27 septembre 1540 - Fondation de la Compagnie de Jésus
Le 27 septembre 1540, le pape Paul III signe la bulle qui porte fondation de la Compagnie de Jésus. Cet ordre, consacré à l'évangélisation et à l'éducation, est issu de la rencontre en 1529, à l'Université de Paris, d'un étudiant savoyard, Pierre Favre, d'un jeune noble navarrais, François de Jassu y Xavier (François-Xavier), et d'un vieux routier basque de 37 ans, boiteux de surcroît, Íñigo de Loyola (Ignace de Loyola). Ils partagent la même chambre au Collège de Navarre. Avec quelques autres étudiants désireux comme eux de vouer leur vie au Christ, ils entraînent leur corps et leur esprit par quelques exercices spirituels mis au point par Ignace de Loyola. Ysaline Homant Une obéissance aveugle au pape Le 15 août 1534, les jeunes gens assistent à la chapelle de Montmartre à une messe de leur ami Pierre Favre, récemment ordonné prêtre. Mais à Venise, empêchés de se rendre à Jérusalem, ils tournent leurs pas vers Rome et proposent leurs services au pape. Fatales jalousies
Jacques-Bénigne Bossuet
Jacques-Bénigne Bossuet, surnommé l'« Aigle de Meaux », né le 27 septembre 1627 à Dijon et décédé le 12 avril 1704 à Paris, est un homme d'Église, évêque, prédicateur et écrivain français. Le cardinal Grente voit en lui « le plus grand [orateur] peut-être que le monde ait connu[1] ». Biographie[modifier | modifier le code] Famille et études[modifier | modifier le code] Acte de baptême de Bossuet. Jacques-Bénigne Bossuet est le fils de Bénigne Bossuet (1592-1667), avocat puis substitut du procureur général du Parlement de Bourgogne, nommé en 1638 conseiller au Parlement de Metz[2]. Jacques-Bénigne Bossuet fait ses études secondaires au collège des jésuites de Dijon, qui lui donnent une éducation classique et un goût pour les langues anciennes (apprentissage du grec et du latin). À 15 ans, il vient à Paris pour y poursuivre ses études au collège de Navarre, où il a pour maître Nicolas Cornet. Entrée dans les ordres[modifier | modifier le code] Évêque de Condom[modifier | modifier le code]
saint-ignace
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Activité 5
Code noir
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ce statut est appliqué aux Antilles en 1687, puis étendu à la Guyane en 1704, à La Réunion en 1723 et en Louisiane en 1724[1]. Il donne aux esclaves et aux familles d'esclaves des îles d'Amérique un statut civil d'exception par rapport au droit commun coutumier de la France de cette époque, et donne aux maîtres un pouvoir disciplinaire et de police proche de celui alors en vigueur pour les soldats, avec des châtiments corporels[2]. Il exige des maîtres qu'ils fassent baptiser et instruire dans la religion catholique, apostolique et romaine[3] tous leurs esclaves, leur interdit de les maltraiter et réprime les naissances hors mariage d'une femme esclave et d'un homme libre. Le Code noir ne concerne ni la Nouvelle-France, ni le Canada français où l'esclavage y était moins développé et concernait principalement les amérindiens. Le , la Convention décrète l'abolition de l'esclavage, mais sans prendre de mesures pour l'appliquer.
LE BRIGAND #494 -- Histoire - La présence jésuite à Québec du 17 e siècle à nos jours
Histoire La présence jésuite à Québec du 17e siècle à nos jours Monsieur Gilles Turcotte, un collaborateur assidu du Centre de spiritualité Manrèse de Québec, a eu l'occasion de préparer un travail universitaire dans le cadre de ses études à la Faculté de foresterie et de géomatique de l'Université Laval. Avec trois confrères, messieurs Julien Brière, François-Xavier Drapeau et François-Michel Hardy, il a tracé un tableau de l'évolution de la présence des jésuites à Québec et dans la région de Québec au cours des ans. Nos remerciements pour la permission d'utiliser leur travail; cette fresque historique permettra certainement aux lecteurs et lectrices du BRIGAND de mieux situer dans le temps l'activité jésuite dans cette ville considérée à raison comme le berceau de l'Amérique française et de l'évangélisation du continent nord-américain. En 1625, deux frères jésuites ainsi que les pères Ennemond Massé, Jean de Brébeuf et Charles Lalemant arrivent à Québec. Gilles Turcotte
Activité 4
Commerce triangulaire
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Schéma classique du commerce triangulaire entre l'Afrique, les Amériques et l'Europe. Plan de "stockage" (≈"stowage") type d'un navire négrier anglais Le commerce triangulaire, aussi appelé traite atlantique ou traite occidentale, est une traite négrière menée au moyen d'échanges entre l'Europe, l'Afrique et les Amériques, pour assurer la distribution d'esclaves noirs aux colonies du Nouveau Monde (continent américain), pour approvisionner l'Europe en produits de ces colonies et pour fournir à l'Afrique des produits européens et américains. Les flèches sur la carte représentant le « commerce triangulaire » conduisent également à ne considérer l'Afrique et l'Amérique qu'au travers d'escales, plus ou moins secondaires dans l'organisation et la logique du trafic. On mésestime ainsi lourdement l'importance du continent noir, où les captifs étaient « produits », transportés, parqués et estimés par des négriers noirs. Les armateurs[Petre 2]
ERF AUTEUIL - Église Réformée d'Auteuil : Les missions des jésuites en Nouvelle-France au XVIIe siècle
Peu connues du grand public, les missions françaises en Nouvelle-France furent le fait de religieux qui suivirent les explorateurs. La Nouvelle-France était “ née ” lorsque Jacques Cartier, en 1534, sous François Ier, aborda les rivages de la Gaspésie puis remonta le Saint-Laurent. Encore fallait-il pénétrer dans l’intérieur des terres et s’y établir. Ce fut fait lorsque Champlain, en 1608, s’installa à Québec. Ils créèrent trois sortes de missions : des missions volantes, suivre les Indiens sur leurs lieux de chasse, en adoptant leur mode de vie nomade. Quelles étaient les méthodes des Jésuites pour convertir les “ sauvages ” ? Pour détourner les Indiens de la fable, le missionnaire se doit d’être un bon pédagogue. Reste la question de la langue. Dans leur tâche, enfin, les missionnaires sont convaincus d’avoir le soutien de leur Dieu. Pour conclure insistons sur ce que le rêve de tout missionnaire est de mourir pour sa mission, c’est à dire pour le Christ. retour