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Montesquieu

Montesquieu
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Montesquieu en 1728 (peinture anonyme). Œuvres principales Montesquieu, avec entre autres John Locke, est l'un des penseurs de l'organisation politique et sociale sur lesquels les sociétés modernes et politiquement libérales s'appuient. Biographie À cette époque l'Angleterre s'est constituée en monarchie constitutionnelle à la suite de la Glorieuse Révolution (1688-1689) et s'est unie à l'Écosse en 1707 pour former la Grande-Bretagne. Il se passionne pour les sciences et mène des expériences scientifiques (anatomie, botanique, physique, etc.). Puis il oriente sa curiosité vers la politique et l'analyse de la société à travers la littérature et la philosophie. Il travaille ensuite plusieurs années, accumulant notes et réflexions; vers 1739, il commence son maître-livre, De l'esprit des lois. Dès la publication de ce monument, Montesquieu est entouré d'un véritable culte. C'est le qu'il meurt d'une "fièvre chaude" (fièvre ardente). Philosophie Related:  Critiques, polémistes, essayistes

Jean-Jacques Rousseau Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Jean-Jacques Rousseau, né le à Genève et mort le (à 66 ans) à Ermenonville, est un écrivain, philosophe et musicien genevois francophone. La vie de Jean-Jacques Rousseau est une vie d'indépendance et d'instabilité. Il quitte d'abord Genève à seize ans pour la Savoie, où il reçoit un complément d'éducation et une initiation à l'amour par Mme de Warens avant de gagner Paris en 1742, pensant faire carrière dans la musique. Rousseau entre dans l'histoire des idées avec ses brefs essais : Discours sur les sciences et les arts (1750) et Discours sur l'origine et les fondements de l'inégalité parmi les hommes (1755), en opposant l'état de nature qui faisait le bonheur de l'humanité, à l'état social, source des insatisfactions générales. Biographie Famille et enfance Raymond Trousson, dans la biographie qu'il consacre à Jean-Jacques Rousseau, indique que la famille était originaire de Monthléry, près d'Étampes, au sud de Paris[1]. Débuts difficiles

Voltaire Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Œuvres principales Compléments François-Marie Arouet, dit Voltaire, né le à Paris, ville où il est mort le (à 83 ans), est un écrivain et philosophe français qui a marqué le XVIIIe siècle et qui occupe une place particulière dans la mémoire collective française et internationale. Son œuvre littéraire est variée : son théâtre, ses poésies épiques, ses œuvres historiques, firent de lui l’un des écrivains français les plus célèbres au XVIIIe siècle mais elle comprend également des contes et romans, les Lettres philosophiques, le Dictionnaire philosophique et une importante correspondance, plus de 21 000 lettres retrouvées. Tout au long de sa vie, Voltaire fréquente les Grands et courtise les monarques, sans dissimuler son dédain pour le peuple, mais il est aussi en butte aux interventions du pouvoir, qui l’embastille et le contraint à l’exil en Angleterre ou à l’écart de Paris. Biographie Débuts (1694-1733) Études chez les Jésuites (1704-1711) Notes

Œuvres de Denis Diderot Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cet article contient la liste des œuvres de Denis Diderot triées par genre. La liste est suivie par une liste des éditions collectives de références et d'un tableau de synthèse. La catégorie correspondante regroupe les titres qui font déjà l'objet d'un article détaillé. Pour une étude détaillée de la bibliographie matérielle de Diderot, on consultera avec intérêt l'importante bibliographie rassemblée par David Adams[1]. Fictions[modifier | modifier le code] Romans[modifier | modifier le code] Contes[modifier | modifier le code] Théâtre[modifier | modifier le code] Dialogues[modifier | modifier le code] Essais[modifier | modifier le code] Critique et comptes rendus[modifier | modifier le code] Peinture[modifier | modifier le code] Philosophie[modifier | modifier le code] Théâtre[modifier | modifier le code] Auteurs[modifier | modifier le code] Littérature[modifier | modifier le code] Articles de l'Encyclopédie[modifier | modifier le code]

François-René de Chateaubriand Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. François-René, vicomte de Chateaubriand[N 1], né à Saint-Malo le 4 septembre 1768 et mort à Paris le 4 juillet 1848, est un écrivain romantique et homme politique français. Il est considéré comme l'un des précurseurs du romantisme français et l'un des grands noms de la littérature française. Il participera aussi au goût pour l'exotisme de l'époque en évoquant l'Amérique du Nord où il a voyagé dans Atala (1801) ou Les Natchez (1826) ou encore dans le récit de son voyage en Méditerranée dans Itinéraire de Paris à Jérusalem en 1811. Biographie[modifier | modifier le code] Enfance et mariage[modifier | modifier le code] En janvier 1789, il participe aux États de Bretagne. Son frère présente pour François-René une demande d'admission à l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem auprès du prieur d'Aquitaine Louis Joseph des Escotais et justifie de ses quartiers de noblesse. L’exilé[modifier | modifier le code] Chateaubriand à l'armée de Condé.

