background preloader

Alcool, tabac, cannabis : l'initiation débute au collège

Alcool, tabac, cannabis : l'initiation débute au collège
S'il fallait choisir un moment pour parler de drogue à son enfant, l'entrée au collège serait sans doute le meilleur. C'est en effet entre la 6e et la 3e que la rencontre avec les produits psychoactifs les plus courants a lieu. Pendant ces années déterminantes, les enfants s'initient au tabac, au cannabis et connaissent leurs premières ivresses alcooliques. À l'entrée au lycée, certaines consommations régulières sont déjà ancrées, alors que les générations précédentes faisaient ces expériences plus tard. Mais ce premier contact n'a pas lieu au même moment selon le produit, comme le prouve le volet drogues de l'étude HBSC que publie l'Observatoire français des drogues et des toxicomanies. • Alcool: les ivresses augmentent fortement en 3e L'alcool est le seul produit psychoactif que les enfants découvrent en famille. • Le collège, lieu d'expérimentation du cannabis En 2010, un collégien sur dix déclare avoir consommé du cannabis. • La consommation de tabac bien ancrée à l'entrée au lycée Related:  La consommation et moi!

Addiction - tabac Au cours des dernières décennies, le progrès des connaissances neurobiologiques a permis d’aborder la question de l’addiction sous un angle inédit, à la lumière de connaissances nouvelles sur le cerveau et son fonctionnement. Cette évolution a conduit à mettre en avant un modèle médical de l’addiction, considérée comme une pathologie1. Ce modèle médical est né dans un contexte global de guerre contre les drogues, où l’influence américaine a été importante en particulier après la guerre du Vietnam. Il conduit à une révision des représentations et des valeurs généralement attachées aux drogues et à leurs usagers, devenus des « malades », et contribue notamment à lever pour une part la stigmatisation morale qui pèse sur les usagers de drogues souvent considérés, au mieux comme des asociaux manquant de volonté, au pire comme des criminels prêts à tout pour satisfaire leur passion hédonique. Plaisir et dépendance : d’emblée, le contact de l’Europe avec le tabac est ambivalent. Notes : 1. 2.

Addictions Dossier réalisé en collaboration avec Bertrand Nalpas, Directeur de recherche à l’Inserm et chargé de mission Addiction – Décembre 2014 Les addictions les plus répandues concernent le tabac (nicotine) et l’alcool. Viennent ensuite le cannabis et, loin derrière, les opiacés (héroïne, morphine), la cocaïne, les amphétamines et dérivés de synthèse. Il existe également des addictions liées à des activités (et non à des substances), comme les jeux d’argent, les jeux vidéo, le sexe ou encore les achats compulsifs. Des substances plus ou moins addictives souvent testées à l’adolescence Des dépendances peuvent survenir à tout moment de l’existence, mais la période de 15 à 25 ans est la plus propice à leur émergence. Certaines substances semblent avoir un pouvoir addictif supérieur à d’autres compte tenu de la proportion de personnes dépendantes parmi leurs consommateurs. Part des usagers développant une dépendance à la substance qu'ils consomment. Un diagnostic très normé Des conséquences délétères

Free Books for Your Kindle Your search term(s) must contain three or more characters in order to return any results. We will try to match ANY words in your search phrase, so searching for 'John Smith' would not only return books written by John Smith, but also books written by all other authors named John or with the last name Smith. The results will be sorted by relevance, so the 'John Smith' results should be at the top of the list. The following operators can be used to refine your search. + (plus sign) A leading plus sign indicates that this word must be present in each result that is returned. - (minus sign) A leading minus sign indicates that this word must not be present in any of the results that are returned. (no operator) If you do not specify either a + or a -, a word in your search query may or may not be matched (if you use more than one search term). * (asterisk) The asterisk can be used as a wildcard. " (double quote) Enclosing one or more words in "quotation marks" will search for an exact match.

Alcool et santé : bilan et perspectives Dossier réalisé en collaboration avec le Pr Mickaël Naassila, directeur de l’équipe Inserm ERI 24, "Groupe de recherche sur l'alcool & les pharmacodépendances" (GRAP) et Bertrand Nalpas, directeur de recherche à l’Inserm et chargé de la mission "Addiction" – mars 2016 © Fotolia La consommation d’alcool diminue régulièrement en France depuis une quarantaine d’années : elle a été divisée par deux entre 1960 et 2009. La consommation débute le plus souvent à l’adolescence, période durant laquelle la bière et les prémix (boissons alcoolisées, sucrées et aromatisées) sont les boissons les plus populaires. Une toxicité importante pour l’organisme La consommation d'alcool expose à de multiples risques pour la santé en fonction des quantités absorbées. Le foie, cible principale des effets de l’alcoolPlusieurs maladies hépatiques peuvent être provoquées par la consommation excessive d’alcool : stéatose (accumulation de lipides dans le foie), hépatite alcoolique, cirrhose. Alcool et cerveau

Addiction Biomédecine et neurosciences vs sciences humaines L'addiction en tant que concept médical C'est une invention assez récente. Sa définition ainsi que son objet ont fluctué au cours du XXe siècle : aux États-Unis, il a longtemps été réservé aux opiacés, avant de s'élargir dans les années 1980 et 1990 pour inclure la cocaïne et la nicotine, puis la marijuana, dans des contextes sociaux et politiques étudiés en détail par les historiens de la médecine et de l'addiction. Le consensus quant à son application au tabac est encore plus récent. En ce qui concerne les aspects proprement neurobiologiques, l'émergence de la science des effets cérébraux des substances psychoactives passe notamment par les travaux de Claude Bernard et ses Leçons sur les effets des substances toxiques et médicamenteuses, publiées en 1857, où il traite notamment du curare et de la nicotine. L'addiction selon les sciences humaines Critique culturaliste des théories de l'addiction, à propos du tabac Conclusion

VIDEO | La désintoxication numérique : bienfait ou intox ? Selon une étude réalisée par l’entreprise Nokia, une personne regarde en moyenne son téléphone portable toutes les six minutes, soit 1000 fois par semaine.En Grande-Bretagne, si l’on additionne le nombre d’heures passées quotidiennement par chaque individu sur les médias sociaux, on atteint le score de 62 millions d’heures.Quant aux enfants nés à partir de 2013, on estime qu’à l’âge de 7 ans, ils auront déjà passé l’équivalent d’une année devant les écrans ! Pour certains, cependant, le temps du dernier clic est venu. Des sites internet proposent aujourd’hui des cures de désintoxication numérique, ou “digital detox”. Pourtant, selon le psychiatre et psychanalyste Serge Tisseron, rien n’atteste de l’efficacité de ces programmes et il est difficile d’imaginer qu’une personne, une fois de retour chez elle dans son environnement habituel, parviendra à contrôler son utilisation des technologies numériques.

Guide sur les politiques des drogues 2e éditionAuteur : IDPC (International Drug Policy Consortium)Paru en mars 2012, mis en ligne le 1er novembre 2012 L’IDPC (International Drug Policy Consortium) a mis en ligne la deuxième version de son guide sur les politiques des drogues. Les responsables politiques nationaux engagés dans la politique des drogues travaillent dans un contexte d’incertitude. Le Guide sur les politiques des drogues de l’IDPC rassemble les données mondiales et les exemples de bonnes pratiques, afin de proposer des recommandations sur l’examen, la conception et la mise en oeuvre des politiques des drogues. >> Téléchargez le guide, 2e édition, en Français

INPES - Tabac - Le produit : Le produit : composition et effets sur l’organisme màj 22-09-2014 Anatomie d’une cigarette : que contient la fumée ? La cigarette, une « usine chimique » L’affiche « Autopsie d'un meurtrier » - Ligue nationale contre le cancer (2004) décline les différentes substances toxiques que produit la fumée d'une cigarette. Dès qu’on allume une cigarette, une véritable « usine chimique » se met en route. La fumée de tabac est un aérosol, c'est-à-dire un mélange de gaz et de particules. Voir la publication de l’Inserm : Composition chimique du tabac. Les effets des substances chimiques sur l’organisme Outre ses effets psychoactifs, la nicotine affecte également le système respiratoire et le système cardio-vasculaire. Les goudrons formés par la combustion du tabac sont responsables des cancers liés au tabagisme et ont aussi un effet nocif sur les tissus et les muqueuses. Le monoxyde de carbone est un gaz toxique formé par la combustion incomplète du carbone. Les additifs sont les substances ajoutées au tabac dans la cigarette par les industriels.

Related: