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Green economy The green economy is one that results in reducing environmental risks and ecological scarcities. Green economy is an economy or economic development model based on sustainable development and a knowledge of ecological economics.[1] A feature distinguishing it from prior economic regimes is the direct valuation of natural capital and ecological services as having economic value (see The Economics of Ecosystems and Biodiversity and Bank of Natural Capital) and a full cost accounting regime in which costs externalized onto society via ecosystems are reliably traced back to, and accounted for as liabilities of, the entity that does the harm or neglects an asset.[citation needed] For an overview of the developments in international environment policy that led up to the UNEP Green Economy Report, see Runnals (2011).[2] Green Sticker and ecolabel practices have emerged as consumer facing measurements of sustainability. "Green" economists and economics[edit] Definition of a Green economy[edit]

Malthus, Marx ou Marché? - A Baoding en juin 2011. REUTERS/David Gray - JE RENTRE TOUT JUSTE d’un voyage en Chine, et alors que je m’y étais encore rendu il n’y a pas si longtemps, j’ai été de nouveau surpris par les mutations de ce pays, qui s’opèrent à une vitesse déconcertante! Nous parlons d’un pays dont le taux de croissance se situe à 10% par an en moyenne. J’ai effectué mon premier voyage en Chine en 1978, lorsque les réformes économiques en étaient encore à leurs balbutiements. publicité Ces mêmes artères sont aujourd’hui bordées de gratte-ciels à l’architecture audacieuse. Moins de pauvreté, plus de consommation Le changement fondamental est que des millions de Chinois sont sortis de la pauvreté, s’intégrant à une classe moyenne qui, bien que plus pauvre que les classes moyennes d’Europe ou des Etats-Unis, a désormais les moyens de s’acheter plus de nourriture, de médicaments ou de consommer plus d’énergie. Mais cet immense succès de l’humanité va-t-il se transformer en catastrophe pour la planète?

The Green Economy Le développement durable? C'est de l'économie pure et dure Le réchauffement climatique arrive à une vitesse et avec une intensité que personne n'avait anticipées, et pourtant la droite partisane de l'énergie fossile a quasiment réussi à éliminer la question de l'ordre du jour, sous couvert d'une prétendue défense des «marchés libres». En réaction, les écologistes ont eu tendance à se retirer encore davantage dans leurs enclaves biologiques, alors que ce qu'il faut réellement, c'est retourner aux bases de l'économie: les marchés ne peuvent être libres quand les bénéfices sont privatisés et quand d'énormes coûts sont socialisés. Le seul moyen de sortir de cette crise écologique est d'aligner les intérêts individuels des citoyens sur la santé de la planète. Le problème, c'est que ceux qui seraient justement les plus à même de nous aider –les économistes– ont été mis à l'écart du débat public. «Aucun sacrifice individuel ne sera suffisant» Le contraste est saisissant. Commençons par le trafic aérien. Bonnes initiatives de l'UE «Payer pour la pollution»

Et si la comptabilité passait au vert ? La comptabilité verte ou universelle fait peu à peu son entrée dans le monde feutré des directions financières. Réchauffement climatique, biodiversité, pollution, consommation d'eau, nuisances sonores, employabilité, ou lutte contre les discriminations vont tenter d'intégrer les plans comptables. Objectif: comptabiliser, outre la performance financière, la capacité de l'entreprise à vivre en harmonie avec son milieu environnemental et social. Le Conseil supérieur de l'Ordre des experts comptables a même été l'un des pionniers de la réflexion, en lançant, dès 1997, son club "comptabilité et développement durable", animé par Jacques de Saint Front et Michel Veillard. Mesurer les bénéfices et dommages d'une activité Toutes les entreprises n'y sont pas opposées, d'ailleurs. L'objectif de la démarche est de réunir les données financières et extra-financières de l'entreprise dans un seul document pour mieux rendre compte de l'ensemble de ses activités. Quatre domaines d'action

Quel est l'essai le plus marquant de ces dernières années ? Après la lecture de Prospérité sans croissance de Tim Jackson, notre collaborateur Arnaud Gonzague s’est demandé s’il s’agissait là de l’essai sur le développement durable le plus important des 50 prochaines années. Un avis que certains d’entre vous partagent volontiers. FredO, blogueur sur Terra eco, nous explique ainsi pourquoi il faut lire Tim Jackson et nous recommande aussi les réjouissants écrits de l’éditorialiste britannique George Monbiot, auteur entre autre de L’âge du consentement. Si on dressait un top 10 des livres les plus marquants, Jérôme voudrait aussi que l’on fasse figurer celui de Jean-Marc Jancovici C’est maintenant !. Luciole, grande lectrice, ne partage pas l’enthousiasme de Terra eco sur le bouquin de Tim Jackson. André-Jacques Holbecq, auteur de Une alternative de société : l’écosociétalisme Philippe Derudder, auteur de Les 10 plus gros mensonges sur l’économie Baptiste Mylondo pour son précis d’utopie réaliste Un revenu pour tous Le débat reste ouvert.

