background preloader

Les intelligences multiples au secondaire

Les intelligences multiples au secondaire
Related:  Apprendre à apprendre Neurosciences

Les neuromythes en éducation Un neuromythe est une croyance erronée sur le fonctionnement du cerveau. De récentes études ont mis en évidence que plusieurs de ces neuromythes sont répandus en éducation, particulièrement dans la population enseignante. Shutterstock / NLshop Jérémie Blanchette Sarrasin, étudiante à la maîtrise en éducation à l’UQAM, et son directeur Steve Masson, professeur à la Faculté des sciences de l’éducation à l’UQAM, présentent dans cet article les quatre neuromythes les plus fréquents en éducation. Un exemple de neuromythe bien connu est de croire que nous n’utilisons que 10 % de notre cerveau. Les styles d’apprentissage La dominance hémisphérique Mythe : Les différences sur le plan de la dominance hémisphérique (cerveau gauche, cerveau droit) expliqueraient les différences entre les apprenants. [Apprentissage : le cerveau est comme une forêt!] Les exercices de coordination Les intelligences multiples Pour en savoir plus [Consulter l’article] Référence : Blanchette Sarrasin, J. et Masson, S. (2017).

SVT-egalite : site proposant des pistes face à la disparité des élèves Écrit par : Françoise Chée L’appellation « troubles “dys” » est un terme général regroupant une série de troubles cognitifs durables entraînant des difficultés : – de lecture (dyslexie), – d’orthographe (dysorthographie), – de calcul (dyscalculie), – de coordination motrice (dyspraxie), – d’expression orale (dysphasie) – d’attention, avec ou sans hyperactivité (TDA/H) Ces troubles font partie des troubles spécifiques de l’apprentissage (TSA) et n’entraînent, dans aucun des cas, une déficience intellectuelle. Françoise Chée, créatrice de la page Facebook « Astuces pour Dys » et elle-même dyslexique dysorthographique, présente pour SVT Égalité quelques adaptations facilement réalisables par les enseignant·e·s. Ces recommandations, précise-t-elle, sont d’ordre général, parce que les troubles « dys » regroupent des troubles très variés, mais également parce que chaque élève « dys » est un cas particulier. I- Adapter les cours – Utiliser au maximum le visuel : avec des schémas, dessin, cartes…

Les neurosciences à l'école : 5 recommandations pour mieux apprendre Pascale Toscani, enseignante-chercheuse et maitre de conférence, a travaillé avec des professeurs du secondaire pour proposer un programme “neurosciences au collège”. Ce programme a pour vocation d’introduire les connaissances liées aux neurosciences dans l’acte éducatif. Élèves et enseignants gagneraient à mieux comprendre le fonctionnement du cerveau afin que les apprentissages scolaires soient plus efficaces. Le contenu du programme est basé sur 5 grandes thématiques. Il a été proposé à des élèves de 6ème à raison d’une heure par semaine sur l’heure d’ATP (Aide au Travail Personnel). 1.La plasticité cérébrale : modifier la représentation de l’intelligence La plasticité cérébrale est un processus continu et dynamique de création, de renforcement et d’élimination de connexions synaptiques. Beaucoup d’élèves pensent que l’intelligence est une donnée fixée à la naissance alors qu’elle s’acquière et se développe tout au long de la vie. Or cette croyance est un non sens scientifique. Related

Les quatre piliers de l'apprentissage, ou ce que nous disent les neurosciences L’enfant est doté d’intuitions profondes en matière de repérage sensoriel du nombre. Avant tout apprentissage formel de la numération, il évalue et anticipe les quantités. Apprendre à compter puis à calculer équivaudrait à tout simplement tirer parti de ces circuits préexistants, et, grâce à leur plasticité, à les recycler. L’apprentissage formel de l’arithmétique se « greffe » sur le « sens du nombre » présent chez l’enfant, et sollicite la même zone cérébrale. Le maître-mot, alors, est la plasticité cérébrale. Les circuits cérébraux: des capacités disponibles dès l’origine Les circuits cérébraux qui sous-tendent les apprentissages ne sont d’ailleurs pas si variés. L’apprentissage de la lecture active une région spécifique, mais il mobilise et active aussi d’autres zones. La zone de la lecture recycle un « algorithme » préexistant, celui de la reconnaissance des visages : au scanner, on voit nettement la même zone s’activer. Mais ce recyclage n’est pas une simple réutilisation. 1. 2.

