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Numérique - Article - Google Maps versus OpenStreetMap : redistribution des cartes sur le Web ?

Numérique - Article - Google Maps versus OpenStreetMap : redistribution des cartes sur le Web ?
Muki HAKLAY, Alex SINGLETON, Chris PARKER « Web Mapping 2.0: The Neogeography of the GeoWeb » Geography Compass, Vol. 2 n°6, 2008, pp. 2011-2039. Rich GIBSON, Schuyler ERLE, Google Maps Hacks. Tips and tools for geographic searching and remixing, O’Reilly, 2006. Jeff JARVIS, What would Google do ? Clay SHIRKY Here comes everybody. Gilles PALSKY Des chiffres et des cartes. Yann MOULIER BOUTANG Le capitalisme cognitif. Bernhard RIEDER « Entre marché et communauté : une discussion de la culture participative à l’exemple de Google Maps », conférence Ludovia 2008 : « Do it yourself 2.0 », France, 2008. Arno SCHARL « Towards the Geospatial Web : Media platforms for Managing Geotagged Knowledge Repositories » In : Arno SCHARL, Klaus TOCHTERMANN (dir.) : The Geospatial Web. Nama Raj BUDHATHOKI, Muki HAKLAY, Zorica NEDOVIC-BUDIC « Who are the Mappers and Why do they map in OpenStreetMap? Related:  Néogéographie

Créer une carte personnalisée avec Google Maps Engine Lite Beaucoup d’internautes utilisent Google Maps pour rechercher une localité, voyager virtuellement avec Streetview, naviguer en voiture, à vélo ou à pied, ou encore s’informer des conditions de circulations. Le service permet également de créer des cartes, collaboratives ou non, publiques ou privées. Malheureusement, cette fonctionnalité est assez limitée : il n’est par exemple pas possible de personnaliser les marqueurs, on peut simplement en apposer tracer des lignes qui suivent ou non les routes et dessiner des formes. Afin de réaliser des cartes plus en détails, Google propose désormais d’utiliser un nouvel outil, Google Maps Engine Lite. Si vous avez déjà créé une carte avec Google Maps, vous ne serez pas perdu : le service fonctionne plus ou moins de la même manière. La personnalisation des repères Fini les points rouges ou bleu, vous allez pouvoir personnaliser entièrement les repères de votre carte. Le style de la carte L’import de données externes La gestion des calques

Dessiner le monde (4/4) - Les cartes 2.0 C’était des contributeurs au projet OpenStreetMap dont il va largement être question aujourd’hui des gens comme vous et moi qui, quand ils se promènent, font aussi des relevés: un banc, un pont, une piste cyclable. Ils relèvent des données, et les inscrivent sur un site internet: ils participent ainsi à ce qu’on pourrait à l’inventaire du monde en quelque sorte. Un exemple spectaculaire de ce que le numérique a apporté à l’activité cartographique. Et pourtant il y a encore des zones du monde peu ou pas cartographiées, ou alors des zones om l’accès à la carte n’est pas facile, ou pas gratuit. Comment le numérique et ses outils ont-ils changé l’activité cartographique?

Maps et Earth pour les entreprises Comment fonctionne Google Maps Engine ? Google Maps Engine est à la fois une plate-forme et un service qui vous permet de publier vos données cartographiques. Cette solution est hébergée sur les infrastructures de cloud computing Google évolutives et utilise les mêmes services de rendu d'images et de fonds de plan compatibles avec Google Maps et Google Earth. Comment les données sont-elles importées dans Google Maps Engine ? Vous pouvez importer vos images et vos données géospatiales dans ces formats directement dans Google Maps Engine. Comment puis-je contrôler le partage des cartes et l'accès à celles-ci ? Vous pouvez, à l'aide d'une application compatible, définir l'accès à Google Maps Engine de sorte que certains utilisateurs puissent importer des données cartographiques et que les utilisateurs finaux soient autorisés à consulter les cartes publiées. Est-il possible d'accéder au service Google Maps Engine via une API ? Mes données sont-elles sécurisées ?