Cesare Beccaria Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Beccaria. Cesare Beccaria Cesare Beccaria Bonesana, marquis de Gualdrasco et Villareggio[1] (né le 15 mars 1738 à Milan où il est mort le 28 novembre 1794), est un juriste, philosophe, économiste et homme de lettres italien rattaché au courant des Lumières. Dans Des délits et des peines, il fonde le droit pénal moderne et se signale notamment en développant la toute première argumentation contre la peine de mort. Biographie[modifier | modifier le code] Cesare Beccaria, fils de Giovanni Saverio di Francesco et dr Maria Visconti di Saliceto, subit d'abord, selon ses propres dires, « huit années d'éducation fanatique et servile » de 1747 à 1755 dans un collège jésuite pour jeunes aristocrates à Parme. Désireux de réduire les sources du droit à la seule loi du souverain, il développe une théorie (sans doute excessive et d'ailleurs inapplicable) de l'herméneutique judiciaire, dite « théorie du syllogisme ».

Nicolas de Condorcet La bibliothèque libre. Nicolas de Condorcet Condorcet Condorcet.jpg Marie Jean Antoine Nicolas de Caritat, marquis de Condorcet, philosophe, mathématicien et politologue français 1743 1793 Œuvres, Didot, 1847, volume 7 Œuvres[modifier] Œuvres posthumes[modifier] Esquisse d’un tableau historique des progrès de l’esprit humain (1795) Voir aussi[modifier]

Hector Bianciotti Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Hector Bianciotti Hector Bianciotti dans les années 1990. Biographie[modifier | modifier le code] Hector (en espagnol, Héctor) Bianciotti est élevé au sein d’une famille de fermiers d’origine piémontaise. En 1956 il participe au film División Azul - Embajadores del infierno, dont le livret a été écrit par Torcuato Luca de Tena[3], ainsi que dans le film 091 Policía al habla, (1960). Il ne s’installe à Paris qu’à partir de février 1961. Naturalisé français en 1981, il cesse l’année suivante d’écrire dans sa langue maternelle. Deux ans plus tard, son premier roman en français, Sans la miséricorde du Christ (1985), se voit décerner le prix Femina. En 1986, il quitte ses fonctions de critique littéraire du Nouvel Observateur pour les exercer au Monde. À partir du 1995, il fait partie du jury du prix de l'écrit intime[4]. Atteint de troubles de la mémoire, il cesse son activité littéraire. Prix et distinctions[modifier | modifier le code]

Alain de Benoist Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Benoist. Alain de Benoist Alain de Benoist le 2 avril 2012 à la Deltastichting d'Anvers. §Biographie[modifier | modifier le code] En 1961, il fait la connaissance d'Amaury de Chaunac-Lanzac, futur François d'Orcival, et adhère à la Fédération des étudiants nationalistes (FEN). Son livre Vu de droite obtient le « Grand Prix de l'Essai » en juin 1978 par l'Académie française. §Autre droite[modifier | modifier le code] Alain de Benoist ne se cache pas d'avoir été dans sa jeunesse militant d'extrême droite, il se défend[9] depuis longtemps — fustigeant du même coup la « suspicion » qu'entraîne selon lui le règne de la « pensée unique », expression dont il est probablement l'inventeur[10] — de tout penchant pour le racisme et le totalitarisme, malgré les accusations[11],[12] dont il est l'objet. §Œuvres (en langue française)[modifier | modifier le code] §Ouvrages rédigés en collaboration[modifier | modifier le code]

Angelo Rinaldi Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Rinaldi. Angelo Rinaldi à l'Académie française. Angelo Rinaldi, né le 17 juin 1940 à Bastia, est un romancier et critique littéraire français. §Biographie[modifier | modifier le code] Angelo Rinaldi a travaillé successivement à L'Express, au Point et au Nouvel Observateur avant de devenir directeur littéraire du Figaro et responsable du Figaro littéraire jusqu'à sa retraite, en 2005[4]. Il a reçu le Prix littéraire Prince-Pierre-de-Monaco pour l'ensemble de son œuvre et été élu au premier tour le 21 juin 2001 à l'Académie française (20e fauteuil), où il rejoint son voisin Hector Bianciotti. En avril 2007, il est nommé chevalier de la Légion d'honneur. En mars 2011, il démissionne de la présidence de l'association Défense de la langue Française pour protester contre la remise d'un prix à Éric Zemmour[5], à la suite de la condamnation du journaliste polémique pour provocation à la discrimination raciale.

