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The State Of The Internet [SLIDE DECK]

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Il faut sauver Wikipedia Le nombre de contributeurs de Wikipedia diminue. Syndrome des experts que l'encyclopédie en ligne voulait éviter et faible adaptation aux nouvelles exigences du web expliquent en partie ce déclin, analyse Cédric Le Merrer. D’abord les chiffres : jusqu’à 90 000 en 2010, les contributeurs actifs n’étaient que 82 000 en juin dernier. Beaucoup sont persuadés que la chute du nombre de contributeurs n’est qu’un phénomène naturel : l’encyclopédie serait complète et surtout Wikipedia reflètant les centres d’intérêt de son contributeur moyen, “un geek masculin de 26 ans” selon son fondateur Jimmy Wales, l’encyclopédie manque fatalement de points de vue féminins et non occidentaux. Mais cette baisse somme toute assez limitée cache un phénomène plus alarmiste : Wikipedia ne correspond plus aux usages en vogue aujourd’hui sur le web, après avoir été pourtant le symbole le plus évident du web 2.0. Les nouveaux experts L’impossible personal branding des contributeurs

François Perea Résumé Dans l’espace virtuel du web social, les dynamiques subjectives se travaillent entre identité civile et identité numérique. Cet article, après avoir explicité les grandes caractéristiques de l’interaction dans le web social, s’attache à présenter ces deux bornes du continuum identitaire sur le net. Ce cadre posé, l’auteur s’attache au personnage-écran, une forme extrême de la subjectivité numérique, construite entre liberté et contrainte du système. Mots-clés : identité, internet, subjectivité, personnage Abstract In the virtual space of the social web, subjective dynamics oscillate between ordinary and digital identity. Keywords: identity, Internet, subjectivity, character Resumen En el espacio virtual de la web social, las dinámicas de la subjetividad repartense entre la identidad civil y la identidad digital. Palabras claves: identidad, Internet, subjetividad, personaje Introduction Poser le cadre Clavardage et communauté dans le web social Subjectivité et usages Identité ?

[Mythologie du geek] The Ultimate Geek Handbook Au commencement était l’homo erectus (celui qui était debout), suivi par l’homo sapiens neanderthalensis (l”homme de Néanderthal quoi), et enfin l’homo sapiens sapiens, appelé aussi homme moderne qui est celui en short qui regarde le tour de France à la TV du camping. Et puis arriva l’homo-geek, appelé par convention “le geek“. Dernière évolution connue de la branche des hominidés, le geek est passé par plusieurs stades (autiste, nerd, jerk, …) avant d’arriver à sa forme actuelle, évolution ultime de l’humanité, encore plus fort que les X-men. Beaucoup de pixels ont été allumés (ou éteints) sur les geeks. Origines du geek Au commencement, le geek ne s’appelait pas le geek. Très vite, ses camarades de classe ont décidé de l’aider à l’intégrer socialement en l’affublant d’appellations rigolotes : nerd, dork, otaku, dweeb, nolife, wonk ou encore geek. Mais comment s’y retrouver dans tous ces termes très ressemblants ? D’autres définitions sur Êtes vous nerd, geek, otaku ou nolife ? 86% Geek

Are you making something? Making something is work. Let's define work, for a moment, as something you create that has a lasting value in the market. Twenty years ago, my friend Jill discovered Tetris. Two weeks ago, I took a five-hour plane ride. More and more, we're finding it easy to get engaged with activities that feel like work, but aren't. One reason for this confusion is that we're often using precisely the same device to do our work as we are to distract ourselves from our work. The two-device solution Simple but bold: Only use your computer for work. Have a second device, perhaps an iPad, and use it for games, web commenting, online shopping, networking... anything that doesn't directly create valued output (no need to have an argument here about which is which, which is work and which is not... draw a line, any line, and separate the two of them. Now, when you pick up the iPad, you can say to yourself, "break time." Go, make something.

Olybop.info » Olybop.info [dossier] Pourquoi Fireworks est mieux que Photoshop pour faire du WEB Quand j’ai commencé dans le web et dans l’infographie il y a presque 6 ans, je ne voyais qu’à travers photoshop. Normal c’était le grand à l’époque ! J’avais appris en autodidacte à créer mes calques, les nommer, les organiser et y ajouter les effets que je souhaitais. Le grand photoshop était la révolution en matière de webdesign (j’exagère bien sûr). Je me suis éclaté à de nombreuses reprises pour créer les logos, sites et autres infographies pour mes amis et moi. Je ne voyais pas d’autres solutions pour créer et cela m’allait bien. Quand je suis rentré chez Experian, mon cher bigboss m’a appris à utiliser Fireworks. Historique : Fireworks est LE logiciel qui a été conçu pour le Web. Wiki : Adobe Fireworks est un logiciel de création d’images, spécialement conçu pour le web, mais il est aussi possible de créer des images pour l’impression, même si le logiciel ne supporte pas le CMJN, il supporte tout de même les gestion des PPP (points par pouce). Compatibilité : Ranger ses calques ?

