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OGM - les pouvoirs publics savaient depuis plus de dix ans ! (vidéo 4’17)

OGM - les pouvoirs publics savaient depuis plus de dix ans ! (vidéo 4’17)
Autres articles En fait, un chercheur britannique nommé Arpad Pusztai avait déjà prouvé la nocivité des OGM il y a plus de dix ans ! Ce qui lui avait vallu d’énormes ennuis. Voici les preuves : Cela prouve aussi qu’en fait les pouvoirs publics savaient depuis longtemps. Note : Le 20 septembre 2012 à 4h du matin, heure française, l’article sur Arpad Pusztai du Wikipedia français ne parle pas de ses travaux sur les OGM. Par contre ils ont une ébauche d’article sur l’affaire Pusztai : Extrait : « En 1998, Árpád Pusztai, chercheur à l’institut de recherches Rowett, annonce publiquement, lors d’une interview à la télévision, que la consommation de ces pommes de terre OGM par des rats provoque une dépression de leur système immunitaire et un retard de croissance. Related:  Evaluations habituelles défaillantes

Lobbying pro-OGM : "Voyages, cadeaux et un peu plus..." Jean-François Le Grand, aujourd’hui président du Conseil Général de la Manche, est un des hommes politiques qui a suivi le plus à fond la question des OGM. Alors sénateur UMP, il fut en 2007 président de l’atelier OGM au Grenelle de l’environnement, puis de la Haute Autorité provisoire sur les OGM. Pour avoir exprimé des doutes lors de la première lecture du projet de loi OGM en janvier 2008, il était mis brutalement en minorité dans son propre groupe politique et privé de la présidence du Haut Conseil des Biotechnologies. Il avait alors accusé publiquement ses détracteurs d’être les relais des lobbys pro-OGM. Jean-François Le Grand a récemment quitté l’UMP pour protester contre sa droitisation. Votre réaction après l’étude de Gilles-Eric Séralini… - Je connais bien Séralini et j’ai découvert les résultats de son travail dans la presse. Les conclusions de son travail corroborent-elles les doutes que vous aviez ? - A l’époque, je soulevais plusieurs objections. - On peut le dire !

Suicide collectif de 1500 fermiers indiens ruinés à cause des OGM !!! Ces dernières semaines, 1500 fermiers se sont suicidés collectivement en Inde, dans la province de Chattisgarh. Un phénomène récurrent, puisque les chiffres officiels font état de 1000 suicides mensuels… depuis plus de quinze ans. En cause, l’endettement des paysans lié à l’achat de semences OGM miraculeuses… qui se révèlent catastrophiques. Depuis le milieu des années 80, l’Inde a accepté d’ouvrir totalement son marché en contrepartie de l’aide du Fonds Monétaire International. What a wonderfull world (Company)… Sauf que les semences OGM de coton Bt (de Monsanto, faut-il le préciser) sont tombées malades, infestées par le vers (vorace) de la capsule. Disparition des variétés traditionnelles En 2006, le ministère indien de l’agriculture déclarait que la moitié des foyers paysans étaient endettés. lire aussi: Like this: J'aime chargement…

OGM : "Inconscience ? Lâcheté ? Collusion criminelle ?" Professeur de biologie moléculaire et chercheur à l'Institut de Biologie fondamentale et appliquée de l'université de Caen, Gilles-Eric Séralini publie le 26 septembre "Tous cobayes!" (Flammarion), le résultat d'une étude menée dans le plus grand secret pendant deux ans sur deux cents rats nourris au maïs transgénique. Conclusion ? Il y avait une méfiance diffuse de l’opinion sur l’impact des OGM pour la santé humaine. - Oui, nous venons de réaliser l'étude la plus longue et la plus détaillée au monde sur la toxicité d'un maïs transgénique et sur celle du Roundup, l’herbicide le plus utilisé qui soit. Le grand scandale, celui dont je ne me remets pas, c’est que les agences sanitaires n’ont jamais exigé des industriels une étude de toxicité de longue durée. > A lire : l'intégralité de l'interview de Gilles-Eric Séralini et du dossier "Oui, les OGM sont des poisons !" Téléchargez le magazine : - sur PC / Mac - sur iPhone / iPad - sur Android

OGM/Wikileaks révélations surprenantes Le site wikileaks n’en finit plus de faire des vagues ! Un mémo, émanant de l’Ambassadeur des Etats-Unis en France, transmis au gouvernement américain, mentionnait la phrase suivante : « Les partisans des biotechnologies en France, comprenant le syndicat agricole (the farm union) nous ont dit que les rétorsions étaient le seul moyen de faire évoluer la position française sur la question ». C’est stupéfiant ! Un syndicat agricole aurait donc demandé à l’ambassade Américaine de prendre des sanctions contre la France pour la forcer à accepter les OGM. Cette information jette le discrédit sur notre profession soupçonnée de trahir les intérêts nationaux pour satisfaire des intérêts particuliers de firmes ou de coopératives qui souhaitent pouvoir tirer profit et pouvoir du développement des OGM, au mépris de la volonté des producteurs comme des consommateurs. Il ne peut s’agir ni de la CR ni de la CONF, qui ont à de nombreuses reprises expliqué leurs résistances sur ce sujet.

