Initiative de Transition Un article de Ékopédia, l'encyclopédie pratique. Une Initiative de Transition est une approche impliquant la communauté. Elle vise à préparer les mutations, et à mettre en place les solutions pour faire face à la crise pétrolière et aux changements climatiques. Cette approche donne à une communauté en état de choc (on parle aussi de résilience), la capacité de réduire son empreinte écologique (pollutions), son bilan carbone; et de mieux se préparer aux bouleversements qui accompagneront le pic pétrolier actuel... Ce mouvement possède plusieurs noms : anciennement, Villes en Transition, plus récemment Transition France [1], mais également Réseau de Transition ou encore Mouvement de Transition. L'approche des initiatives de Transition s'applique à des structures diverses (villages, villes, îles, districts, arrondissements, zones géographiques diverses, etc). Historique L'idée fut adoptée, puis développée, en septembre 2006 dans la ville de Totnes en Angleterre (où réside Hopkins). Vision
L'encyclopédie du développement durable, de l'écologie, de l'habitat écologique et de la consommation durable Green roofs don’t work unless you plant them with diverse, local plants Don’t freak out, but there’s a problem with green roofs: They’re not necessarily greener than ordinary roofs. Soooooo kind of a major problem. With a little extra effort, though, green roofs can be efficient AND locally sourced — you just can’t take the easy way out. Scientific American reports : [R]ooftop vegetation has to be able to survive the high winds, prolonged UV radiation and unpredictable fluctuations in water availability. Sedum, it turns out, absorbs sunlight, just like a tar roof would, and isn’t particularly good at absorbing water. But, hey, there’s another way of doing this: Plant diverse groups of native species.
Low Cost Living - Save Money, Save the Planet, Live Better, Spend Less Students build a cafe out of plain old recycled cardboard Eighteen inventive and intrepid graduate students at Newcastle University in England have teamed up with engineers and architects and built a café out of recycled plastic bottles and cardboard. Not only is it made out of neat stuff, the café can also be dismantled quickly, flatpacked, and moved to other locations very easily. So if over-stressed students can’t go out and get coffee, coffee could potentially come to them. The project is part of an initiative at Newcastle to have design students work with recyclable and sustainable materials. Yesterday, the café was located in the Fine Arts lobby at the university, dispensing cups of coffee to students at no charge (there’s not a lot of overhead when your storefront is made of garbage).
Bio et hyperproductive : la ferme magique d'un agriculteur québécois Jardinier-maraîcher ? Fermier de familles ? Jean-Martin Fortier lui même a du mal à qualifier son métier. Avec sa compagne, ils appliquent des techniques découvertes en voyageant et travaillant dans des fermes notamment au Nouveau-Mexique et à Cuba. Terra eco : Pourquoi avez-vous souhaité travailler sur une très petite surface, ce que personne n’avait jamais fait au Québec ? Jean-Martin Fortier : Nous souhaitions démarrer notre production, mais nous n’avions pas les moyens d’investir beaucoup. Pouvez-vous résumer votre méthode de production, que vous appelez bio-intensive ? Puisque nous travaillons sur une petite surface, il nous a fallu intensifier au maximum notre production. Ce modèle est-il rentable économiquement ? Tout à fait. Dans votre livre, vous expliquez que vous transplantez vos légumes, que vous utilisez des serres chauffées et des engrais commerciaux... La différence majeure, c’est que la permaculture est peu intensive et vise la productivité sans effort.
Manifeste convivialiste Jamais l’humanité n’a disposé d’autant de ressources matérielles et de compétences techniques et scientifiques. Prise dans sa globalité, elle est riche et puissante comme personne dans les siècles passés n’aurait pu l’imaginer. Rien ne prouve qu’elle en soit plus heureuse. Mais nul ne désire revenir en arrière, car chacun sent bien que de plus en plus de potentialités nouvelles d’accomplissement personnel et collectif s’ouvrent chaque jour. Pourtant, à l’inverse, personne non plus ne peut croire que cette accumulation de puissance puisse se poursuivre indéfiniment, telle quelle, dans une logique de progrès technique inchangée, sans se retourner contre elle-même et sans menacer la survie physique et morale de l’humanité. Les premières menaces qui nous assaillent sont d’ordre matériel, technique, écologique et économique. Le problème premier Si elle ne sait pas répondre rapidement à cette question, l’humanité disparaîtra. Du convivialisme Considérations générales : Considérations morales Note
Earth Blog: EARTH MEANDERS: Ecocide Is Not Development; Love and Ecology Are the Answer Earth's ecosystems are collapsing, human and all species' habitats are being lost, and our one shared biosphere is failing and dying. Love of other peoples and species and of nature, truth, justice, and equity are the only lasting basis for global ecological sustainability. “It is no measure of health to be well adjusted to a profoundly sick society.” – Krishnamurti “Truth matters. Freedom matters. By Dr. Earth is alive – just like the biological patterns found in cells, species, individual organisms, and ecosystems; only at a different scale – and thus can die if boundary conditions for health are exceeded. Burning fossil fuels and clearing natural ecosystems are industrial ecocide, the furthest thing possible from "development" or any meaningful and lasting human advancement. The problem with climate change and ecosystem loss is that we think we have time, when in fact the biosphere is already well into collapse. Ecology is the meaning of life.