Economie verte inclusive: greenwashing ou vraie solution? Le Sommet de la Terre se prépare depuis des mois, et dans les couloirs menant à Rio, un nouveau concept a fait son entrée et tenté de s'imposer: "l'économie verte". Cette tendance sémantique soutenue par l'OCDE a éclipsé les termes de "croissance verte", mais surtout de "développement durable". Elle s'affiche comme l'un des deux enjeux principaux du Sommet, non sans susciter au passage l'ire de nombreux acteurs et observateurs des débats, parmi lesquels le Brésil lui-même qui demande à clarifier la chose. L'économie verte, mais pas pour tout le monde? Les critiques sont nombreuses car le concept reste flou, et beaucoup cherchent le loup qui peut bien s'y cacher. Et quand on y accole le terme d'inclusif, est-ce une manière d'afficher une ambition sociale là où le tout économique, même vert, a déjà prouvé son incompétence en matière de répartition des richesses? "Economie verte" versus "développement durable" L'économie verte, solution à la crise Quid du social?

Tim Jackson : « Il est très difficile pour des individus de réduire leur consommation » Vous dites qu’il est enfantin de comprendre qu’on ne peut pas vivre dans un système de croissance perpétuelle sur une planète finie. Dans le même temps, vous avez découvert qu’il n’existe pas de théorie macroéconomique intégrant l’écologie. Qu’est-ce qui explique qu’il ait fallu autant de temps pour intégrer cette donnée-là ? Les économistes comme Keynes étaient confrontés à des enjeux très différents d’aujourd’hui. La question était alors de maintenir la stabilité d’un système économique, d’assurer l’emploi avant la guerre, de savoir comment dépenser l’argent en période de guerre, d’augmenter le niveau de vie… La question des ressources était absente des débats. Comment les économistes « classiques », qu’ils soient keynésiens ou néolibéraux, reçoivent-ils vos travaux ? Ils disent que je ne tiens pas suffisamment compte du pouvoir des impôts et des taxes. Et quelles sont les critiques positives qu’ils vous adressent ? Et le plus difficile ? Oui, l’iPhone, c’est difficile d’y résister.

The road to Rio +20: women and the green economy What will Rio+20 mean for the many millions of poor women across the world, struggling with the effects of poverty, climate change, and environmental degradation? Nidhi Tandon, Gender & Development Editorial Advisor and author of the forthcoming UN Women's paper on Rio+20 and the Green Economy, gives her view. The concept of the 'green economy' is a complex one, and the international community has yet to come to a political consensus on its meaning, use, usefulness, ensuing policy implications, or what actually constitutes a green economy. The United Nations Environment Programme (UNEP) believes that to achieve equitable and sustainable development there needs to be a balance between the economy, society, and the environment. For me: 'green economy' suggests an environmentally-friendly economy, sensitive to the need to restore and conserve natural resources. Differing national circumstances and aspirations result in different responses to the idea of 'greening' the economy.

Rapport à François Hollande: les 45 mesures de Jacques Attali pour changer d’économie Inventer l’économie post-crise, une économie de solutions, une économie positive. C’est l’objectif du rapport qui vient d’être rendu ce samedi 21 septembre par l’économiste Jacques Attali à François Hollande. À l’origine, un objectif: transformer les contraintes écologiques et sociales en leviers pour "redresser notre pays avec la perspective d'un nouveau modèle de développement". Deux groupes de travail: les dirigeants d’aujourd’hui, et ceux de demain Pour le réaliser, l’ancien conseiller de François Mitterrand a mobilisé des consultants, mais aussi et surtout un groupe de réflexion auquel Youphil.com a participé, réunissant une trentaine de chefs d’entreprises (sociales ou non), représentants de la société civile, de différents ministères, d’instances internationales. Deux indicateurs pour évaluer notre économie À l’arrivée, un rapport donc, qui plaide à travers 45 propositions concrètes pour un “capitalisme patient” et en appelle à la fin d’une vision court-termiste de l’économie.

Rio+20 : comment multinationales et marchés financiers comptent s’accaparer la nature - Néolibéralisme vert Vingt ans après le sommet de Rio de 1992, qui avait jeté les bases du développement durable, la conférence qui s’est ouverte au Brésil le 20 juin est placée sous le signe de « l’économie verte ». Si les attentes sont faibles en termes de résultats concrets, cette conférence dite « Rio+20 » sera le théâtre d’une bataille idéologique cruciale. « Le concept de développement durable exprimait un compromis entre les exigences écologiques de durabilité et celles du développement, rappelle l’économiste Geneviève Azam, coauteure de l’ouvrage La nature n’a pas de prix. Même si ce compromis s’est avéré insoutenable, il devait toutefois engager les sphères économiques, sociales et politiques. » Le discours dominant sur l’économie verte soumet au contraire les choix sociaux, écologiques et politiques aux logiques économiques. « Il exprime un renoncement final à placer la justice sociale et la durabilité au-dessus des logiques économiques de rentabilité. » Ce capitalisme vert est déjà à l’œuvre.

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