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Fable

Fable
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Chat gardant des oies. Égypte, vers -1120 Une fable est un court récit en vers ou occasionnellement en prose qui vise à donner de façon plaisante une leçon de vie. Étymologie[modifier | modifier le code] Le mot fable vient du latin fabula (« propos, parole »), qui désigne le fait de parler en inventant (d'où dérive aussi le terme « fabuler »). Genre littéraire[modifier | modifier le code] La fable est une forme particulière d’apologue, qui désigne tout récit à portée moralisante. Historique[modifier | modifier le code] La fable puise ses racines dans la nuit des temps et se retrouve dans toutes les cultures. La Mésopotamie semble avoir été le berceau du genre, en raison de la découverte qu'on y a faite de nombreuses fables remontant jusqu'à deux mille ans avant notre ère[6]. Antiquité gréco-romaine[modifier | modifier le code] Ésope en Grèce[modifier | modifier le code] Au IVe siècle av. Phèdre à Rome[modifier | modifier le code] Related:  Narratologie

Journal intime Un journal intime (plus généralement appelé journal) est un ensemble de notes datées, présentant le plus souvent les actions, les réflexions ou les sentiments de l’auteur, appelé diariste, qui s'exprime principalement à la première personne. Le journal intime est un type d'écrit autobiographique. Il est tenu de façon plus ou moins régulière, tantôt tout au long d’une existence, tantôt sur une période particulière (à l'adolescence, pendant un voyage, une maladie, un deuil, une guerre, par exemple). Comme pratique ordinaire, il est en général destiné à être gardé secret, temporairement ou définitivement. On parle aussi[Qui ?] Origine et histoire du genre en France[modifier | modifier le code] Le journal apparaît sous sa forme moderne à la fin du XVIIIe siècle dans le milieu bourgeois, et il est encore en majorité tenu par des hommes[2]. Autrement dit, le journal français n'est pas fondamentalement d'origine religieuse, contrairement à ses homologues européens.

Cours de Français - La fable Objectif : connaître la fable et savoir l'analyser. Le mot « fable » vient du latin fabula, qui signifie « propos », « récit ». Il désigne un récit de fiction destiné à illustrer un précepte moral. 1. a. Telle qu'elle est habituellement définie, la fable peut être écrite indifféremment en vers ou en prose. b. La fable se compose généralement d'un court récit, dans lequel interviennent un narrateur et un ou plusieurs personnages fictifs dont les paroles sont rapportées ; et d'une morale (ou moralité) qui correspond au commentaire que fait le fabuliste à propos de l'histoire racontée. La place de la morale n'est pas fixe. « La raison du plus fort est toujours la meilleure : Nous l'allons montrer tout à l'heure. » Elle peut aussi conclure le texte. « Le monde est plein de gens qui ne sont pas plus sages. La morale n'est pas toujours exprimée, elle reste parfois implicite. c. La fable peut exprimer une critique ponctuelle, datée, dirigée contre quelqu'un de précis. 2. a. b. c. L'essentiel

Fable La fable est un genre littéraire. Il s'agit d'une histoire courte qui donne une morale, c'est une forme de l'apologue. Les plus célèbres sont les fables de La Fontaine. Sa fable la plus célèbre, le Corbeau et le Renard, lui a été inspirée de la fable de Esope. Celui qui écrit des fables est un fabuliste. Un peu d’histoire[modifier | modifier le wikicode] Le genre de la fable est très ancien puisque le premier recueil de fables connu est le Pachatantra, originaire de l’Inde, qui date du VIe siècle av. But des auteurs de fables[modifier | modifier le wikicode] Louis XIV demanda par exemple à son jardinier André Le Nôtre, pour l'éducation de son fils, d'édifier dans le parc de Versailles un labyrinthe ponctué de trente-neuf fontaines illustrant chacune une fable d'Ésope. Récit et morale[modifier | modifier le wikicode] Si toute fable contient une morale, toute fable ne l'exprime pas forcément. Certaines fables sont écrites en vers, mais il en existe aussi en prose.

Focalisation (narratologie) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Dans le jargon sémiotique, le terme focalisation (ou point de vue) peut prendre deux sens différents. En un premier sens, il peut désigner une technique narrative qui consiste à recentrer l'œil du lecteur sur un détail (d'un objet, d'un personnage etc.) considéré précédemment dans l'ensemble auquel il appartient. Le lecteur voit tout de l'extérieur, comme une caméra qui n'enregistre que les actions, comme un témoin externe.Il n'y a pas de justification. C'est le point de vue d'un dieu, d'un narrateur démiurge, qui sait tout sur les personnages. Gérard Genette, Figures I, Éditions du Seuil, Paris, 1965.Gérard Genette, Figures II, Éditions du Seuil, Paris, 1969.Gérard Genette, Figures III, Éditions du Seuil, Paris, 1972.

Principes de Gallishaw Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Principes[modifier | modifier le code] Critique[modifier | modifier le code] Ces principes ont des avantages. Premièrement, le texte est une dramaturgie en construction, tant pour l'auteur au moment de rédiger, que pour le lecteur au moment de lire. L'inconvénient majeur de cette méthode est qu'elle est rarement adaptée au récit en cours. Portail de la littérature Narratologie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La narratologie (science de la narration) est la discipline qui étudie les techniques et les structures narratives mises en œuvre dans les textes littéraires (ou d'autres formes de récit). Histoire de la narratologie[modifier | modifier le code] Les premiers travaux en narratologie des études littéraires modernes proviennent du formalisme russe et tout particulièrement des travaux de Victor Chklovski et de Boris Eichenbaum. En Allemagne la narratologie s'est développée sous l'impulsion de Franz Karl Stanzel et de Käte Hamburger. Comme la sémiologie, la narratologie s'est développée en France à la fin des années 1960, grâce aux acquis du structuralisme. Le personnage[modifier | modifier le code] Un récit est composé de plusieurs éléments essentiels, notamment un personnage, c’est-à-dire celui qui participe à l’histoire, le narrateur, celui qui raconte l’histoire et, enfin, un auteur, celui qui l’écrit. Cependant, dès au moins Sémiotique.

Épisode Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. À l’origine en Grèce classique épisode désigne l’énonciation du sujet, au début d’une œuvre littéraire. Le terme vient du grec ancien ἐπεισόδιον / epeisόdion signifiant intervention. Les épisodes en poésie[modifier | modifier le code] Les épisodes au théâtre[modifier | modifier le code] Les épisodes sont moins à leur place au théâtre, à cause de l’unité de l’action et de la nécessité d’avancer rapidement au dénouement. Les épisodes dans les séries télévisées[modifier | modifier le code] Dans la terminologie des séries télévisées, le terme « épisode » désigne plus spécifiquement chacun des segments composant une série, ces segments étant diffusés séparément, sur une même chaîne de télévision, à intervalles généralement réguliers (un épisode par jour, un épisode par semaine, deux épisodes à la suite une fois par semaine, etc.). Source[modifier | modifier le code]

Fabellia : contes, nouvelles, fables, récits - Fabellia Schéma actantiel Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le schéma actantiel comporte un destinateur (émetteur), un objet (objectif), un destinataire (récepteur) ainsi qu'un adjuvant (aidant) et un opposant (adversaire). Ce schéma inclut parfois aussi la quête, selon qu'on la considère ou non comme un actant. Un personnage, le héros, poursuit la quête d'un objet. Les personnages, événements, ou objets positifs qui l'aident dans sa quête sont nommés adjuvants. La quête est commanditée par un émetteur (ou destinateur, ou énonciateur — voir l'article énonciation), au bénéfice d'un destinataire. Pour bien comprendre le schéma actantiel de Ed-diani, il ne faut pas oublier que les rôles actantiels, c'est-à-dire, à proprement parler, les « actants », ne doivent en aucun cas être confondus avec des « acteurs ». Le schéma actantiel doit être complété par la théorie des trois épreuves, ou étapes formelles, de tout récit (sur un axe temporel) : Épreuve qualifiante.Épreuve principale.Épreuve glorifiante.

Morphologie du conte Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Morphologie du conte est un essai de narratologie de Vladimir Propp paru en 1928 à Leningrad. Le livre fut à peu près ignoré en Occident jusqu'à ses premières traductions en 1958 (anglaise) et 1965 (française). Ses premières recherches purement linguistiques s'étant révélées peu fructueuses, Propp eut l'idée d'étendre l'approche du formalisme russe à l'étude de la structure narrative des contes merveilleux[1]. Surtout intéressé par les problèmes de description et de classification des contes, Propp s'attache à en dresser la morphologie, c'est-à-dire « l'étude des formes et l'établissement des lois qui (en) régissent la structure » (1970: 6). À cette fin, il examine les régularités qui apparaissent dans une centaine de contes russes et entreprend de dégager les éléments de contenu abstrait qui leur sont communs. À la différence d'autres tentatives de formalisation du récit, Propp ne retient comme substrat d'analyse que des unités de sens.

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