvent résumé à Instagram, or il faut miser sur plusieurs sources. Pour aller plus loin :

Culture client : quel genre d’entreprise êtes-vous Chroniques d’experts Stratégie Le 04/09/2018 © Getty Images Les entreprises sont de plus en plus nombreuses à se revendiquer « customer centric » ou, a minima, à avoir engagé un programme de transformation pour le devenir. Combien d’entreprises sont réellement orientées clients ? Après avoir évalué la culture client de 115 entreprises françaises et 25 000 collaborateurs à l’aide de la méthode COS (Customer Orientation Score), nous avons distingué quatre groupes d’entreprises que nous pouvons schématiquement positionner dans une matrice représentant la culture client de l’organisation et la culture client des collaborateurs. La culture client de l’organisation correspond à la présence ou à l’absence des signes, des preuves, des actes ou encore des process perçus et interprétés par les collaborateurs comme la démonstration que leur entreprise se préoccupe avant tout de la satisfaction de ses clients. Les « génétiques » « L’ancien monde » Les « asymétriques » Les « volontaires » 1. 2.

Carrefour-Casino: "La grande distribution est fébrile" Ce week-end, l'automne s'est officiellement installé sur la France, mais les relations entre Carrefour et Casino, les deux géants de la distribution, sont directement passées aux températures hivernales. Réuni dimanche, le conseil d'administration du groupe de distribution stéphanois a publié au court de la nuit un communiqué pour refuser une "tentative de rapprochement" dont il aurait fait l'objet de la part de son concurrent Carrefour. Tandis que ce dernier, dirigé par Alexandre Bompard depuis un peu plus d'un an, a rapidement répliqué pour démentir des "insinuations inacceptables", et même menacé d'une action en justice. Carrefour reconnaît toutefois qu'une réunion a bien eu lieu le 12 septembre, mais à l'initiative de Casino, qui chercherait un soutien financier. Comment analysez vous la sortie de Casino ? Il peut s'agir d'un ballon d'essai, pour voir comment les marchés réagissent à la perspective d'une fusion. Un rapprochement Carrefour - Casino aurait-il du sens ?

Comment utiliser la gamification pour acquérir et fidéliser ses clients? Générer du trafic en magasin ou sur son site e-commerce, augmenter vos paniers, faire parler en ligne ou découvrir vos offres : tout devient possible si vous jouez le jeu de la gamification. Le fameux Whooper, l'appétissant Steakhouse ou le plus redouté King Fish ? Que diriez-vous si l'on vous servait au hasard l'un des 10 principaux burgers de Burger King, pour seulement 2 euros, mais à condition de laisser le hasard décider, et tant pis s'il ne convient pas ? En tant que directrice marketing de Burger King, elle a notamment lancé le "Burger Mystère" ainsi que l'opération "King ou Double" début 2018, elle-aussi basée sur un principe de gamification : à l'achat d'un menu King Size, le client se voit offrir un burger ou un autre menu, mais peut remettre ce gain en jeu pour se voir offrir une voiture ou... une petite frite. Surprise, buzz et trafic Fidélisation et mémorisation L'important, c'est de... gagner ! Pour aller plus loin : - La gamification séduit les shoppers

Magasin du futur, qu'attendent vos shoppers ? L'avènement du e-commerce a bouleversé le parcours d'achat et conduit les retailers à repenser le rôle de la boutique. Axis Communications et Ipsos ont interrogé des consommateurs pour comprendre leur expérience shopping idéale et aider les enseignes à imaginer les magasins de demain. Le magasin du futur sera phygital, expérientiel, connecté et " services centric ". Les prédictions des experts Retail se multiplient et s'accordent sur ces quatre tendances, la démarche d'Axis et Ipsos* donne la parole aux consommateurs pour comprendre leurs besoins, leurs insatisfactions et leurs attentes en termes de parcours clients en magasin. Téléchargez l'étude. " Je veux vivre une expérience " Le shopping est avant tout un moment de plaisir et d'évasion. L'expérience est aussi une dimension indispensable à la mise en valeur du produit. Les points faibles sont encore nombreux en ce qui concerne la fluidité du parcours en cas d'affluence et contribuent en partie au succès du e-commerce.

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