
releases photos under a Creative Commons licence Licences specify the terms and conditions under which things can be used. All too frequently in everyday life we come across restrictive licences that actually seem to discourage usage, disallowing copying or sharing. But a whole other family of free licences aim to encourage use and sharing, asking simply for proper recognition and reciprocal behaviour in return. Since its inception, CERN has used the web to share multimedia material openly. As the web grew, multimedia material proliferated around the globe, and so did licences. So, encouraged and supported by our experiment outreach teams, we have made our first collection available under a Creative Commons licence. Already the change has allowed photos of our recent Director-Generals to be used consistently in Wikipedia pages for the first time, and for the Higgs discovery plots from ATLAS and CMS to actually be included on the Higgs boson page!
Étude du petit monde Le « phénomène du petit monde » (appelé aussi effet du petit monde également connu sous le vocable « paradoxe de Milgram » car ses résultats semblent contraires à l'intuition) est l'hypothèse que chacun puisse être relié à n'importe quel autre individu par une courte chaîne de relations sociales. Ce concept reprend, après l'expérience du petit monde, conduite en 1967 par le psychosociologue Stanley Milgram, le concept de « six degrés de séparation », formulé par le Hongrois Frigyes Karinthy en 1929. Celui-ci suggère que deux personnes, choisies au hasard parmi les citoyens américains, sont reliées en moyenne par une chaîne de six relations. En revanche, après plus de trente ans, le statut de cette idée comme description de réseaux sociaux hétérogènes reste une question ouverte. Des études sont encore menées actuellement sur le « petit monde », avec notamment le modèle mathématique de réseau « petit monde ». Selon l’article de Milgram publié en 1967[1], la procédure était la suivante :
Analyse des réseaux sociaux L'analyse des réseaux sociaux (ou Social Network Analysis - SNA en anglais) est une approche sociologique qui élabore et mobilise une théorie des réseaux pour l'étude des relations sociales entre des entités (individus, groupes, organisations, objets, etc.) dans l'objectif de comprendre les structures et dynamiques sociales. Les origines de l'analyse des réseaux sociaux sont multiples et pluridisciplinaires : théorie des graphes, psychologie, anthropologie. Le psychologue Jacob Levy Moreno, l’anthropologue John Arundel Barnes ou encore le psychologue social Stanley Milgram sont des précurseurs de l'analyse des réseaux sociaux. Les sociologues Harrison White, Mark Granovetter ou encore Ronald Burt en sont des figures notables. Le sociologue Pierre Mercklé défini un réseau social de la manière suivante[4],[Note 1],[Note 2] : « Un réseau social [...] La forme du réseau social modélisé en graphe permet d'exprimer visuellement la dynamique au sein d'un réseau.
RÉSEAUX SOCIAUX – Les 6 degrés de séparation entre deux personnes tombent à 4,74 degrés C'est une expression littéraire, une expérience de science sociale, un jeu populaire mettant en scène l'acteur Kevin Bacon et une idée courante, plus ou moins vague : nous serions tous liés d'une façon ou d'une autre par une chaîne de relations sociales de cinq personnes en moyenne. Ce sont les fameux "six degrés de séparation" qui pourraient vous permettre, par l'entremise de l'ami d'un ami d'une connaissance..., d'entrer en contact avec n'importe qui sur la planète. Des scientifiques de la firme Facebook et de l'université de Milan ont publié lundi cette nouvelle évaluation de nos écarts sociaux : 4,74 degrés, précisément. L'expression avait été popularisée par une expérience du psychologue américain Stanley Milgram, publiée en 1967, qui avait évalué la capacité de 296 volontaires à envoyer un message (une carte postale) à un certain habitant de Boston qu'ils ne connaissaient pas, en passant d'une connaissance à l'autre. Photo : AFP PHOTO/ Munir uz ZAMAN
10 réseaux sociaux incontournables en 2014 Quand on parle de réseaux sociaux, le premier d’entre eux qui nous vient à l’esprit est souvent Facebook, suivi de Twitter. Mais il en existe des centaines (voire des milliers) d’autres à travers le monde, plus ou moins importants selon chaque pays. Voici une liste de 10 réseaux sociaux incontournables en 2014 (si vous aimez les chiffres vous allez adorer). L’infographie est visible plus bas. 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10. Ajoutons d’autres réseaux sociaux encore dignes d’intérêt: Flickr (photographie), Myspace (musique), Foursquare (mobile, lieux) et Yelp (business, critiques).
Mediation - Introduction (Official City of Bellevue Website) What is Mediation? Mediation is a voluntary process in which people in dispute meet with a neutral third party (a "mediator") who guides them through a structured and confidential negotiation. The goals of mediation include: clarifying the needs and desires of each party; establishing common understanding of important information; and reaching an informed and mutually agreeable solution. Why choose mediation? Compared to litigation, mediation is: Quicker – mediations can generally be scheduled within a couple weeks, while trials are often scheduled a year after filing the case.
