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What No One Else Will Tell You About Feminism

What No One Else Will Tell You About Feminism
But this is the problem you bring up a contentious issue, ask if you a feminist if you believe differently and say you don't want to talk about the issue. A little too cute no? I think you can clearly be a feminist and think abortion is wrong, a bad choice, perhaps even immoral. You can try to persuade women not to get them and refuse to get one yourself even if you know your baby is going to die within weeks of birth. It is the legal issue that is more problematic. So why would the state have the right to demand that women of reproductive age donate their bodies to bring another citizen to life? Additionally, the attempt to control this choice is fought over just as hard even if the individual to be born wil die in a few weeks or months, even if that death will painful, or prolonged torment (like Tay-Sachs). Related:  English

Féminisme : les idées reçues M'a récemment été faite sur twitter cette réponse qui recense de façon magistrale à peu près tous les poncifs imaginables sur le féminisme. Allons y donc gaiement : 1. Hommes et femmes sont différents et complémentaires : L'IRM nous a permis d'étudier le fonctionnement du cerveau. 2. 3. 4. Les chiffres sont parfaitement disponibles sur le site du Ministère de l'Intérieur mais je comprends qu'il soit agréable de s'inventer des complots.Les hommes représentent 22% des victimes de violences. 5. "il y a dans TOUS les domaines des femmes compétentes et des hommes compétents, mais leur pourcentage varie suivant le domaine et le centre d'intérêt de chacun" Oui si et seulement si on laissait les gens s'épanouir sans préjugé. 6. "A compétence égale, il n'y a probablement pas de plafond de verre, car les lois du marché veillent au grain." "Le marché" n'est pas né de rien ; le capitalisme étant postérieur au sexisme et au racisme. 7. 8. 9. La langue permet de penser les rapports sociaux.

La pilule du féminisme – Entrez dans la matrice J’ai avalé la pilule du féminisme. Cette expression, on l’entend souvent de la part des féministes, ou – si vous préférez – dans la bouche de celles et ceux qui se sont rendus compte. Une métaphore bien trouvée et dans laquelle on peut lire une référence à la pilule contraceptive, cette pastille journalière pour laquelle les féministes se sont battu·e·s et ont vaincu. Le webcomic Sinfest du nippo-américain Tastuya Ishida illustre parfaitement ce processus dans sa série The Sisterhood (qui commence ici). La Sororité. La pilule rouge… – Pop. Mon Dieu. Et le sexisme, soudain, est partout. Dans la bouche du présentateur d’une éternelle émission matinale quand, à l’annonce d’une chronique sur un triolet de nouveaux talents féminins, demande immédiatement si elles sont jolies – ce sont des artistes, c’est leur voix et leur talent qui nous intéresse. Dans la bouche de vos amis, de votre famille, quand ils parlent de comportements de « garçons » et de « filles ». Partout, en permanence.

Lean In Une ville réservée aux femmes en Arabie saoudite Elles ne sont toujours pas autorisées à voter ou à conduire, mais les Saoudiennes auront bientôt une ville à elles. Les autorités de la très conservatrice monarchie du Golfe ont validé le projet de construction d'une cité industrielle entièrement réservée au deuxième sexe à Hofuf, dans l'est du pays. Le complexe, qui doit ouvrir l'an prochain, permettra aux travailleuses de créer leur entreprise et d'employer leurs compatriotes sans attenter à la sacro-sainte ségrégation spatiale imposée aux deux sexes dans le royaume. Discriminer pour mieux émanciper ? Près de cinq mille emplois dans le textile, la pharmacie et l'agro-alimentaire doivent être créés sur le site, qui comptera des bureaux ainsi que des lignes de production. Le projet, à l'initiative d'entrepreneuses saoudiennes, vise essentiellement à trouver des débouchés aux jeunes diplômées. Victimes d'une des sociétés les plus coercitives au monde, les Saoudiennes accèdent difficilement au marché de l'emploi.

Violences masculines envers les femmes : entretien avec Christine DELPHY et Patrizia ROMITO | | Les Entrailles de MademoiselleLes Entrailles de Mademoiselle Living with the Enemy, Donna Ferrato, introduction Ann Jones, Aperture. Le 30 octobre dernier, vous avez pu lire sur ce site l’histoire de Caroline, une jeune femme victime de violences conjugales. Au cours de deux rencontres, Caroline, victime de divers sévices allant des viols conjugaux aux coups en passant par des violences psychologiques, m’a longuement raconté le combat qu’elle mène pour sortir de cet enfer, sa peur intense et sa difficulté à se convaincre de sa légitimité à porter plainte contre son ex-compagnon. Le billet a suscité un certain nombre de commentaires – non publiés[1. Ces commentaires sont publiés en fin d’article].– niant les violences contre les femmes, rejetant la responsabilité sur elles (« Elle aurait dû partir depuis longtemps (…) je ne vais pas les plaindre ! »), ou préférant cantonner les violences contre les femmes au-delà du périphérique (« Vous feriez mieux de regarder du côté des quartiers dits ‘ difficiles ‘ »). Photographie par Donna Ferrato. « Quoi !

