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LA LÉGENDE DORÉE

LA LÉGENDE DORÉE
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AUGUSTIN Augustin fut ainsi nommé, ou bien en raison de l’excellence, ale sa dignité, ou bien pour l’ardeur de son amour; ou bien par la signification étymologique de son nom. 1° L'excellence de sa dignité. De même qu'Auguste excellait sur tous les rois, de même Augustin excelle sur tous les docteurs, selon ce qu'en dit Remi. Daniel compare les autres docteurs a des étoiles quand il dit (XII) : « Ceux qui enseignent aux autres la voie de la justice luiront comme des étoiles dans toute l’éternité. » Mais saint Augustin est comparé au soleil dans l’épître qu'on chante en sa messe **. Il a lui dans le temple de Dieu comme un soleil éclatant de lumière. 2° L'ardeur de son amour. De même que le mois d'Auguste (août) est très chaud, de même saint Augustin brûla extraordinairement du feu de l’amour divin. Augustin, docteur éminent, naquit dans la province, d'Afrique, en la ville de Carthage, de parents fort distingués; son père s'appelait Patrice et sa mère Monique. d'une si grande tristesse.

French Emblems at Glasgow: Home Welcome to French Emblems at Glasgow. This website gives you access to all the French Emblem Books of the 16th century, along with their Latin versions when appropriate. While the seed of the emblem as a genre was sown in Germany in 1531, it flowered and developed in France during the 16th century, and it was from there that it spread throughout Europe. The site has been developed, with generous funding from the Arts and Humanities Research Council under the Resource Enhancement Scheme, by a team led by Post-Doctoral Research Assistant Jonathan Spangler, and Project Director Alison Adams. All but two of the emblem books digitised are from the Stirling Maxwell Collection in Glasgow University Library. The Project is undertaken within the OpenEmblem initiative There are 27 browsable emblem books, in both transcribed and facsimile versions, and extensive search functionality. Contents: Navigation and Searching: Full instructions about how to explore the site can be found here. Project Staff:

Augustin d'Hippone Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Augustin d’Hippone Antiquité tardive Augustin vu par Botticelli à Ognissanti (vers 1480) Augustin d’Hippone (latin : Aurelius Augustinus), ou saint Augustin, né dans le municipe de Thagaste (actuelle Souk Ahras, Algérie) le et mort le à Hippone (actuelle Annaba, Algérie) est un philosophe et théologien d'origine berbère. Sa culture et sa formation sont profondément romaines même si ses écrits laissent apparaître une sensibilité et des traits liés à sa région de naissance. Il est, à la suite d'Ambroise de Milan, le principal penseur qui permet au christianisme d'intégrer une partie de l'héritage grec et romain, en généralisant une lecture allégorique des Écritures liée au néoplatonisme. Dans sa théologie, le poids du péché et de l'habitude du péché est tel que sans la grâce divine l'homme ne peut pas se sauver : c'est le sens de la lutte contre le pélagianisme, qui soutient l'inverse. Biographie[modifier | modifier le code]

Order of Emblems Alciato's Book of EmblemsThe Order of the Emblems This page gives you the subject divisions and titles used in the 16th and 17th centuries. We've added short descriptions of the images. For more detailed searches, you may look at the complete Latin text or English translation. The Order of the Emblems The emblems were first published in 1531 in an unauthorized edition; through several subsequent editions Alciato added to the collection and rearranged it. The Emblem Titles Praefatio / Preface Insignia Ducatus Mediolanensis / On the shield of the Duke of Milan [snake, infant] / 1 Mediolanum / Milan [building of Milan; pig recovered from the ground] / 2 Nunquam procrastinandum / One ought never to procrastinate [elk] / 3 Deus sive religio (God or religion) In Deo laetandum / One ought to delight in God [Ganymede] / 4 Sapientia humana, stultitia est apud Deum / Human wisdom is folly before the Lord [Cecrops] / 5 Ficta religio / False religion [Whore of Babylon] / 6 Fides (Faith) Prudentia (Prudence)

Saint Romain Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Histoire et tradition[modifier | modifier le code] Il ensemença ce désert et put bientôt vivre de ses récoltes. Il vécut là quelques années comme s'il était dans le désert égyptien de la Thébaïde. Pour leurs disciples, toujours plus nombreux, ils fondèrent vers 445 le monastère de Condat (Saint-Claude) et de Lauconne (aujourd’hui Saint-Lupicin), qu'ils gouvernèrent ensemble. Romain et Lupicin étaient deux frères dont les cheminements spirituels et le caractère étaient fort différents, mais bien complémentaires. Ce monastère devint plus tard un simple prieuré d'hommes dépendant de l'abbaye de Saint-Claude. Culte et tradition[modifier | modifier le code] Chapelle de Saint-Romain-de-Condat à Pratz On fête saint Romain avec saint Lupicin le 28 février et localement saint Lupicin seul le 21 mars[3]. Le lundi de Pentecôte, la chapelle de Saint-Romain est toujours le but d'un pèlerinage très populaire dans la région.

