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Créativité

Créativité
La créativité fait partie de la vie. Dès qu'il y a un problème à résoudre, on a l'occasion de faire preuve de créativité. Comme outil thérapeutique ou de croissance personnelle, la créativité peut être un moyen efficace pour explorer de nouvelles facettes de soi ou pour affronter une période critique de sa vie. L'art-thérapie est une des approches « créatives » les plus connues. D'autres techniques artistiques utilisent la créativité à des fins thérapeutiques. Sortir du cadre Dans sa plus simple expression, on pourrait dire que la créativité est l'aptitude à concevoir la réalité autrement. Jusqu'à la moitié du XIXe siècle, le concept de créativité ne faisait pas partie de la pensée scientifique, qui percevait le monde comme un ensemble de phénomènes opérant selon un ordre logique bien défini. Plusieurs théoriciens ont élaboré des techniques de créativité, notamment le chercheur britannique Edward de Bono3, surtout connu pour sa technique de remue-méninges (brainstorming). Related:  nsibitarekdfe34

Programmes d'études | Maîtrise en art-thérapie (3289) Objectifs Le programme vise à maîtriser l'apprentissage de la thérapie par les arts plastiques (dessin, peinture, collage, modelage) et la réflexion critique ou la recherche sur sa pratique. II constitue une spécialisation dont l'objectif général est de développer des habilités d'intervention art-thérapeutiques avec des individus et des groupes. Il propose d'approfondir des approches théoriques spécialisées en thérapie par l'art, de perfectionner des habiletés et techniques spécifiques à l'art-thérapie, et d'acquérir et de développer des compétences scientifiques et professionnelles inhérentes à l'usage thérapeutique de l'expression créatrice. A l'issue de ce programme, les étudiants disposeront des outils nécessaires pour exercer la pratique professionnelle de l'art-thérapie, que ce soit au plan de l'évaluation, de l'intervention, de l'analyse réflexive ou de la recherche clinique. Conditions d'admission Base études universitaires Règlements pédagogiques

L’OMS étudie le lien entre les arts et la santé Copenhague, Helsinki, 11 novembre 2019 L’art peut être bénéfique pour la santé, tant physique que mentale. C’est l’une des principales conclusions d’un nouveau rapport du Bureau régional de l’OMS pour l’Europe, qui analyse les éléments de preuve tirés de plus de 900 publications du monde entier. Il s’agit, à ce jour, de l’étude la plus complète de bases factuelles sur les arts et la santé. « Faire entrer l’art dans la vie de quelqu’un par le biais d’activités telles que la danse, le chant ou la fréquentation de musées et de concerts nous donne une clé supplémentaire pour améliorer notre santé physique et mentale », déclare le docteur Piroska Östlin, directrice régionale de l’OMS pour l’Europe par intérim. « Les exemples cités dans ce rapport inédit montrent comment les arts permettent de gérer des problèmes de santé pénibles ou complexes comme le diabète, l’obésité ou la mauvaise santé mentale. Les arts et la santé tout au long de la vie Les arts dans les soins de santé Par exemple :

métriser le corps On se souvient des tentations de saint Antoine contre lesquelles il luttait avec force. Et combien de saints et non des moindres, se faisaient subir des mortifications pour maîtriser leurs corps. Aujourd’hui, l’Église ne prône plus de tels excès, mais reste que le corps peut sembler être un obstacle à notre vie spirituelle. Quelle place donner à notre corps dans notre vie de chrétiens ? Dominique Salin : Ce n’est pas une question qui concerne seulement les chrétiens. Maîtriser veut-il dire alors maîtriser son corps ? D.S. : Le maîtriser et même, si j’entends bien votre allusion aux mortifications des moines du désert, éventuellement faut-il le mater ? Vous voulez dire que le corps a sa place dans la tradition chrétienne ? D.S. : Le corps a tout à fait sa place. Ce serait alors un peu un venin grec qui s’est immiscé dans la tradition chrétienne ? D.S. : On peut dire cela et la tradition chrétienne l’a assumé, avec des erreurs, des écarts. Mais les passions passent par le corps…

conte pour canaliser les émotions et tutoriel!!!! Il était une fois l’histoire d’un petit poisson qui s’appelait Oscar. Quand il arrivait à l’école des poissons, tu sais ce qu’il faisait? Eh bien, d’un seul coup, il nageait vers les autres poissons qui étaient dans la cour de l’école et il les mordait. Oui, il les mordait avec sa bouche de poisson, comme ça, cratch, cratch! Mais tout au fond, il était très triste. Un jour, la maîtresse d’école des poissons s’approcha d’Oscar et lui dit: - Je t’ai vu souvent taper les autres petits poissons. Le petit poisson Oscar tout étonné dévisagea la maîtresse des poissons. J’ai appris depuis que d’autres maîtresses d’école, chez les poissons, avaient pris l’habitude de proposer des boîtes pour déposer à 1’intérieur les sentiments pénibles. Ainsi se termine pour l’instant le conte du petit poisson qui avait une si grande colère en lui... qu’il aurait pu avaler toute la mer. ! 1) Lire le conte 2) Peindre la boite 3) Coller les décorations 4) utiliser sans modération…

