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Lernen durch Lehren

Lernen durch Lehren
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Élève enseignant le vocabulaire à ses camarades Lernen durch Lehren (LdL) (anglais: Learning by teaching) est la technique d'enseignement mutuel pratiquée en Allemagne depuis les années 1980. Cette pédagogie est sur le fond similaire à celle exercée en Angleterre et en France de la fin du XVIII- siècle au milieu du XIX- siècle. Pour faire face à une pénurie de professeurs, on demandait à des élèves de transmettre à leurs condisciples les connaissances qu'ils venaient d'assimiler. Histoire[modifier | modifier le code] En Suisse, le franciscain Grégoire Girard instaure des « cours gradués » basés sur le monitorat systématique en petits groupes. À partir du début du XXe siècle ces techniques sont utilisées pour des motifs pédagogiques pour arracher les élèves à leur passivité (pédagogie active). La méthode d'après Martin (LdL)[modifier | modifier le code] Arrière-plan théorique[modifier | modifier le code] LdL comporte deux volets : Avantages : Related:  Penser l'école (dans une dynamique Education nouvelle)

Connectivisme (théorie de l'apprentissage) Une page de Wikiversité. Notez qu'il existe aussi (#CCK09), les messages blog, et un . php ? id = 522 forum de discussion à ce sujet. Mashups du bétail comprennent: [1]. La théorie du connectivisme est similaire au néo-constructivisme (théorie élaborée par Lev Vygotski) qui exploite pleinement les ressources des nouvelles sciences & technologies de l'information et de la communication. Le Connectivisme est l'intégration des principes explorés par les théories du chaos, théories des réseaux (et la théorie de l'information), de la complexité (et la Systémique) et les théories de l'Auto-organisation. Souligné par Mergel sur Ertmer et Newby's : "cinq questions définitives pour distinguer les théories de l'apprentissage" (en distinguant la section apprentissage, ¶ 1 ) fournit un cadre pour organiser les différentes théories : Comment l'apprentissage se produit il ? Créez des blogs pour la classe ... Quelle est la différence entre Connectivisme et d'apprentissage en réseau? ((ancrage | blogues))

Perrenoud : « Comprendre, c’est contester l’ordre des choses… » Par Marcel Brun Un nouvel ouvrage de Philippe Perrenoud est forcément un objet attendu, tant les travaux de l’universitaire genevois ont irrigué les milieux de la formation des enseignants, IUFM compris. Le titre est tout un programme, comme une preuve que le propos est pesé : « Quand l’école prétend préparer à la vie… Développer des compétences ou enseigner d’autres savoirs ?» Il faut dire que ces derniers temps, les pédagos qui parlent des compétences ne sont pas sur une ligne unique. Où en est Perrenoud avec les compétences ? Du coup, pas étonnant que la construction de « référentiels » nécessaires en éducation tourne rapidement au dialogue de sourds : - « travailler par situations-problèmes » ne suffit pas pour développer automatiquement des compétences - les compétences ne se confondent pas avec les « habiletés », souvent enseignées ou évaluées à l’Ecole, mais qui ne sont que des « ressources » pour agir. Réorganiser les disciplines d’enseignement ? Notes : Liens : Le site d’ESF

Contre l'idéologie de la compétence, l'éducation doit apprendre à penser Dans quelle mesure l'évolution de nos sociétés ébranle-t-elle les conditions de possibilité de l'entreprise éducative ? Marcel Gauchet : Nous sommes en proie à une erreur de diagnostic : on demande à l'école de résoudre par des moyens pédagogiques des problèmes civilisationnels résultant du mouvement même de nos sociétés, et on s'étonne qu'elle n'y parvienne pas... Quelles sont ces transformations collectives qui aujourd'hui posent à la tâche éducative des défis entièrement nouveaux ? Ils concernent au moins quatre fronts : les rapports entre la famille et l'école, le sens des savoirs, le statut de l'autorité, la place de l'école dans la société. A priori, famille et école ont la même visée d'élever les enfants : la famille éduque, l'école instruit, disait-on jadis. Aujourd'hui, la famille tend à se défausser sur l'école, censée à la fois éduquer et instruire. Dans quelle mesure le face-à-face pédagogique est-il bouleversé par cette nouvelle donne ? P. Découvrir M. M. P. P. M. P. M. P. M.

Meirieu : "Je ne peux accepter que l’idéologie des compétences devienne une « théorie de l’apprentissage" Peut-on être optimiste à cette rentrée ? Dans la nouvelle édition actualisée de sa "Lettre à une jeune professeur", Philippe Meirieu analyse le plaisir d'enseigner. L'ouvrage, accessible et optimiste, reconnaît les difficultés du métier mais en montre aussi la beauté intime. Cette publication est l'occasion pour le Café de l'interroger sur la rentrée et l'avenir de l'Ecole. Et aussi de revenir sur ses propos sur "la tyrannie des référentiels de compétences". Philippe Meirieu aurait-il retourné sa veste ? Je suis dans un paradoxe pour démarrer cet entretien. Oui, bien sûr, cette rentrée est, à de très nombreux égards, catastrophique : le système est au bout du rouleau, étouffé par une politique de restriction insupportable. Le bilan de la rentrée "techniquement parfaite" a déjà été dressé, notamment par les syndicats. C’est, incontestablement, la formation… au sens large du terme. PISA a mis en évidence le poids des inégalités sociales dans l'accès à l'éducation. Oui, évidemment !

