background preloader

Dfe34

Facebook Twitter

La créativité comme thérapie. La créativité fait partie de la vie.

La créativité comme thérapie

Dès qu'il y a un problème à résoudre, on a l'occasion de faire preuve de créativité. Comme outil thérapeutique ou de croissance personnelle, la créativité peut être un moyen efficace pour explorer de nouvelles facettes de soi ou pour affronter une période critique de sa vie. L'art-thérapie est une des approches « créatives » les plus connues. Elle utilise le langage visuel au lieu du langage verbal comme mode d'expression et pour prendre contact avec son intériorité. Enseignée à l’université jusqu’à la maîtrise et basée sur les principes de la psychologie et de l'art, cette méthode permet d'établir un lien avec l'inconscient et de se libérer d'émotions et d'expériences difficiles à verbaliser. D'autres techniques artistiques utilisent la créativité à des fins thérapeutiques. Sortir du cadre Dans sa plus simple expression, on pourrait dire que la créativité est l'aptitude à concevoir la réalité autrement.

Tout le monde est créatif. Art-thérapie : interview d'Angela Evers. Musique: la fréquence bien être. L’OMS étudie le lien entre les arts et la santé. Copenhague, Helsinki, 11 novembre 2019 L’art peut être bénéfique pour la santé, tant physique que mentale.

L’OMS étudie le lien entre les arts et la santé

C’est l’une des principales conclusions d’un nouveau rapport du Bureau régional de l’OMS pour l’Europe, qui analyse les éléments de preuve tirés de plus de 900 publications du monde entier. Il s’agit, à ce jour, de l’étude la plus complète de bases factuelles sur les arts et la santé. « Faire entrer l’art dans la vie de quelqu’un par le biais d’activités telles que la danse, le chant ou la fréquentation de musées et de concerts nous donne une clé supplémentaire pour améliorer notre santé physique et mentale », déclare le docteur Piroska Östlin, directrice régionale de l’OMS pour l’Europe par intérim. « Les exemples cités dans ce rapport inédit montrent comment les arts permettent de gérer des problèmes de santé pénibles ou complexes comme le diabète, l’obésité ou la mauvaise santé mentale.

Traiter les troubles psychiatriques et de toxicomanie par l’art. Les recherches sont menées conjointement par l'UQAM, le MBAM et des spécialistes du milieu hospitalier de Montréal (Crédit Sean Kimmons Courtoisie USAF) Des chercheurs de l’UQAM mènent une étude concernant la répercussion des activités artistiques sur la santé mentale.

Traiter les troubles psychiatriques et de toxicomanie par l’art

Les résultats préliminaires indiquent que l’art semble contribuer au rétablissement et à l’inclusion sociale de personnes marginalisées. Le 9 novembre dernier s’est tenu le symposium Art, santé et mieux-être au Musée des beaux-arts de Montréal (MBAM). Expression de soi. L’art qui guérit – Éric Bolduc XYZ. Une autre forme d’art-thérapie La Fondation de l’art pour la guérison aurait installé, depuis 2002, pas moins de 9000 œuvres d’art dans 71 institutions médicales à travers le Canada.

L’art qui guérit – Éric Bolduc XYZ

Ses fondateurs, les hommes d’affaires Earl Pinchuk et Gary Blair, ont eu l’idée d’habiller les murs des hôpitaux, après avoir passé du temps au chevet d’un ami malade qui se faisait soigner dans un environnement morne et triste. AvantGarde » Quand le beau soigne les maux. Faire entrer le Louvre à l’hôpital.

AvantGarde » Quand le beau soigne les maux

C’est l’expérience menée par le premier musée du monde et les Hôpitaux de Paris. Le principe : installer une cinquantaine de copies, toiles ou sculptures, dans les chambres des patients pour stimuler et susciter la discussion. Un premier test a commencé dans un établissement gériatrique d’Ivry avant de s’étendre à d’autres structures du groupe AP-HP. Le Louvre mène depuis plusieurs années des actions en faveur des publics dits « empêchés » : prisonniers, personnes handicapés et /ou hospitalisées pour leur permettre d’avoir accès aux trésors du musée. Le 13 novembre dernier, un partenariat a été signé entre le Louvre et l’Assistance Publique-Hôpitaux de Paris.

Première structure à bénéficier de ce dispositif : l’établissement gériatrique Charles-Foix à Ivry. Source : CultureboxEn savoir plus.