Six degrees of separation Six degrees of separation. Early conceptions[edit] Shrinking world[edit] Theories on optimal design of cities, city traffic flows, neighborhoods and demographics were in vogue after World War I. These[citation needed] conjectures were expanded in 1929 by Hungarian author Frigyes Karinthy, who published a volume of short stories titled Everything is Different. As a result of this hypothesis, Karinthy's characters believed that any two individuals could be connected through at most five acquaintances. A fascinating game grew out of this discussion. This idea both directly and indirectly influenced a great deal of early thought on social networks. Small world[edit] Milgram continued Gurevich's experiments in acquaintanceship networks at Harvard University in Cambridge, U.S. Milgram's article made famous [7] his 1967 set of experiments to investigate de Sola Pool and Kochen's "small world problem." Continued research: Small World Project[edit] Research[edit] Computer networks[edit]
Nombre de Dunbar Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le nombre de Dunbar est le nombre maximum d'amis avec lesquels une personne peut entretenir une relation stable à un moment donné de sa vie. Cette limite est inhérente à la taille de notre néocortex. Elle est estimée par Robin Dunbar à 148 personnes[1] et a une valeur admise en pratique de 150 personnes[2],[3]. Ce nombre provient d'une étude publiée en 1993 par l'anthropologue britannique Robin Dunbar. Dunbar indique par ailleurs que le langage que nous avons collectivement développé joue un rôle important dans notre capacité à entretenir des relations sociales avec environ 150 personnes. Différentes études ont retrouvé des résultats proches du Nombre de Dunbar, dans le comportement des utilisateurs de réseaux sociaux sur Internet[4]. Notes et références[modifier | modifier le code] Bibliographie[modifier | modifier le code] (en) Robin Dunbar, Theory of Mind and the evolution of language, Cambridge University Press [PDF]
Approche interactionnelle et didactique invisible – Deux concepts pour la conception et la mise en œuvre de tâches sur le web social 1Si on peut relever un parallèle entre, d'une part, l'évolution du web vers un web social et participatif qui appelle plus massivement les internautes à interagir et à collaborer et facilite les interactions et la collaboration et, d'autre part, les orientations récentes de la didactique des langues qui conçoivent l'apprenant comme un "acteur social" (Conseil de l'Europe, 2000 : 15) et encouragent l'apprentissage collaboratif, on note aussi que la didactique, quoique s'intéressant de près à l'évolution des technologies, ne propose pas beaucoup de nouvelles approches qui tiennent compte des potentialités actuelles d'Internet. 2Nous entendons montrer ici que l'émergence du web social permet d'élargir la perspective actionnelle et la notion de tâche. 2.1. Conceptions de la compétence de communication 4Depuis les années 1960, les définitions du concept de compétence de communication ont été nombreuses. 2.2. 2.2.1. 13D. 2.2.2. 18Ces bénéfices ne sont pas discutables. 2.2.3. 2.3. 2.4.
Fiche atelier Il s’agit de dresser un rapide état des usages du groupe et de dresser un état des lieux de ses connaissances en matière de réseaux sociaux. A ce stade-là, l’idée n’est pas de donner des réponses mais de recueillir les questions qui se posent dans le groupe. Il sera intéressant, en fin de séance, de revenir sur ces questions pour s’assurer que l’on y a bien répondu. • Qu’est-ce qu’un réseau social ? Qui utilise un réseau social ? Qui possède un profil ? TRAVAIL AUTOUR DU CLIP CNIL-Internet Sans Crainte – 5 à 10’ Le clip réalisé en partenariat avec la CNIL peut ouvrir la session. Faire le point sur le récit. Présenter le jeu • Rappeler en quelques mots le principe de ce «serious game» : il s’agit d’un jeu éducatif qui questionne les pratiques des internautes. • Noter l’importance d’être capable de maîtriser Internet et ses services pour rester « maître du jeu » sur les réseaux. • Leur signaler que le jeu permettra de valider certains items du B2i. ANALYSER & DEBATTRE – 30 à 50’
Lessig, Liberation Music, and the issue of “fair use” | The Music Network The issue of “fair use” in relation to copyright in sound recordings came sharply into focus recently when Australian music label Liberation Music found itself as the defendant in a law suit filed in the US District Court in Massachusetts by a Harvard Law Professor, Lawrence Lessig. Lessig is suing Liberation on the basis of provisions in US copyright legislation that seek to prevent copyright owners from making threats to alleged copyright infringers without proper basis. Lessig’s suit is actually a further step in what has been an interesting example of the use of copyright protection measures used in relation to You Tube material. To make any sense of his suit it is necessary to review how the Boston professor and the Melbourne music company even came to cross paths. Lessig had posted a 49-minute video of a lecture he had given on the subject of ‘content collaboration.’ Instead they utilise a tool called Content ID that is provided by You Tube. There’s another factor to be considered.