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Psychologie sociale

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Cours de psycho sociale Psychologie sociale Revue électronique de psychologie sociale L’orthorexie nerveuse – quand manger trop sain devient malsain Les personnes obnubilées par le dogme de «l’alimentation saine» sont en train de développer une nouvelle pathologie de l’alimentation. D’après l’Association suisse de l’alimentation, cette nouvelle obsession nutritionnelle, dénommée «orthorexia» ou «orthorexie nerveuse» – du grec «orthos» qui signifie correct et «orexis» qui signifie appétit – atteint des proportions alarmantes. Désireux de soigner une maladie particulière ou allant trop loin dans la recherche d’aliments sains, les orthorexiques inventent leurs propres règles alimentaires. Ils passent de plus en plus de temps à se plier aux exigences qu’ils ont eux-mêmes déterminées et se sentent obligés de planifier leurs repas plusieurs jours à l’avance. Il leur arrive même de prendre un «kit de secours» dès qu’ils sortent car ils ne sauraient manger des aliments tout prêts, par crainte des graisses, des produits chimiques ou de tout ce que leur fait redouter leur phobie.

Hypocondrie - Peur d’être malade Nous avons tous peur de tomber malades, mais certains sont obsédés par cette idée. Ils souffrent d’hypocondrie, un mal souvent incompris par l’entourage. Catherine Marchi L'hypocondrie La maladie, ma chère maladie, que serais-je sans toi ? Dans l’hypocondrie majeure, explique le psychiatre Bernard Brusset, « la personne réduit son identité à sa maladie, qui devient un objet d’amour et de haine. Selon les psychiatres, l’hypocondrie a une origine psychodynamique. Pour certains psychanalystes, elle découle d’un manque d’estime de soi. Quant à Michèle Freud, psychothérapeute et sophrologue, « la souffrance hypocondriaque est due aux exigences de la vie quotidienne. Témoignages Sandrine, 30 ans, graphiste : “Aucun médecin ne parvient à me rassurer”« Tout a commencé quand mon cousin est mort à 38 ans d’un mélanome malin foudroyant. Jean-Philippe, 28 ans, pharmacien : “Je suis fasciné par les virus inconnus”« Je surveille attentivement ma santé. Conseils à l'entourage

L'effet nocebo Croire que l’on est malade peut suffire à développer les symptômes d’une maladie, c’est l’effet nocebo. Et attention : ces craintes aux effets potentiellement terribles sont contagieuses. “Méfiez-vous des alarmistes. Comme un mauvais sort, leurs mots pourraient propager des fléaux modernes”, écrit la BBC le 11 février. Si elle aborde la question avec humour, la radio britannique revient sur le sérieux “effet nocebo” – phénomène selon lequel une personne encouragée à croire qu’elle est malade développe les symptômes de ladite maladie – et met en garde sur sa propagation. “Nous savons depuis longtemps que les craintes d’une maladie peuvent être aussi dangereuses qu’un virus, rapporte la BBC. Contagion des esprits Et la parole ne serait même pas nécessaire. Dilemme médical Alors comment se protéger ? Marc-Antoine Paquin

Le trouble du déficit de l'attention avec hyperactivité (TDAH) Le trouble du déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDAH) est le trouble comportemental le plus fréquent chez les enfants et les adolescents. À des degrés variables, le TDAH peut perturber le fonctionnement personnel, scolaire, familial et social. S’il n’est pas identifié et traité tôt, il peut avoir des conséquences sur toute la vie adulte. Qu’est-ce que le TDAH? Le trouble du déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDAH) est une maladie d’origine neurologique qui a 2 caractéristiques principales : 1) l’inattention et 2) l’hyperactivité ou l’impulsivité. Bien que ces types de comportements se retrouvent chez tous les enfants, ils sont chroniques et très prononcés dans le cas de ceux qui sont atteints du TDAH. Malgré les difficultés scolaires causées par un TDAH, il n’existe aucun lien entre ce trouble et l’intelligence. On estime que de 5 % à 8 % de la population souffre de TDAH. Les symptômes au moins 6 symptômes d’inattention; Symptômes d’inattention Médicaments

L’effet Caméléon | L'influence sociale L’expérience originale de l’effet caméléon date de 1999 et a été faite par Tanya .L. Chartrand et John A. Bargh. Nous allons vous présenter une expérience de Van Baaren, Holland, Steenaert et Van Knippenberg, datant de 2003. Cette expérience se déroule dans un restaurant, en Hollande. Il y’a deux serveuses. L’autre prend juste note de la commande sans répéter mais elle écrit de façon tout aussi visible pour le client puisse voir. Les résultats montrent que les clients donnent plus souvent un pourboire à la serveuse qui répètent les commandes et une somme plus importante, que les clients avec la serveuse qui prend en note la commande sans la répéter. En chiffre, il est montré que dans la condition imitation, 78% des clients donnent un pourboire contre 52% dans la condition contrôle. Les personnes nous imitant serait donc perçue plus positivement par nous-même que l’inverse.

Le syndrome du spectateur Essayez l’experience suivante : au milieu d’une foule, ou d’une rue très fréquentée, laissez vous tomber au sol et restez-y. Vous risquez d’attendre très longtemps avant que quelqu’un ne daigne vous apporter de l’aide, si toutefois quelqu’un vient. Et plus le nombre de personnes est important, moins il y a de chances que l’on vienne à votre secours. En psychologie sociale, ce phénomène est connu sous le nom d’effet spectateur, ou effet du témoin. Un exemple emblematique de l’effet spectateur est le cas de Kitty Genovese. En 1964, cette jeune femme fut poignardée à mort au pied de son immeuble, devant de nombreux témoins (38 selon les journaux de l’époque). Suite à ce fait divers sordide, qui propagea l’idée que les sociétés humaines étaient devenues froides et incapables de compassion, les chercheurs en psychologie voulurent comprendre ce qui motivait cette inaction. Ce que Darley et Latane ont révélé dans leur étude, c’est que la présence des autres inhibait l’action. Plus d’infos :

Le triangle de Karpman ou comment naissent les rapports de force Le triangle de Karpman ou comment naissent les rapports de force… C’est au cours des années 60 que Steve Karpman, élève d’Eric Berne décrivit de façon astucieuse la situation dans laquelle on se sent parfois bloqué, mal à l’aise, furieux, coupable… Est-on obligé de subir, de rester enfermé dans ce rôle ? Le décrypter permet de s’en sortir. Le triangle de Karpman est appelé aussi triangle dramatique. Cela veut dire que nous nous mettons dans ces différents rôles, nous en changeons aussi régulièrement et à différents stades. Ce schéma tend à exprimer qu’une personne qui utilise un de ces rôles (par exemple la victime), entraîne l’autre à jouer un rôle complémentaire ( le Sauveur ou le Persécuteur). Le persécuteur : Il prend le rôle de l’agresseur, de l’attaquant. Une piste pour…changer : Si je suis de nature colérique, autoritaire ou directive, je serai vigilant à ne pas agresser verbalement mon entourage même si je juge qu’il fait mal son « boulot ». Le sauveur : Il s’agit du r La victime :

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