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Que savons-nous sur cet adulte qui part en formation ?

Que savons-nous sur cet adulte qui part en formation ?
Notes Cf. Intellectual Evolution from adolescence to Adulthood, Human Development, 1972, 15, 1-12. Aux éditions de Minuit. Cf. Les trois grands stades de l’intimité ou de l’isolement, de la générativité ou de la stagnation, de l’intégrité ou du désespoir sont rappelés dans Adulthood : Essays. Cf. Cf. Cf. New York : Ballantine Books, 1978. Cf. Cf. Cf. Cf. respectivement : - G. - M. Cf. de ces auteurs, Philosophical Fundations of Adult Education. La seule banque de données Francis recense, de 1994 à 1998, 11.694 publications ayant trait à la vie adulte, surtout des articles, contre seulement 2.892 publications dix ans plus tôt de 1984 à 1988. In La quête du présent (1990). Ou la fin de la croissance, ce que signifie le participe passé latin adultus, ayant cessé de croître. C’est un tel dilemme qui est au centre des cent témoignages d’adultes publiés dans Être adulte, 100 personnalités témoignent de leur expérience. Dans Democracy and Education (1916, Macmillan Publishing), J. Cf. Cf. Cf. G. Related:  apprentissage et formation

Les Vertus de l'échec par Charles Pépin Charles Pépin est écrivain et philosophe. Il publie Les Vertus de l’échec en 2016 comme un traité de sagesse qui casse l’idée reçue selon laquelle échouer serait un signe de faiblesse. En effet, il constate que les plus grands succès arrivent rarement sans avoir fait l’expérience de nombreuses déconvenues. « Il y a les échecs qui induisent une insistance de la volonté, et ceux qui en permettent le relâchement ; les échecs qui nous donnent la force de persévérer dans la même voie, et ceux qui nous donnent l’élan pour en changer. Une approche existentialiste de l’échec En France, l’échec est souvent mal perçu : si on a échoué, c’est parce que nous avons été mauvais, que nous avons fauté. Effectivement, dans Les Vertus de l’échec, l’auteur insiste sur le fait que l’échec est une chance de pouvoir rebondir, d’apprendre en analysant ses erreurs, de se réinventer ou d’être projeté dans une voie que l’on n’imaginait pas pouvoir prendre Ce n’est pas parce que l’on échoue, que l’on est un raté.

Avanzini (Guy). L'éducation des adultes l'apprentissage de l'adulte s'en tiendra-t-elle à celui en situations instituées d'enseignement ou de formation, privilégiées en raison « du caractère systématique, intentionnel et séquentiel » (p. 36) qui est le plus proche de ce qu'on connaît de l'apprentissage non-adulte et qui le distingue de l'apprentissage en situation de travail ou de la vie quotidienne, trop informel et original pour être vraiment pris à part entière. La première partie se termine donc sur un cadrage très précis « des postulats théoriques et épistémologiques fondamentaux qui sous-tendent l'approche de la problématique de l'apprentissage chez l'adulte en situation deformation » (p. 43). La précision du cadrage est un grand mérite de ce livre écrit de façon pédagogique, avec des boucles conclusives et des annonces introductives. mière vise à ne pas amputer le modèle de la dimension génétique qui l'a rendu particulièrement fécond pour l'étude de l'apprentissage des enfants.

Conceptions de l’intelligence, orientations de buts et stratégies d’apprentissage chez des adultes en reprise d’études | Érudit | Revue des sciences de l'éducation v30 n1 2004, p. 27-48 | Introduction Le développement des compétences, l’acquisition et la mise à jour de savoirs et de savoir-faire représentent dans les sociétés contemporaines une composante essentielle de la vie adulte. Parallèlement, assurer l’efficacité des apprentissages de populations de plus en plus diversifiées constitue un défi pour les organismes de formation. L’acquisition de nouvelles connaissances sollicite un investissement important en termes d’effort et de persévérance de la part d’un étudiant même des plus compétents. Parmi les modèles de ce courant de recherche, nous avons retenu celui de Dweck (1986 ; Dweck et Leggett, 1988), parce qu’il constitue la tentative la plus précise d’intégration de différents facteurs cognitivomotivationnels, mais aussi parce qu’il reste largement à vérifier dans la mesure où peu d’études empiriques ont testé simultanément l’ensemble du modèle. La théorie de la motivation d’accomplissement de Dweck Figure 1 Relations entre buts et conduites d’apprentissage Sujets

Etre reconnu au travail, un besoin vital Sommes-nous d’éternels enfants en quête de compliments? Non. La reconnaissance professionnelle nous offre une appartenance à un groupe, nous permet de valoriser notre singularité, et nous aide à donner corps et sens à des activités de plus en plus dématérialisées. Par Hélène Fresnel - Mis à jour le 19 Mars 2019 à 11:36 Sommaire « En fait, tu n’as aucune compétence. Un désir légitime d’estime sociale Cet exemple extrême relève davantage du harcèlement que du quotidien rencontré par chacun d’entre nous, pourtant combien sommes-nous à attendre fébrilement ces fameux entretiens de fin d’année ? Car, explique la psychanalyste et coach Hélène Vecchiali, « le travail est dans son étymologie lié à la douleur et à la difficulté. Des « bonnes notes » qui définissent notre valeur A découvrir Le travail est noué à l’amour pour chacun d’entre nous. Résultat : nous disposons moins que jamais aujourd’hui des moyens de nous estimer.