L'Agence des Usages La néogéographie désigne les usages amateurs de la cartographie numérique, notamment des globes virtuels. Les études à ce sujet, pour la plupart récentes, permettent d’en cerner les différents usages pédagogiques possibles, en particulier la géovisualisation. L’impact de ces usages sur les apprentissages des élèves demeure toutefois un champ de recherche largement ouvert. Le terme de néogéographie désigne l'usage amateur de la cartographie via des outils en ligne. Il est utilisé depuis les années 1920 (le mot désignant alors un nouveau champ d'investigation géographique dans le domaine géologique), mais sa définition actuelle est apparue au milieu des années 2000. L'emploi du terme néogéographie est à mettre en parallèle avec l'apparition, vers 2005, des « globes virtuels », représentations 2D puis 3D du globe terrestre. Enquêtes sur l'usage des globes virtuels Néogéographie et apprentissages Des compétences de lecture de l'espace à prendre en compte Conclusions Recommandations

Earth Actions publiques With Google Maps Engine, you can upload geographic data in many different file formats. Supported vector formats include ESRI shapefiles, comma-separated files (.csv), and KML files. Supported image formats include JPEG2000, GeoTIFF, JPEG, TIFF, and MrSID. This tutorial will guide you through how to import geographic data into Google Maps Engine. All datasets must either be in geographic (latitude, longitude) coordinate system with the datum WGS 1984, or have a projection file (.prj), or some other type of associated location file, associated with them. In this tutorial, we will upload two datasets: a vector shapefile of San Francisco Baylands in California (provided by the San Francisco Estuary Institute), and two digital topographic maps of the San Francisco Bay Area (available from the Cal-Atlas Geospatial Center). Prerequisites Absolutely no programming skills needed! Let's Get Started! Now you're ready to upload data to Google Maps Engine! Add Attributions Click the Save button.

À quoi sert la néogéographie (Partie 3 : réagir) « Géographie 2.0 À quoi sert la néogéographie (Partie 3 : réagir) La libéralisation des représentations de notre planète additionnée à la multiplication des services de cartographie transforment petit à petit l’univers de la cartographie en un média ultra réactif. Alors que durant des centaines d’années le délai de production d’une carte était long et complexe, aujourd’hui quelques minutes suffisent à créer, diffuser, partager ou améliorer une représentation graphique de l’espace. Cette dynamique inédite pour le monde de la cartographie s’illustre pleinement lors d’événements extraordinaires le plus souvent à caractères catastrophiques. Ainsi il aura fallu seulement quelques heures pour voir apparaître différentes cartes relatives au crash du vol Rio – Paris AF-447. Capture d’écran de Google Maps, Palais présidentiel Port-au-Prince, 24h après le tremblement de terre Mais le phénomène le plus notable de réactivité est à mettre au profit du service OpenStreetMap[1]. WordPress: J'aime chargement…

Exemples Dans cette partie du site, vous trouverez quelques exemples d'utilisation de Google Earth dans le domaine de l'Histoire des Arts. Le New York d'Edward Hopper Une promenade urbaine à l'occasion de l'exposition qui se tient à l'automne 2012 au Grand Palais, à Paris. Ce parcours met en correspondance 7 tableaux peints par l'artiste avec les lieux qui l'ont inspiré, la plupart se situant à proximité de son atelier et domicile de Greenwich Village où il habita de 1913 à sa mort en 1967. L'utilisation de Street View permet de voir différents types de paysages urbains : ponts métalliques, immeubles brownstone, petits commerces... Cliquer sur l' image pour l'exercice, sur le logo GE pour le corrigé (qui s'ouvrent avec Google Earth) et sur la fiche de travail Un dossier pédagogique sur l'ensemble de l'exposition est disponible sur le site de la Réunion des Musées Nationaux. Ce parcours est inspiré de l'exposition qui s'est tenue au printemps 2010 au musée des Impressionnismes de Giverny.

À quoi sert la néogéographie (Partie 1 : Annoter et géolocaliser) « Géographie 2.0 À quoi sert la néogéographie (Partie 1 : Annoter et géolocaliser) L’activité la plus populaire et la plus répandue est sans doute la géolocalisation et l’annotation de lieux. Ces deux termes regroupent et symbolisent la majorité des pratiques de l’univers de la néogéographie. Ce sont à la fois les randonneurs qui tracent leur parcours par GPS pour ensuite les partager sur une plateforme web, ou bien les clients d’un restaurant qui partagent leurs impressions sur un service web depuis leur table. Ces services qui se déclinent en version mobile sont devenu la hantise des guides touristiques historiques. Ce n’est plus un professionnel qui annote un lieu mais bien une communauté d’utilisateur qui plus est, le fait instantanément et gratuitement. On comprend bien que la clé pour les prestataires de services c’est d’atteindre une masse critique d’utilisateur ou « communauté », afin de rendre opérationnel le système et de pourquoi pas monnayer les pratiques de l’espace aux annonceurs.

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