Les Conférences TED Éducation - 3 règles pour déclencher l'envie d'apprendre, avec Ramsey Musallam La transmission des connaissances demande aux formateurs bien plus qu’une simple énonciation de notions de livres de cours. Pour être fructueuses, l’éducation et la formation doivent avant tout passer par un échange entre le formateur et les formés. La prise de notes ne suffit pas : si on ne lui offre pas la possibilité d’interroger le sujet, de manipuler les notions abordées, de poser des questions, en résumé, de s’impliquer, un apprenant ne sera pas dans une véritable dynamique d’apprentissage. C’est le sens de l’intervention de Ramsey Musallam, professeur américain de chimie au lycée préparatoire du Sacré-Coeur à San Francisco. Il délivre dans cette vidéo trois règles pour déclencher l’envie d’apprendre. Dynamiser ou redynamiser sa méthode d’enseignement peut être complexe pour les professeurs et formateurs, d’autant plus s’ils se concentrent essentiellement sur le contenu de leur programme, laissant quelque peu de côté la présentation qu’ils en font.

Les quatre piliers de l’apprentissage - Stanislas Dehaene L’enfant est doté d’intuitions profondes en matière de repérage sensoriel du nombre. Avant tout apprentissage formel de la numération, il évalue et anticipe les quantités. Apprendre à compter puis à calculer équivaudrait à tout simplement tirer parti de ces circuits préexistants, et, grâce à leur plasticité, à les recycler. L’apprentissage formel de l’arithmétique se « greffe » sur le « sens du nombre » présent chez l’enfant, et sollicite la même zone cérébrale. Le maître-mot, alors, est la plasticité cérébrale. Les circuits cérébraux : des capacités disponibles dès l’origine Les circuits cérébraux qui sous-tendent les apprentissages ne sont d’ailleurs pas si variés. L’apprentissage de la lecture active une région spécifique, mais il mobilise et active aussi d’autres zones. Différentes zones du cerveau La zone de la lecture recycle un « algorithme » préexistant, celui de la reconnaissance des visages : au scanner, on voit nettement la même zone s’activer. 1. 2. 3. 4. Stanislas Dehaene

Les sciences cognitives dans la classe by muriel.meillier on Genially Transcription les techniques de mémorisation Les sciences cognitivesdans la classe Inspiré du MOOC "apprendre et enseigner avec les sciences cognitives" (plateforme FUN-MOOC) 1. La sélection des termes et concepts à connaître en amont relève de la responsabilité de l’enseignant-formateur. 2. 4. Mémorisation Attention Compréhension l'oubli la consolidation mnésique quelques neuromythes 3 expériences :pas de "loi" au sens strict donnant le pourcentage d'oubli après telle durée.Conclusion : Les connaissances acquises sans traitement ni consolidation s'évanouissent très vite, inéluctablement et fortement.Pour contrecarrer l'oubli, les stratégies de mémorisation et de réactivation sont nécessaires.L'insuffisante consolidation mnésique est à l'origine d'un grand nombre de difficultés scolaires, dont celle de compréhension. Mode d'emploi de navigation dans ce Génial-ly Permet d'avancer dans la présentation dans l'ordre prévu, quelle que soit la couleur. a r Pour démarrer : PDF carte mentale Dans la classe 3. 5.

Le projet Créer une ressource en ligne pour développer des pratiques “apprendre à apprendre” Un projet européen ambitieux se concrétise : des formateurs, accompagnés par une équipe projet, composée de spécialistes en pédagogie et multimédia, innovent en réalisant un outil pour apprendre à apprendre simple et efficace. La problématique de « apprendre à apprendre » traverse plusieurs territoires avec un ancrage variable. La notion d’« apprendre à apprendre » est en elle-même relativement neuve dans les champs de la formation, elle apparaît comme poly-sémantique, dépendant largement des territoires sur lesquels elle prend forme. Pour la formation des adultes, le concept « apprendre à apprendre » est couplé aux réflexions et aux pratiques, soit du développement de l’individualisation de la formation, soit celui de l’autoformation. Il s’agit de partager avec l’apprenant une réflexion et une action, d’ordre personnel et méthodologique, pour l’aider dans ses stratégies d’appropriation des connaissances.

Les émotions au cœur de nos apprentissages… Les émotions décrivent des réactions complexes qui affectent le corps et l’esprit d’un individu lorsque ce dernier est confronté à des stimuli internes ou externes. Les réactions incluent à la fois un état mental subjectif (colère, amour, anxiété, etc.), une impulsion à agir (attaquer, fuir…) et des changements corporels (accélération du rythme cardiaque ou hausse de la pression sanguine par exemple). Le professeur et psychologue Robert Plutchik a représenté dans les années 80 la variété des émotions dans une roue : elle représente les 8 émotions principales, dont l’intensité augmente à mesure que l’on se rapproche de son centre. Une émotion a deux fonctions principales : elle permet de caractériser l’intensité et l’importance d’un événement, mais elle témoigne également d’un signal social : rougir, trembler ou bafouiller qui envoie une information à son entourage. Mais au-delà de ces fonctions, les émotions jouent un rôle primordial dans l’apprentissage. Pour en savoir plus :

Related: