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Journalistes sous pression(s)

Journalistes sous pression(s)
Les métiers et les genres du journalisme sont si divers que tout diagnostic global est menacé de simplification abusive, du moins si un tel diagnostic ne se borne pas à identifier les tendances les plus lourdes et à les présenter comme telles, en soulignant d’emblée qu’elles ne vont pas sans contre-tendances ni exceptions. De même, les pressions qui s’exercent sur les journalistes et sur leurs pratiques émanent de sources si différentes, dépendent de causes et produisent des effets si variés qu’on ne se focalisera ici que sur certaines d’entre elles. Emprises, dépendances Les formes les plus visibles de l’emprise des pouvoirs politique et économique sur les médias et les journalistes sont connues. Mais les censures les plus manifestes et les pressions les plus contraignantes qui peuvent s’exercer sur des journalistes plus ou moins isolés et parfois jaloux de préserver cet isolement, rebaptisé « indépendance », ne sont pas l’essentiel. Concentration, financiarisation Henri Maler Related:  La liberté de la presse, d'expression et d'internetcensure

EXCLUSIVITÉ DU CLAN DES VÉNITIENS ! UN JOURNAL ALGÉRIEN SORT LES ÉCHANGES ENTRE MERAH ET SON NÉGOCIATEUR ! (on conseille au journal de rendre publiques les bandes pour que chacun puisse s'assurer de leur contenu et de leur véracité). Transcription inédite des deux bandes fournies par l'avocate de Mohammed Merah. 1° La première bande : entre Mohammed Merah et un certain "Jossier," (Jussayer ?) capitaine dans le Renseignement français.... La bande débute avec une image de l'intérieur de la maison de Merah, avec des échanges de tirs très fournis, qui ont duré environs quatre minutes. Il portait des vêtements maculés de sang, notamment sur son épaule gauche. L'appelant : Allô, Mohammed, sors et rends-toi, personne ne te fera de mal, tu me connais et tu connais ma parole... Mohammed : Va au diable espèce de traitre, pourquoi vous voulez me tuer aujourd'hui qu'ai-je fais ? L'appelant : Ca ne te servira à rien de rester longtemps ici, si tu ne m'écoutes pas, je ne pourrais plus gérer la situation demain et je ne pourrais plus t'aider, Alexandra mon chef a ton dossier et il promet qu'il sera avec toi jusqu'à la fin ! Mohammed : Espèce de traître... Le téléphone sonne une fois encore, c'est une musique "jihadiste".

Déclarations des droits de l’homme : liberté de pensée et d’opinion Rédigées au moment de la Révolution française pour l’une et après la Seconde guerre mondiale pour l’autre, rappel sur ce que disent ces deux déclarations des droits de l’homme en matière de liberté de pensée et d’opinion. Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 Article 11 « La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi. » Déclaration universelle des droit de l’homme de 1948 Article 18 « Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion ; ce droit implique la liberté de changer de religion ou de conviction ainsi que la liberté de manifester sa religion ou sa conviction seule ou en commun, tant en public qu’en privé, par l’enseignement, les pratiques, le culte et l’accomplissement des rites. »

Liberté de la presse : « En France, nous n'avons ni la qualité des textes, ni les bonnes pratiques Explications avec Antoine Héry, responsable du classement de Reporters sans frontières sur la liberté de la presse. Terra eco : Votre classement 2014 sur la liberté de la presse, publié évidemment bien avant l’attentat contre Charlie Hebdo, place la France en 39e position mondiale. Comment justifiez-vous cette place ? Antoine Héry : Cela s’explique par un problème de structure du champ éco-médiatique et par le manque d’indépendance des rédactions vis-à-vis des annonceurs et des patrons de presse. Le fait que le secret des sources puisse être violé par des magistrats est aussi un point d’accrochage. Cette question de la législation cristallise une autre problématique : celle du respect de la fonction sociale du journaliste, une fonction qui a tendance à être malmenée en France. Est-ce notamment le cas des trois pays en tête de votre classement : la Finlande, les Pays-Bas et la Norvège ? Oui. Les choses se sont-elles aggravées, améliorées avec le temps ? A autoréguler les médias.