Attributs des saints Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les attributs des saints sont des caractéristiques figuratives des saints utilisées dans les représentations artistiques qui permettent de les identifier. Cette liste est très élémentaire : non seulement tous les attributs n'y figurent pas, mais encore ils peuvent, pour chacun d'eux, caractériser plusieurs saints. Il est parfois nécessaire de réunir plusieurs attributs pour identifier un saint : on se reportera à la rubrique attributs des articles encyclopédiques de chacun. A[modifier | modifier le code] B[modifier | modifier le code] C[modifier | modifier le code] D[modifier | modifier le code] E[modifier | modifier le code] F[modifier | modifier le code] G[modifier | modifier le code] Géant avec Jésus-Christ : ChristopheGlaive traversant le cou : Lucie - CécileGril : Laurent - Juliette H[modifier | modifier le code] I[modifier | modifier le code] J[modifier | modifier le code] K[modifier | modifier le code] L[modifier | modifier le code] Ecclesia.

Polycarpe de Smyrne Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Données biographiques[modifier | modifier le code] Polycarpe combattit de nombreuses sectes qu'il jugeait hérétiques, en particulier certains gnostiques et notamment Marcion. Il accueillit en sa ville de Smyrne l'évêque d'Antioche, Ignace, condamné ad bestias dans les arènes de Rome. Les deux évêques deviennent amis et Ignace d'Antioche lui écrit de Troas une lettre le remerciant de son accueil et lui demandant d'envoyer des missionnaires affermir sa communauté dans la foi chrétienne. C'est vraisemblablement grâce à Polycarpe que l'on a conservé le corpus des sept lettres d'Ignace, car il les fit circuler dans les communautés d'Asie mineure. Lorsqu'éclate la persécution commandée par l'empereur et philosophe Marc Aurèle, Polycarpe est très âgé. Dans sa Lettre à Florinus, Irénée de Lyon le reconnait comme étant celui dont il a reçu la foi ; de lui il a reçu la tradition johannique. Martyre de saint Polycarpe[modifier | modifier le code] V.

La Base DEVISE - Devise - CESCM - Université de Poitiers La base DEVISE est issue des recherches de thèse de Doctorat de Laurent Hablot, La devise, mise en signe du prince, mise en scène du pouvoir. Les devises et l’emblématique des princes en Europe à la fin du Moyen Age, soutenue en 2001 à l’Université de Poitiers sous la direction des professeurs Michel Pastoureau et Martin Aurell. Elle recense l’ensemble des devises répertoriées et étudiées à l’occasion de ce travail de recherche ainsi que les nombreuses informations ajoutées depuis plus de dix ans a ce corpus initial grâce à de nouvelles recherches et a de nombreuses et très fructueuses collaborations. La matière fournie par le corpus initial et les recherches de thèse ont donné lieu à une publication (en cours) aux éditions Brepols dans la collection Culture et société médiévale Cette base à pour ambition de rassembler l’ensemble des données relatives aux devises européennes de la fin du Moyen Age et de la première Renaissance (1350-1550). Remerciements : Bertrand Schnerb Colette Beaune

Les images de saint Yves, patron des gens de justice « le blog dalloz Ce jeudi 19 mai 2011, les juristes fêteront leur saint patron. Après avoir été un temps placé sous les auspices de saint Nicolas, le sort des gens de justice est désormais l’affaire de saint Yves, au moins depuis le XIIIe siècle (A. Damien, Saint Yves, patron des avocats, Gaz. Pal. 13 mai 1978, p. 216). La célébration qui lui est consacrée aujourd’hui fournit l’occasion d’un retour sur la vie de ce personnage important du Moyen-Âge et de quelques brèves remarques sur son iconographie, laquelle participe d’une certaine façon de la « mise en image » de la justice au cours des siècles. Tout d’abord, il convient de ne pas confondre. L’exercice par Yves de Tréguier de sa charge de magistrat fut exemplaire. Le culte, évidemment, passe par l’image. Ainsi, quand il n’est pas isolé, Yves de Tréguier est souvent représenté entre deux plaideurs, un riche, un pauvre (V. ci-dessus). Saint Yves peut aussi être représenté isolément. Ces quelques exemples n’ont assurément rien d’exhaustif.

