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Droits des patients en fin de vie : La loi leonetti, faisons le point...

Droits des patients en fin de vie : La loi leonetti, faisons le point...
Introduction « Ne sais-tu pas que la source de toutes les misères pour l’homme ce n’est pas la mort, mais la crainte de la mort ? » Epictète (50 – 125 après J. La réflexion contemporaine conduit fréquemment sur l’antagonisme entre le désir individuel de liberté admis comme légitime et les exigences de la collectivité. Il est tout de même incroyable que toutes les fois où un fait de société similaire se présente le débat se limite à une question binaire, « Oui ou non pour la légalisation de l’euthanasie ? Ce débat pour le moins stérile occulte complètement l’ensemble des travaux et rapports d’une grande qualité et richesse remis au ministère au cours des années 2004 à 2005 : Rapport de Marie de Hennezel « Fin de vie et accompagnement » Octobre 2003 ; La Conférences de consensus « L’accompagnement des personnes en fin de vie et de leurs proches » ; janvier 2004 ; Rapport Léonetti « L’accompagnement en fin de vie » Tome I et II juin 2004. L’interdiction de toute obstination déraisonnable Related:  Droits du patient

Elisabeth Kübler-Ross Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Elisabeth Kübler-Ross, née le 8 juillet 1926 à Zurich en Suisse et morte le 24 août 2004 aux États-Unis, est une psychiatre et une psychologue helvético-américaine, pionnière de l'approche des « soins palliatifs » pour les personnes en fin de vie. Elle est connue pour sa théorisation des différents stades émotionnels par lesquels passe une personne qui apprend sa mort prochaine. Elle s'est intéressée également aux expériences de mort imminente. Biographie[modifier | modifier le code] Elisabeth naît le 8 juillet 1926 à Zurich. En 1942, désirant devenir médecin, elle travaille dans la clinique du docteur Karl Zehnder[2]. En 1951, elle passe l'équivalent du bac et est reçue à l'Université de Zurich et reçoit son diplôme en 1957, se marie avec Emanuel Ross[2] et se rend aux États-Unis[3]. Elle obtient son titre de psychiatre en 1963 à l'Université du Colorado[4]. Stades de la mort annoncée[modifier | modifier le code]

2005-370 du 22 avril 2005 relative aux droits des malades et à la fin de vie Article 1 A modifié les dispositions suivantes : Article 2 Article 3 Article 4 Article 5 Article 6 Article 7 Article 8 Article 9 Article 10 Article 11 Article 12 Article 13 Article 14 En application du 7° de l'article 51 de la loi organique n° 2001-692 du 1er août 2001 relative aux lois de finances, une annexe générale jointe au projet de loi de finances de l'année présente tous les deux ans la politique suivie en matière de soins palliatifs et d'accompagnement à domicile, dans les établissements de santé et dans les établissements médico-sociaux. Par le Président de la République : Jacques Chirac Le Premier ministre, Jean-Pierre Raffarin Le ministre des solidarités, de la santé et de la famille, Philippe Douste-Blazy Le garde des sceaux, ministre de la justice, Dominique Perben Le ministre de l'économie, des finances et de l'industrie, Thierry Breton Le ministre délégué au budget et à la réforme budgétaire, porte-parole du Gouvernement, Jean-François Copé (1) Travaux préparatoires : loi n° 2005-370.

Droits des malades et fin de vie Objet du texte Intervenant sur un sujet sensible, notamment du fait de l'évolution des moeurs, le projet de loi apporte plusieurs modifications au droit des malades.D'abord, pour tous les malades, y compris ceux qui ne sont pas en fin de vie, la proposition de loi affirme pour la première fois l'interdiction de l'obstination déraisonnable. L'objectif est d'autoriser la suspension d'un traitement ou de ne pas l'entreprendre, si ses résultats escomptés sont inopportuns, c'est-à-dire inutiles, disproportionnés ou se limitant à permettre la survie artificielle du malade. Deux articles - les articles 4 et 5 - concernent précisément le cas du malade qui n'est pas en fin de vie.

Définition des soins palliatifs et de l'accompagnement Le texte qui suit constitue la charte des soins palliatifs et de l’accompagnement ; il figure dans le préambule des statuts de la SFAP Qu’appelle-t-on soins palliatifs et accompagnement ? Les soins palliatifs sont des soins actifs délivrés dans une approche globale de la personne atteinte d'une maladie grave, évolutive ou terminale. Les soins palliatifs et l'accompagnement sont interdisciplinaires. A quelles conceptions éthiques se réfèrent les soins palliatifs et l’accompagnement ? Les soins palliatifs et l'accompagnement considèrent le malade comme un être vivant, et la mort comme un processus naturel. Se faire soigner à l’hôpital : Selon le souhait du patient et la capacité de l’entourage, la prise en charge en soins palliatifs s’effectue en institution ou au domicile et lieu de vie (maison de retraite, long séjour). Les Unités de Soins Palliatifs (USP) sont des structures d’hospitalisation d’environ 10 lits accueillant pour une durée limitée les patients en soins palliatifs.

La loi de bioéthique Mis à jour le : 16.10.12 La loi qui révise pour la troisième fois la bioéthique a été promulguée le 7 juillet 2011. Le vote de ce texte a été précédé par de nombreux débats et travaux d’évaluation : états généraux organisés en 2009, rapports et avis de l’Agence de la biomédecine, du comité consultatif national d’éthique, de l’office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques, du Conseil d’Etat et de la mission parlementaire sur la révision de la loi de bioéthique. Dans ce cadre nous avons demandé à Laurence Lwoff, secrétaire du Comité de Bioéthique du Conseil de l’Europe, personnalité « extérieure » à l’Agence de nous donner sa vision, plus large, plus internationale, du principe même de cette loi. Le 7 juillet 2011, la loi n° 2011-814 relative à la bioéthique a été promulguée. L’adoption de cette loi s’inscrit dans la continuité des initiatives prises par la France dans ce domaine dès le début des années 80.

Euthanasie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. À l'origine, l'euthanasie (grec ancien : ευθανασία : ευ, « bonne », θανατος, « mort ») désigne le fait d'avoir une mort douce, que cette mort soit naturelle ou provoquée[1]. Dans une acception plus contemporaine et plus restreinte[2], l'euthanasie est décrite comme une pratique (action ou omission) visant à provoquer — particulièrement par un médecin ou sous son contrôle[3] — le décès d'un individu atteint d'une maladie incurable qui lui inflige des souffrances morales et/ou physiques intolérables. Sa pratique relevant à la fois des domaines philosophiques, éthiques et légaux, son contenu exact et son acceptation sont générateurs de puissantes controverses, divisions et débats d'idées. Définitions actuelles[modifier | modifier le code] Accompagnement et accélération de la fin de vie[modifier | modifier le code] Suivant les pays, certaines pratiques sont acceptées par la législation, d'autres non. Typologie[modifier | modifier le code]

Acharnement thérapeutique Le consentement éclairé du patient aux soins qu'on lui donne est l'un des principes majeurs de la déontologie médicale, un principe de plus en plus fortement ancré dans les mentalités depuis que l'autonomie personnelle est promue. Fini le temps où l'on s'abandonnait dans les bras de la médecine sans demander d'explications et encore moins prétendre donner son avis. Paradoxe d’une médecine de plus en plus technique - certains diront incompréhensible - et de praticiens de plus en plus spécialisés - certains diront inhumains - qui doivent prendre en compte la volonté de ceux qu'ils soignent . Car une personne a parfaitement le droit de refuser un traitement. D'abord, il s'agit d'expliquer en vérité et non pas de manipuler en exerçant la puissance de son savoir et de sa bonne santé.

Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l'homme: UNESCO La Conférence générale, Consciente de la capacité propre aux êtres humains de réfléchir à leur existence et à leur environnement, de ressentir l’injustice, d’éviter le danger, d’assumer des responsabilités, de rechercher la coopération et de faire montre d’un sens moral qui donne expression à des principes éthiques, Considérant les progrès rapides des sciences et des technologies, qui influencent de plus en plus l’idée que nous avons de la vie et la vie elle-même, et suscitent donc une forte demande de réponse universelle à leurs enjeux éthiques, Reconnaissant que les questions éthiques que posent les progrès rapides des sciences et leurs applications technologiques devraient être examinées compte dûment tenu de la dignité de la personne humaine et du respect universel et effectif des droits de l’homme et des libertés fondamentales, Rappelant l’Acte constitutif de l’UNESCO adopté le 16 novembre 1945, Proclame les principes qui suivent et adopte la présente Déclaration. Dispositions générales

Soins Palliatifs USP EMSP : Les gratte-culs doivent écouter bien plus que récurer. L'humour ne fait pas de mal - Le blog de cathyneves.over-blog.com L’AMP possède des compétences incroyablement nécessaires dans une Unité de Soins Palliatifs. Les Cliniques qui recrutent des AMP, ne se trompent pas. Mais alors, me direz-vous, plus médicalisé.........tu meurs ! Désolé pour l’humour à deux sous, c’est plus fort que moi. L'humour ne fait pas de mal, et je dois dire, devait, à l’origine, être la règle sur mon blog....mais, L'humour étant un Art pas simple à manier, c'est à regret que je m'auto-restreins USP : Unité de Soins Palliatifs, qu’est ce que c’est ? Les soins palliatifs sont des soins actifs dans une approche globale de la personne atteinte d’une maladie grave évolutive ou terminale. Quel objectif ? Soulager les douleurs physiques ainsi que les autres symptômes et prendre en compte la souffrance psychologique, sociale et spirituelle. Que la personne demeure à son domicile ou en institution, l’accompagnement est interdisciplinaire. EMSP : Equipes Mobiles de Soins Palliatifs qu’est ce que c’est ? Mais aussi, Celle me faisait rire au possible.

La collection éditoriale - Les guides - Guides et fiches pratiques - Vos droits - Espace droits des usagers La charte de la personne hospitalisée constitue une actualisation de la charte du patient hospitalisé de 1995, rendue nécessaire par l’évolution des textes législatifs, notamment les lois du 4 mars 2002 relative aux droits des malades et à la qualité du système de santé, du 6 août 2004 relative à la bioéthique, du 9 août 2004 relative à la politique de santé publique et du 22 avril 2005 relative aux droits des malades et à la fin de vie. Parmi les dispositions nouvelles les plus marquantes prises en compte par la charte, on peut retenir : le droit, pour la personne, d’accéder directement aux informations de santé la concernant, de refuser les traitements ou d’en demander l’interruption, de désigner une personne de confiance, de rédiger des directives anticipées pour faire connaître ses souhaits quant à sa fin de vie, etc. Un effort tout particulier a été porté sur l’accessibilité du document, tant pour les personnes étrangères que pour les personnes handicapées. Les documents

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