Les chats écrasés J’ai remarqué un truc. Quand je lis un article de journal qui parle d’un sujet que je connais bien, souvent j’y trouve plein d’erreurs. Vous avez peut-être eu la même expérience dans votre domaine d’expertise ? Des citoyens révoltés (4/4) - La désobéissance numérique Dernière étape de notre semaine placée sous le thème de la mobilisation citoyenne. Ce matin, c'est d'une forme de mobilisation dont on a observé l'émergence au moment de l'avènement du "web 2.0": du militantisme "en ligne" au "cyber-activisme". Dernière étape de ce parcours parmi les révoltes citoyennes, lundi le passage au plan institutionnel et parlementaire – Florian Delorme évoquait Syriza, mardi elle se construisait à travers l'écologie, hier elle était traversée par des courants identitaires plus ou moins violents... Et pour finir, la révolte des citoyens est aussi celle des usagers : les usagers d'internet et leur méthodes que nous avons intitulée « la désobéissance numérique ». Une fois n'est pas coutume un détour par la France... Adieu, donc ceux qu'on appelle depuis Wikileaks les « lanceurs d'alerte », réduits au silence par un secret des affaires étendu ? Ils ne s'appellent pas Syriza, Podemos, Pegida, ni Zadistes...

Dix façons de faire taire un ou une journaliste Andrzej Poczobut - journalist au Bélarus. © Chryscina Marchuk Les gouvernements et d'autres organisations à travers le monde perfectionnent les techniques destinées à empêcher les journalistes de faire la lumière sur la corruption et les violations des droits humains. Fausses accusations, retrait du permis de travail, assassinats, etc., voici 10 façons de faire taire un ou une journaliste. Les attaques physiques En mai 2012, un sniper a tué Abd al Ghani Kaake, un journaliste âgé de 18 ans. © Privée Dans certains pays comme la Syrie, le Turkménistan et la Somalie, les gouvernements, les forces militaires et les groupes armés attaquent, voire tuent, des journalistes critiques à l'égard de leurs politiques et pratiques. Au mois de novembre dernier, le cameraman Hussam Salameh et le journaliste Mahmoud al Koumi, deux Palestiniens de la chaîne de télévisionAl Aqsa TV (affiliée au Hamas), ont été tués par un tir de missile israélien visant leur voiture dans la ville de Gaza. Le harcèlement

Propagande : Un enfant syrien qui aurait perdu ses mains demande l’aide du Koweit Vidéo datant de Juin 2012 provenant de la chaine de télévision koweitienne Al WATAN TV et publiée et sous-titrée par SyrieLibre2012 commentant la vidéo ainsi: "Voici le témoignage très touchant d’un enfant qui a perdu plusieurs de ses membres. C’est avec un léger petit sourire aux coins des lèvres qu’il nous dit être malgré tout heureux et surtout reconnaissant, conscient que d’autres ont connu pire épreuve. Une grande leçon de courage et de maturité pour tous.. Les syriens ont besoin de vous ! Il est possible d’activer les sous-titrages en français. Dans cette vidéo, il faut noter que l’enfant en question à des avants-bras assez long pour quelqu’un dont les mains ont été coupées. Like this: J'aime chargement… Catégories:Koweit, Propagande, Qatar, Syrie, Terrorisme Tags:aavs, Koweït, Propagande, Qatar, Syrie

La défense de la liberté d'expression, au cœur du concept de société libre Via un blog hébergé par le Huffington Post britannique, Paulo Casaca, politique portugais mais également auteur de divers ouvrages touchant à des questions économiques et sociales, a évoqué le sujet de la liberté d'expression. Selon lui, l'avenir de l'Europe dépendra notamment de la manière dont elle défendra ce droit fondamental. Il estime que l'expression d'opinions critiques, et autres caricatures, est au cœur de notre concept de société libre. Photo via sa page officielle Paulo Casaca rappelle que l'ayatollah Khomeini a décrété sa fatwa sur l'écrivain Salman Rushdie le 14 février 1989, et que, depuis, outre les atteintes à sa propre vie, les éditeurs de ses œuvres à travers le monde sont également pris pour cibles et parfois assassinés. Or, le politique soutient que ces législations abusives contre la libre opinion ont couvert des crimes massifs contre l'humanité, que ce soit chez Khomeini ou ailleurs.

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