Emblèmes 1911: L'entreprise Kaishinsha (voiture du futur) est créée à Tokyo par Masujiro Hashimoto, un Japonais ayant fait des études et travaillé aux États-Unis, soutenu par trois investisseurs, Kenjiro Den, Rokuro Aoyama et Meitaro Takeuchi. Elle se lance dans la fabrication d'automobiles. 1912: Le premier prototype est créé. Il prends le nom de DAT un acronyme formé avec les initiales des noms des sponsors. En japonais, DAT (prononcer 'datto') signifie 'bondissant en avant à la vitesse de la lumière'. 1914: La première automobile commercialisée sort des ateliers, la DAT1 qui possède un moteur V-2 d'une puissance de dix chevaux et qui peux atteindre la vitesse maximale de 32 km/h. La société est renommée Kawaishinsha Motor Car Co 1919: Kubota , un fabricant de tracteurs, forme une filiale pour construire des automobiles qu'il nomme Jitsuyo Jidosha Seizo, basée à Osaka. 1921: Jitsuyo lance la Lila, une petite voiture traditionnelle de 1,2 litre de cylindrée.

Franz Stock Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'abbé Franz Stock L'abbé Franz Stock, né le à Neheim (de) (Arnsberg) en Allemagne, mort à Paris le , est un prêtre catholique allemand. Il est notamment aumônier dans les prisons parisiennes durant la Seconde Guerre mondiale (il assiste les condamnés à mort) puis supérieur du « séminaire des barbelés » de Chartres. Son procès en béatification est ouvert par l'Église catholique en 2009. Biographie[modifier | modifier le code] Franz Stock est l’aîné de neuf enfants dans une famille ouvrière de Neheim. Il débute alors des études théologiques à l’académie philosophico-théologique de Paderborn. Il reçoit le sous-diaconat le . Le , il est ordonné prêtre par l’archevêque de Paderborn, Kaspar Klein. En août 1939, quelques jours avant le déclenchement de la guerre, il doit, sur l’ordre de l’ambassade, regagner précipitamment l’Allemagne. Aumônier pendant l'Occupation[modifier | modifier le code] Le séminaire des Barbelés[modifier | modifier le code]

Lorsque les initiales deviennent un signe: le monogramme De Treccani lire: monogramme s. m. (Du grec μόνος «seulement» et γράμμα «écriture») - Avec plus de lettres conjointes et connexion chevauchement entre eux, de manière à former un seul graphique. Donc le monogramme (souvent une combinaison des initiales d'un nom agrégées dans un cercle ou un carré) fait partie de ce monde qui est entre l'écriture et de l'image. Et vous savez déjà ce m'intrigano ces choses! Alors ne perdez pas de temps et nous allons voir maintenant tous les aspects. Avec l'avènement du christianisme se propager rapidement Monogramme du Christ formée en superposant les deux premières lettres (X = Qui et p= Rho) de la rubrique grec Christ (Ce est à dire l'Oint). Parfois accompagnée de signes un (alfa) et oméga (oméga) pour indiquer le début et la fin de toutes choses, le monogramme est né à écrire "code" le nom du Christ pendant la persécution des chrétiens. Répandue était aussi le contemporain Monogramme Théodoric, Est gravé sur les pièces sur les chapiteaux. ...

Comptoirs Modernes – Histoire du Commerce Comptoirs Modernes Histoire :En 1928 Léopold Gouloumès, qui dirige l’entreprise de gros Alimentation Rémoise à Reims, crée l’entreprise succursaliste alimentaire « Comptoirs Modernes » et est rejoint très vite par Guillaume Plassart, directeur des entrepôts du succursaliste brestois « Docks de l’Ouest ».La 1re succursale est ouverte au Mans en 1929. En 1933, 177 succursales sont implantées, essentiellement dans l’Ouest de la France.En 1943, les Comptoirs Modernes adhèrent à PARIDOC. En pleine reconstruction d’après guerre, l’expansion est de mise : deux libre-service de petite taille (50 et 80 m²) sont ouverts au Mans en 1948. Les entrepreneurs de départ sont rejoints par leurs fils Jean Plassart et Raymond Gouloumès. Jean Plassart , toujours en 1958, suit les stages MMM aux USA, organisés par Bernardo Trujillo pour le compte de la NCR. ~ 1973 : absorption du succursaliste parisien AMIOT ~ 1977 : absorption du succursaliste Economique de Rennes absorption du succursaliste Badin Defforey

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