Traiter les troubles psychiatriques et de toxicomanie par l’art Les recherches sont menées conjointement par l'UQAM, le MBAM et des spécialistes du milieu hospitalier de Montréal (Crédit Sean Kimmons Courtoisie USAF) Des chercheurs de l’UQAM mènent une étude concernant la répercussion des activités artistiques sur la santé mentale. Les résultats préliminaires indiquent que l’art semble contribuer au rétablissement et à l’inclusion sociale de personnes marginalisées. Le 9 novembre dernier s’est tenu le symposium Art, santé et mieux-être au Musée des beaux-arts de Montréal (MBAM). L’art vivant Quarante-trois hommes et vingt femmes ont suivi des ateliers de danse, de musique, d’art dramatique et d’art visuels deux heures par semaine pendant douze semaines. « Il s’agit du concept clé de cette recherche », annonce la professeure à l’École des arts visuels et médiatiques de l’UQAM Mona Trudel. Identité, confiance et responsabilité C’est un avis que partage la professeure des arts visuels et médiatiques de l’UQAM, spécialisée en musique, Adriana De Oliveira.

Le Peninsula élève d'un cran le chic parisien EXCLUSIF - Après quatre années de travaux pharaoniques, le premier palais européen de l'enseigne hongkongaise va ouvrir à Paris. En avant-première, Le Figaro en a poussé les monumentales portes. A ttention, exception. C'est dit, le Peninsula Paris ne sera pas un hôtel comme les autres. Vous utilisez un bloqueur de publicité Pour poursuivre la lecture de nos articles, nous vous proposons deux solutions : Tout Le Figaro en illimité Le journal en numérique dès 22h Le site Premium, sans publicité L’information sur tous les écrans 1 MOIS D’ESSAI GRATUIT • Les lions montent la garde L'immeuble a du bagage. Le premier regard en bluffera plus d'un. • Feuilles d'or lissées à la main Avec le décor d'abord. 1 000 boiseries d'époque, numérotées, enlevées, restaurées, replacées. 100.000 ardoises angevines découpées en forme d'écailles de poisson pour tapisser les toits. Par la qualité du séjour ensuite. Grâce aux services, enfin. • Sèche-ongles à disposition

Enseigner avec le numérique - Tynker Les applications du genre se multiplient aussi bien en ligne qu’en application. Tynker se détache du lot en offrant bien sûr une application permettant d’apprendre, mais surtout une véritable plateforme permettant de prévoir des cours à affecter à ses élèves. Nous parlerons essentiellement ici de l’application qui peut avoir son utilité sans avoir à aborder la plateforme payante. L’application se divise en deux grandes parties. la première permet de créer des jeux et la seconde de jouer en apprenant les rudiments de code. Pour la partie création, plusieurs choix sont offerts : créer un projet de but en blanc, ce qui signifie comprendre le fonctionnement de base de l’application, donc réservé aux initiés ; mais il est aussi possible d’utiliser des kits déjà en place de façon à les utiliser dans un nouveau projet ou des exemples déjà créés de façon à modifier leur code. L’ensemble des commandes disponibles se trouvent dans un menu latéral à gauche de l’écran.

L’art qui guérit – Éric Bolduc XYZ Une autre forme d’art-thérapie La Fondation de l’art pour la guérison aurait installé, depuis 2002, pas moins de 9000 œuvres d’art dans 71 institutions médicales à travers le Canada. Ses fondateurs, les hommes d’affaires Earl Pinchuk et Gary Blair, ont eu l’idée d’habiller les murs des hôpitaux, après avoir passé du temps au chevet d’un ami malade qui se faisait soigner dans un environnement morne et triste. « Il n’y a aucun doute sur les effets bénéfiques de l’art et des projets tels que la Fondation de l’art pour la guérison ne sont qu’une ramification naturelle d’un mouvement grandissant, visant à incorporer l’art dans la vie de tous les jours. » – Dorota Kozinska Faire de l’art vs vivre avec l’art Il n’est pas nécessaire de faire de l’art soi-même. Cette forme de guérison s’opère d’abord au niveau de l’esprit. Qu’ont en commun ces « méthodes » non-médicales et comment peuvent-elles contribuer à recouvrer ou maintenir un bon état de santé ? WordPress: J'aime chargement… Sur le même thème