Edgar Morin : Réforme de pensée, transdisciplinarité, réforme de l'Université Réforme de pensée et transdisciplinarité Nous savons que le mode de pensée ou de connaissance parcellaire, compartimenté, monodisciplinaire, quantificateur nous conduit à une intelligence aveugle, dans la mesure même où l'aptitude humaine normale à relier les connaissances s'y trouve sacrifiée au profit de l'aptitude non moins normale à séparer. Car connaître, c'est, dans une boucle ininterrompue, séparer pour analyser, et relier pour synthétiser ou complexifier. La prévalence disciplinaire, séparatrice, nous fait perdre l'aptitude à relier, l'aptitude à contextualiser, c'est-à-dire à situer une information ou un savoir dans son contexte naturel. Nous perdons l'aptitude à globaliser, c'est-à-dire à introduire les connaissances dans un ensemble plus ou moins organisé. Ces conditions se rappellent à nous d'autant plus que s'ouvre une ère planétaire d'inter-solidarité. Le système La première notion ou conception, qui est maintenant bien connue, c'est évidemment celle de système.

L’école transformée en machine à désintégrer Dans le petit jeu des annonces gouvernementales qui s’emballent à l’approche des élections, le repérage des enfants «à risque» et «à haut risque» en maternelle est très représentatif d’une conception tout à fait cohérente de l’enseignement fondée sur des principes simples : médicalisation, détection et dérivation. Longtemps, la métaphore médicale a joué un rôle critique en éducation. En 1967, les enfants de Barbiana écrivaient dans leur «Lettre à une maîtresse d’école» que «l’école se comport[ait] comme un hôpital qui soignerait les bien portants et exclurait les malades». Le caractère subversif de la formule s’est émoussé : avec la gestion libérale du système de santé, quand le management l’emporte sur le soin et que le «pilotage par les résultats» permet tout naturellement d’arroser là où c’est déjà mouillé, la médecine n’a plus rien à envier à l’école ! Ainsi, ce qu’on nous présente comme une machine à intégrer est devenu une gigantesque machine à désintégrer.

Meirieu : Un pédagogue dans la Cité Par François Jarraud Attention : ce livre n'est ni une biographie officielle, ni des mémoires, encore moins un testament ! Avec "Un pédagogue dans la Cité", Philippe Meirieu revient dans le débat éducatif avec des propositions et pas seulement des souvenirs. "J'ai considéré comme "pédagogues" des personnalités engagées à la fois dans la réflexion et l'action éducative". Dans cet ouvrage, fruit d'une conversation avec Luc Cédelle, Philippe Meirieu revient sur son parcours et son action de pédagogue. Mais l'essentiel c'est la foi et les propositions. Plus qu'un livre de souvenirs, l'ouvrage est un livre de réflexion et d'action. Philippe Meirieu, Luc Cédelle, Un pédagogue dans la Cité, Conversation avec Luc Cédelle, Desclee de Brouwer, 2012. Présentation et commande Philippe Meirieu : Jamais la question des rapports entre démocratie et pédagogie n’a été aussi vive A la formation, n'êtes-vous pas finalement à la mauvaise place ? Non.

CONFERENCE : « L’œuvre de VYGOTSKI », par Jean-Yves Rochex. Accueil Sites compagnons Offres numériques Téléchargement Actualités Forum Retz Votre panier : 0 article Recherche avancée Accueil > Informations > CONFERENCE : « L’œuvre de VYGOTSKI », par Jean-Yves Rochex. CONFERENCE : « L’œuvre de VYGOTSKI », par Jean-Yves Rochex. L’IUFM de Créteil a mis en ligne la conférence de Jean-Yves Rochex, professeur en sciences de l’éducation, intitulée « L’œuvre de Vygotski : fondement pour penser l’école aujourd’hui ». Vygotski et l'éducation - Apprentissages, développement et contextes culturels à lire également > Tous les articles Services et liens utiles chargement

Formation | Enseignement: L'UCL lance les classes inversées! Avez-vous déjà entendu parler du concept de «classe inversée» ou de «flipped classroom»? Une révolution dans la façon d’enseigner! Rencontre avec Julie Lecoq, responsable du projet à l’IPM et Valérie Rosoux, professeur de négociation internationale. YOUcl News: d’où vient ce concept de «classe inversée», en quoi consiste-t-il? YN: peut-on faire confiance aux étudiants pour lire et découvrir la théorie en amont, par eux-mêmes? YN: Ce sont les professeurs qu’il va falloir alors convaincre? YN: Concrètement, comment allez-vous vous organiser? Infos pratiques: Mercredi 18 décembre 2013 9h00-12h00 SUD 08, LLN (Place Croix du Sud - rez de chaussée- Louvain-la-Neuve) Coordinatrice: julie.lecoq@uclouvain.be Site web: Mise en pratique : rencontre avec Valérie Rosoux, professeur de négociation internationale «Se détacher d’un enseignement traditionnel basé sur une asymétrie radicale entre professeur et étudiants»

Climat motivationnel instauré par l’enseignant et implication des élèves en classe : l’état des recherches 1 En témoigne le Miroir du Débat qui reflète ce que les Français on dit de leur école. Il contient la (...) 1« Motiver, motiver, comment les motiver » titrait Le Monde de l’Éducation dans son numéro d’avril 2004, se faisant l’écho de la fameuse « question 8 » du « Grand débat sur l’école » organisé par Luc Ferry le ministre de l’Éducation nationale de l’époque. Lors des 20 590 réunions de ce grand débat, la motivation est arrivée largement en tête des thèmes abordés 1. S’affirmant comme la première préoccupation des enseignants et des parents, la (dé)motivation des élèves est en passe de devenir une priorité pédagogique. 2 Bien que proche, ce dernier ne se confond pas avec « l’effet-classe » qui intègre d’autres éléments (...) 2Sensibles à cette préoccupation sociale grandissante, les travaux en psychologie de l’éducation se sont multipliés ces vingt dernières années sur le thème de la motivation. Postulats théoriques Climat de maîtrise contra climat de compétition 13On doit à C.

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