Comparatif : cinq navigateurs au banc d'essai Micro Hebdo le 04/02/11 à 16h47 sommaire L'ère du logiciel serait-elle morte ? La logithèque d'aujourd'hui ? Mais pour bénéficier de ce Web toujours plus interactif, il faut utiliser le bon navigateur. Le top 5 des navigateurs en lice Bien sûr, les éditeurs se font la guerre afin d'imposer leur propre navigateur. Depuis le 1er mars 2010, la Commission européenne a imposé à Microsoft de laisser aux utilisateurs de Windows le choix du navigateur. Mais comment les départager ? Nous avons fait le tour des principaux navigateurs, dans leur version stable ou en version bêta lorsque le changement est prévu prochainement. Des contenus dynamiques La révolution Internet, ce fut l'arrivée de contenus dynamiques. Quand le Web se fait graphique Les sites Web ne se contentent pas d'être de plus en plus interactifs : ils sont aussi de plus en plus graphiques. Qu'est-ce que c'est ? WebGL Spécification d'affichage pour les navigateurs utilisant OpenGL, une bibliothèque de fonctions 3D. Ce qu'il vous faut

Lorem ipsum translated: it remains Greek to me It all makes ^&*()zq … Lorem ipsum My excitement over JRR Tolkien's forthcoming Beowulf translation had some calling me, in no uncertain terms, a geek. Perhaps that's why I'm so taken with this valiant attempt at translating Lorem Ipsum, the standard dummy text for printers which is a mangling of Cicero, and which dates back to the 16th century. Used to fill blank space on a page before the proper copy is ready, it starts: "Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit. Nam hendrerit nisi sed sollicitudin pellentesque. Nick Richardson at the London Review of Books asked Cambridge academic Jaspreet Singh Boparai to have a stab at translating it; he came up with the weirdly compelling: "Rrow itself, let it be sorrow; let him love it; let him pursue it, ishing for its acquisitiendum. "It's like extreme Mallarmé, or a Burroughsian cut-up, or a paragraph of Finnegans Wake," muses Richardson.

web is dead - radio nova - 10 podcasts Le moteur du web, c’est l’innovation. Le moteur de l’innovation, ce sont les start-ups. Si le web est mort, c’est parce que nous ne sommes plus capables d’innover sur internet. Et si nous ne savons plus innover, c’est parce que les start-ups sont mortes. CQFD. Dans la grande mythologie d’internet, l’innovation c’est un petit génie, qui a une putain d’idée, qui la prototypée dans son garage, qui trouve des business angels qui croient au potentiel révolutionnaire de son idée. Une licorne dans le vocabulaire très bullshit du numérique et de la Silicon Valley, c’est une entreprise valorisée à plus d’un milliard de dollars et qui n’est pas cotée en bourse. Bulle des start-ups Parce qu’il y a aujourd’hui une bulle spéculative autour des start-ups qui risquent de bientôt nous exploser à la gueule. Car les success story d’internet n’existent plus et n’existeront plus. Concurrence déloyale Ensuite parce que les géants font justement en sorte que la concurrence n’ait pas le temps d’émerger.

André Staltz - The Web began dying in 2014, here's how André Staltz The Web began dying in 2014, here's how 30 Oct 2017 Before the year 2014, there were many people using Google, Facebook, and Amazon. Today, there are still many people using services from those three tech giants (respectively, GOOG, FB, AMZN). Not much has changed, and quite literally the user interface and features on those sites has remained mostly untouched. It looks like nothing changed since 2014, but GOOG and FB now have direct influence over 70%+ of internet traffic. Internet activity itself hasn’t slowed down. (Sources: and What has changed over the last 4 years is market share of traffic on the Web. (Source: The press, unlike before, depends on GOOG-FB to stay in business. Another demonstration of GOOG and FB dominance can be seen among media websites.

On ne sauvera pas le Web en dînant avec ses assassins Tribune. La dernière croisade de Tim Berners-Lee pour sauver le Web laisse un goût amer.Celui qui fut le premier à dénoncer clairement l’emprise et la menace de ceux qu’il appelait «les Jardins fermés» entend aujourd’hui leur proposer un «contrat». Contrat qui réunirait aussi gouvernements et citoyens. Contrat suffisamment vague pour n’avoir précisément aucune valeur contractuelle. Facebook représente un danger mortel pour nos démocraties comme le scandale Cambridge Analytica l’a démontré. Olivier Ertzscheid enseignant-chercheur en sciences de l’information et de la communication à l’université de Nantes

L'Architecture d'Aujourd'hui | L’émancipation, au fond de la raquette de retournement | L'Architecture d'Aujourd'hui Dans notre numéro 441, l’architecte et critique d’art Christophe Le Gac revenait pour AA, dans la rubrique « Cinéma », sur les travers de l’urbanisation périurbaine vus à travers la caméra du duo de cinéastes Gustave Kervern et Benoît Delépine (Le Grand Soir, Louise-Michel, Effacer l’historique). Une vision qui a fait réagir l’architecte et urbaniste Maxence De Block, de l’agence Vraiment Vraiment, qui a invité l’auteur à « descendre sous les nuages » pour approcher ces territoires — si tant est qu’il ne les connaissait pas lui-même, mais comment être sûr ? Le site web de L’Architecture d’Aujourd’hui accueille les propos de tous ceux qui souhaitent s’exprimer sur l’actualité architecturale. Les tribunes publiées n’engagent que leurs auteurs. Je suis né à Arras. La « France moche », c’est chez moi. Il y a tant à voir, dans cet « environnement suburbain, optimisé pour circuler, consommer et dormir » ! Commençons par les maisons. À vrai dire, on s’est plutôt bien démerdé sans vous.

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