neuro spheric A network of neurosynaptic cores derived from long-distance wiring in the monkey brain: Neuro-synaptic cores are locally clustered into brain-inspired regions, and each core is represented as an individual point along the ring. Arcs are drawn from a source core to a destination core with an edge color defined by the color assigned to the source core. (Credit: IBM) Announced in 2008, DARPA’s SyNAPSE program calls for developing electronic neuromorphic (brain-simulation) machine technology that scales to biological levels, using a cognitive computing architecture with 1010 neurons (10 billion) and 1014 synapses (100 trillion, based on estimates of the number of synapses in the human brain) to develop electronic neuromorphic machine technology that scales to biological levels.” Simulating 10 billion neurons and 100 trillion synapses on most powerful supercomputer Neurosynaptic core (credit: IBM) Two billion neurosynaptic cores DARPA SyNAPSE Phase 0DARPA SyNAPSE Phase 1DARPA SyNAPSE Phase 2

La Gestaltung de Hans Prinzhorn 11 A propos de langage, il est intéressant de noter que l’édition de 1984, sur laquelle repose cet article, est préfacée par Jean Starobinski, homme de lettres (théoricien de la littérature et des idées) et psychiatre. Voici ce qu’il dit de la notion de Gestaltung de Prinzhorn : 12 « Prinzhorn, parlant du principe de Gestaltung, fait de lui un universel : une émanation directe d’un absolu biologique, indépendant de la personnalité de l’artiste. 13 Cette édition de 1984 est augmentée d’une biographie de Prinzhorn et d’une bibliographie sélective des travaux de Prinzhorn. 14 Né le 6 juin 1886 à Hemer en Westphalie (Allemagne), Hans Prinzhorn commence par étudier la philosophie et l’histoire de l’art, puis il fait des études de chant et une carrière de chanteur d’opéra. 15 Prinzhorn est décrit par ses contemporains comme non-conformiste et anti-bourgeois. 16 Dans ce chapitre, Prinzhorn définit sa notion de Gestaltung. 17 La pulsion de Gestaltung et ses cinq pulsions de base

AvantGarde » Quand le beau soigne les maux Faire entrer le Louvre à l’hôpital. C’est l’expérience menée par le premier musée du monde et les Hôpitaux de Paris. Le principe : installer une cinquantaine de copies, toiles ou sculptures, dans les chambres des patients pour stimuler et susciter la discussion. Un premier test a commencé dans un établissement gériatrique d’Ivry avant de s’étendre à d’autres structures du groupe AP-HP. Le Louvre mène depuis plusieurs années des actions en faveur des publics dits « empêchés » : prisonniers, personnes handicapés et /ou hospitalisées pour leur permettre d’avoir accès aux trésors du musée. Première structure à bénéficier de ce dispositif : l’établissement gériatrique Charles-Foix à Ivry. Le musée lui a fourni 50 reproductions d’œuvres de la collection du Louvre, regroupées en plusieurs thèmes : la famille, l’enfance, les animaux… Un choix qui n’a pas été fait au hasard : un comité d’experts comprenant psychiatres et gériatres s’est prononcé sur l’impact que pouvaient avoir certaines œuvres.

Claustrum : "Un interrupteur de la conscience" En essayant de traiter par stimulation cérébrale une patiente atteinte d'épilepsie, des chercheurs auraient découvert le "bouton" on/off de la conscience. Le claustrum, une fine bande de matière grise pourrait ainsi constituer le siège de la conscience. Aussi intrigante qu'enthousiasmante, la découverte publiée dans la revue Epilepsy & Behavior nécessite quelques éclaircissements. Co-auteur de l'étude, le Pr Fabrice Bartolomei du service de neurophysiologie à lhôpital de La Timone (Marseille) a répondu à nos questions. Pouvez-vous préciser en quoi la stimulation du claustrum a modifié l'état de conscience de cette patiente épileptique ? Un des signes majeurs d’une crise d’épilepsie, c’est l’altération de la conscience. À l’inverse, il y a une conscience-expérience ; c’est la façon dont on est conscient d’interagir avec le monde extérieur et avec soi même. En stimulant cette zone, ils ont obtenu un arrêt de cette conscience-expérience" Je ne suis pas pour qu’on appelle cela comme ça.

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