Robin Thicke's "Blurred Lines" degrades women July 26, 2013|By Timothy Villareal Robin Thicke, right, takes offense to the charge that “Blurred Lines” is “rapey,” but the rationale for that accusation is difficult to miss. (HANDOUT) If you have not heard it by now, a catchy tune with grotesque, misogynist lyrics has conquered the nation this summer. The female director of the video, Diane Martel, rationalizes the visual degradation by arguing that the women, as they are being actively degraded on film, look into the camera, instead of away from the camera. Who knew there was a glass ceiling in sophistry to break in the first place? Yet according to Katie Russell of the British organization Rape Crisis, the song has lyrics that are "explicitly sexually violent and appear to reinforce victim-blaming rape myths, for example about women giving 'mixed signals' through their dress or behavior, saying 'no' when they really mean 'yes' and so on." Case in point: I know you want it You're a good girl Can't let it get past me You're far from plastic

Des Anonymous et des soutiens des Pussy Riot verbalisés en France, pour anonymat Lorsque le gouvernement de François Fillon a fait publier le "décret anti-cagoule" du 19 juin 2009, et que le dispositif a commencé à inspirer d'autres initiatives réglementaires, nous avions demandé si une telle législation était compatible avec la protection de la vie privée. Nous aurions dû demander si elle était compatible avec la liberté d'expression, tant il semble clair que ça n'est pas le cas. En 2009, le décret anti-cagoule prévoyait de punir de 1500 euros d'amende"le fait pour une personne, au sein ou aux abords immédiats d'une manifestation sur la voie publique, de dissimuler volontairement son visage afin de ne pas être identifiée dans des circonstances faisant craindre des atteintes à l'ordre public". Par la suite, le gouvernement a radicalisé le dispositif par une loi du 11 octobre 2010 qui dispose que "nul ne peut, dans l'espace public, porter une tenue destinée à dissimuler son visage". Acte isolé d'un groupe de policiers trop zélés ?

C. DELPHY : « Le patriarcat, le féminisme et leurs intellectuelles » Christine DELPHY : « Le patriarcat, le féminisme et leurs intellectuelles », extrait. L’accès des questions féministes au rang de questions académiques apparaît souvent comme un progrès pour la lutte féministe elle-même ; non seulement parce que l’université leur donne ainsi un gage de « sérieux » ; mais aussi parce que le cadre universitaire assure, mieux, exige une dépassionalisation des problèmes ; et qu’en retour cette dépassionalisation semble garantir une approche plus rigoureuse parce-que plus sereine. Ceci est un piège du Diable, c’est à dire de l’idéologie dominante qui a crée un mythe de la Science. Mais si nous y succombons aussi facilement, c’est que cette dépassionalisation nous intéresse aussi plus directement, affectivement. Avant même d’y chercher les intérêts de la Science, nous y trouvons une protection contre notre propre colère. Or, notre seule arme contre la trahison potentielle inscrite dans notre statut d’intellectuelles, c’est précisément notre colère.

The Feminist Wire | Moi je suis pas féministe, mais… Est-ce que ça t’arrive de commencer une phrase par «Moi je suis pas féministe, mais…»? De rire de ces féministes qui sont extrémistes, insensées, à côté de la plaque? Si on te décrivait comme féministe, tu trouverais ça insultant? Eh bien j’ai une mauvaise nouvelle pour toi: tu es peut-être bien un ou une féministe quand même. En fait il y a un test assez simple. Tu crois que les hommes et les femmes devraient avoir les mêmes droits et les mêmes opportunités dans la vie.Tu comprends qu’on n’y est pas encore vraiment, et que la majorité des inégalités affectent les femmes. C’est aussi simple que ça. Bien sûr je n’ai pas l’intention de te forcer à porter une étiquette. Dans la suite de cet article, je parlerai de ce qu’est le féminisme — à mon sens — et de ce qu’il n’est pas. Le féminisme c’est… C’est un peu large comme définition, mais c’est fait exprès. Et puis il y a le mot lui-même, «féminisme». Je pense que «féminisme» est un mot légitime et utile, pour deux raisons:

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