OGM : qu'a fait l'État ? LE MONDE | • Mis à jour le | Par Hervé Kempf - kempf@lemonde.fr Shakespeare l'écrivait : "Les mauvaises nouvelles sont fatales à celui qui les apporte" (Antoine et Cléopâtre). Ainsi les critiques pleuvent-elles sur l'étude publiée par Gilles-Eric Séralini dans Food and Chemical Toxicology. Lire : "Le protocole d'étude de M. Séralini présente des lacunes rédhibitoires" Lire : Qu'est-ce que le maïs NK603, soupçonné de toxicité ? En vidéo : Étude choc sur les OGM : coup de pub ou scandale sanitaire ? Si la méthode et les moyens s'en révèlent à l'examen faibles, erronés, ou biaisés, ses conclusions - le potentiel cancérigène d'une alimentation transgénique - en seront démenties. Une question essentielle est de savoir pourquoi un chercheur de qualité, employé dans une structure publique, a été obligé de chercher des fonds auprès de fondations privées pour pouvoir mener en catimini une étude d'un intérêt général.

Nocivité des OGM pour la santé : de nouveaux résultats accablants Edifiant. Une nouvelle étude scientifique menée sur des rats de laboratoires pendant deux ans montre les conséquences gravissimes sur la santé provoquées par la consommation d’un maïs OGM, le NK 603 de Monsanto résistant à l’herbicide Round Up. Le professeur de biologie moléculaire Gilles-Eric Séralini a mené cette étude dans le plus grand secret. © Dean Sewell / Greenpeace La menace est là, bien réelle en France aussi Le maïs OGM NK 603 peut être présent dans l’alimentation animale (destinée au bétail notamment) mais aussi dans des aliments vendus directement aux consommateurs. L’évaluation des OGM en Europe : manque d’indépendance et de sérieux A l’heure actuelle, les risques des OGM sont évalués par l’Autorité Européenne de Sécurité des Aliments (EFSA). L’EFSA doit cesser d’être l’antichambre des industriels des biotechnologies. La complaisance doit cesser ! Greenpeace demande une réponse immédiate de la part de l’Union européenne.

Pour la transparence sur les données des dossiers d’évaluation… Un collectif de 130 ONG a exigé plus de transparence sur les données d’évaluation. Vous pouvez soutenir cette démarche en signant une pétition. Pour cela il vous suffit de cliquer sur le lien ci-après : << Accéder à la pétition >> Réunis les 22 et 23 septembre autour de Gilles-Éric Séralini et de Joël Spiroux, un certain nombre d’organisations dont la FSC, après avoir entendu les explications de ces chercheurs sur leur récente publication mettant en cause l’innocuité des OGM, ont décidé de remettre en cause les instances d’évaluation des OGM et des pesticides. Appel aux organisations de la société civile La publication de l’étude toxicologique à long terme par l’équipe du professeur Gilles-Eric Séralini* conclut à la toxicité d’un maïs OGM tolérant au Roundup (NK603) et du Roundup lui-même, l’herbicide le plus utilisé au monde. Cette exigence de transparence concerne en priorité les données brutes des études ayant conduit à l’autorisation :

Une étude russe qui prouve que les OGM stériliseront l'humanité au bout de 3 Générations On soupçonnait déjà que la perte de la fertilité était au nombre des graves dégâts occasionnés, une étude récente va dans ce sens. Une étude qui, si elle n'est pas étouffée, pourrait avoir un grand impact sur les décisions à prendre à l'avenir! En 2009, près de 3% des terres agricoles étaient couvertes d'OGM avec 134 millions d'hectares, selon l'ISAAA, qui, chaque année, fait état des cultures des plantes transgéniques dans le monde. Et le dossier des OGM alimentaires - dont de très nombreuses pages restent encore floues à ce jour - pourrait bien s'alourdir prochainement alors qu'une nouvelle pièce en provenance de Russie est sur le point d'y être ajoutée. Celle-ci prend la forme d'une étude, dont les résultats les plus frappants viennent d'être présentés à la presse en Russie dans le cadre de l'ouverture dans ce pays des Journées de Défense contre les Risques Environnementaux. A la fin de cette première phase, l'ensemble des quatre groupes a eu en tout 140 petits.

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