Érasme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Érasme, également appelé Érasme de Rotterdam (Desiderius Erasmus Roterodamus), né dans la nuit du 27 au 28 octobre[1], en 1467[2] (ou en 1466, ou en 1469) à Rotterdam, comté de Hollande, et mort le 12 juillet 1536 à Bâle, est un chanoine régulier de saint Augustin, philosophe, écrivain latin, humaniste et théologien des Pays-Bas bourguignons, considéré comme l’une des figures majeures de la Renaissance tardive. Onomastique[modifier | modifier le code] Les noms de famille, à l'époque, n'étaient pas forcément stabilisés. Il appelle lui-même son père (en latin) Gerardus, et son frère aîné Petrus Gerardus ; d'autre part, un bref du pape le désigne comme Erasmus Rogerii. On en déduit que son père devait s'appeler en néerlandais Rotger Gerrit ou Gerrits. Biographie résumée[modifier | modifier le code] Érasme est né en 1466 ou 1467 ou 1469, selon les biographes, à Rotterdam. Entre 1499 et 1514, Érasme a parcouru l’Europe. Il meurt le à Bâle.

Albert Camus Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Camus. Albert Camus Albert Camus en 1957. Œuvres principales Compléments Son œuvre comprend des pièces de théâtre, des romans, des nouvelles, des films, des poèmes et des essais dans lesquels il développe un humanisme fondé sur la prise de conscience de l'absurde de la condition humaine mais aussi sur la révolte comme réponse à l'absurde, révolte qui conduit à l'action et donne un sens au monde et à l'existence, et « alors naît la joie étrange qui aide à vivre et mourir »[3]. Il ne se dérobe devant aucun combat, protestant successivement contre les inégalités qui frappent les musulmans d'Afrique du Nord, puis contre la caricature du pied-noir exploiteur, ou prenant la défense des Espagnols exilés antifascistes, des victimes du stalinisme et des objecteurs de conscience[5]. En marge des courants philosophiques, Camus est d'abord témoin de son temps, intransigeant, refusant toute compromission.

Francis Jeanson Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Jeanson. §Biographie[modifier | modifier le code] Il revient en France à l'occasion de son amnistie, en 1966, et est chargé par André Malraux de construire et préfigurer la Maison de la culture de Chalon-sur-Saône (1967-1971). Il participe ensuite à des expériences de « psychiatrie ouverte ». En 1992, il devient président de l'Association Sarajevo, en soutien au peuple bosniaque, et se porte candidat sur la liste « L'Europe commence à Sarajevo » du professeur Léon Schwartzenberg pour les élections européennes de 1994. §Bibliographie[modifier | modifier le code] §Sur Francis Jeanson[modifier | modifier le code] Marie-Pierre Ulloa, Francis Jeanson. §Filmographie[modifier | modifier le code] La Chinoise, film de Jean-Luc Godard, 1967 (Jeanson joue son propre rôle lors d'une discussion avec Anne Wiazemsky) §Références[modifier | modifier le code] §Liens externes[modifier | modifier le code]

Frantz Fanon Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Fanon. Frantz Fanon Durant toute sa vie, il cherche à analyser les conséquences psychologiques de la colonisation à la fois sur le colon et sur le colonisé. Dans ses livres les plus connus, il analyse le processus de décolonisation sous les angles sociologique, philosophique et psychiatrique. Il a également écrit des articles importants dans sa discipline, la psychiatrie. §Biographie[modifier | modifier le code] §Période française[modifier | modifier le code] De son expérience de noir minoritaire au sein de la société française, il rédige Peau noire, masques blancs, dénonciation du racisme et de la « colonisation linguistique » dont il est l'une des victimes en Martinique. §Période algérienne[modifier | modifier le code] §Analyse des effets de la colonisation[modifier | modifier le code] §Aux côtés du FLN[modifier | modifier le code] §La rencontre avec Sartre[modifier | modifier le code]

Jean Amrouche Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Jean Amrouche, de son vrai nom Jean el-Mouhoub[1] Amrouche, né le 6 février 1906 à Ighil Ali (Algérie) et mort le 16 avril 1962 à Paris, est un écrivain, journaliste littéraire et homme de radio franco-algérien d'expression française. Il est le fils de Fadhma Aït Mansour Amrouche et le frère de la femme de lettres Taos Amrouche. §Biographie[modifier | modifier le code] §Origines[modifier | modifier le code] Jean Amrouche est issu d'une famille berbère christianisée et francisée[2] d'Algérie, alors colonie française. Il naît dans un village des Monts Bibans, au sud de la vallée de la Soummam (Petite Kabylie), qui à l'époque dépend de la commune mixte d'Akbou. En 1910, sa famille quitte l’Algérie pour s'installer à Tunis dans le Protectorat français de Tunisie ; elle y obtient la nationalité française de plein droit[4]. §Formation et carrière de professeur[modifier | modifier le code] §La guerre d'Algérie[modifier | modifier le code]

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