Jean Pierre Boutinet Encore une étude sur les jeunes, penseront certains... Elles sont nombreuses il est vrai. On parle trop « de » jeunes, et de la jeunesse en général, comme s'ils ne possédaient qu'un seul visage. Pierre COUSIN : Sociologue universitaire, chargé d'enseignement à l'Institut de Psychologie et de Sciences Sociales Appliquées d'Angers (I.P.SA.). L'Adulte en formation: regards pluriels liste de v rification des croyances en mati re d'apprentissage L'apprentissage ou l'acquisition des savoirs est souvent liée à une émotion positive. Cette formation ou cette activité pour vous apporter beaucoup de satisfaction sur le plan intellectuel, émotionnel ou socio-culturel. Donc, si c'est le cas, vous seriez plus porter à en tirer profit, à répéter l'expérience et à l'appliquer dans des situations courantes (savoir-agir). Nos croyances par rapport au perfectionnement Nous nous empêchons tous, à certains moments, d'apprendre. Prenez le temps de lire les affirmations ci-dessous et qualifiez chacune de «vraie» ou de «fausse». Ø J'ai toujours réussi à découvrir un élément utile dans tous les cours que j'ai suivis ou dans toutes les formations que j'ai obtenues en milieu de travail. Ø Il m'importe peu que l'enseignant ou l'instructeur soit un homme ou une femme. Ø Les jeunes ne peuvent pas m'apprendre grand-chose. Ø J'aime bien apprendre de quiconque a quelque chose à m'enseigner. Ø Si je trouve la situation stressante, je ne veux pas apprendre. 1. 2.

Philosophie des âges de la vie de Éric Deschavane et Pierre-Henri Tavoillot 1Pour aborder la question des âges de la vie, Éric Deschavanne et Pierre-Henri Tavoillot, deux enseignants chercheurs en philosophie à l’université Paris IV Sorbonne, partent d’un constat : les sociétés modernes ont vécu une véritable mutation démographique qui a bouleversé l’échelle des âges. Ainsi, l’espérance de vie était de 43 ans en France en 1900, elle est de 79 ans en 2000. Auparavant, l’enfance était l’antichambre de la vie, la vieillesse, l’antichambre de la mort, entre les deux, l’âge adulte incarnait l’existence authentique. Tel n’est plus le cas aujourd’hui. 2Pour répondre à cette question centrale, nos deux philosophes montrent que c’est l’individualisme propre aux sociétés démocratiques modernes qui est à l’origine de la déconstruction de l’échelle traditionnelle des âges. 4L’entrée dans la vie adulte n’est plus un changement brutal d’état. 5Deux chapitres nous intéressent plus particulièrement : « Qu’est-ce qu’un enfant ?

l'adulte en reprise d'étude: l'engagement dans une formation universitaire La place du concept de motivation en formation pour adulte Bien que le terme de motivation soit d’un usage récent (Mucchielli, 1981 ; Feertchak, 1996), il a donné lieu à plusieurs dizaines de formulations théoriques majoritairement anglo-saxonnes (Fenouillet, 2008, 2009). Cette extraordinaire diversité s’explique en partie par sa capacité à expliquer d’innombrables activités humaines parfois spécifiques à un contexte donné, ce qui démultiplie d’autant les modélisations possibles. De nombreuses théories motivationnelles sont directement issues du monde du travail comme la théorie de l’équité (Adams, 1963), la théorie valeur-instrumentalité-expectation (Vroom, 1964) ou encore la théorie motivationnelle des rôles (Miner, 1993), pour ne citer que quelques exemples parmi bien d’autres. D’autres théories sont principalement issues du monde scolaire ou universitaire. Cette spécificité liée au contexte d’application se retrouve-t-elle dans la formation pour adulte ? Une des réponses possibles est peut-être justement cette question d’épaisseur.

La décision de la personne adulte à entrer en formation dans le secteur social Notes « L’insécurité réelle et ressentie liée au chômage, aux situations de précarité, aux difficultés de maîtrise de l’avenir pour les salariés et pour les entreprises dans une économie mondialisée, appelle des réponses nouvelles. La mobilité sur le marché du travail est une nouvelle donne et doit être reconnue comme une perspective souhaitable à condition d’être inscrite dans un cadre collectif construit et suffisamment stimulant et protecteur, produisant des garanties pour les individus, notamment par la mutualisation ». Introduction du rapport du Conseil Économique et social « La sécurisation des parcours professionnels » présenté par Mme E. Centre d’analyse stratégique et Dares, Les métiers en 2015. Si la Validation des acquis de l’expérience peut apporter quelques pistes, il semble essentiel de favoriser des types d’interventions dans le cadre de formations pour professions réglementées mixant périodes d’autoformation ou périodes de formation à distance, stages, et cours.

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