background preloader

Édicule pour la station de métro Porte Dauphine

Édicule pour la station de métro Porte Dauphine
Hector Guimard, tout jeune architecte, accompagne le lancement de l’Art nouveau en France. Fortement influencé par le Belge Victor Horta, il rompt avec la tradition, utilise le fer et l’acier pour la structure des bâtiments et s’inspire de la nature. En 1889, il doit réaliser les entrées des stations du métro, le tout nouveau mode de transport parisien. La rencontre entre un homme et un transport Ce n’est pas à un inconnu que la Compagnie du chemin de fer parisien (CMP) récemment créée passe commande de bouches de métro originales : à 33 ans, Hector Guimard a déjà construit des immeubles à Paris et créé du mobilier (des meubles uniques) adapté aux espaces qu’il a conçus. Touche-à-tout de génie, Guimard est aussi un précurseur de la standardisation industrielle : il souhaite diffuser le nouvel art, aux antipodes des façades rectilignes des immeubles haussmanniens, à grande échelle. La libellule Ode à la nature Oublié et redécouvert Related:  Art nouveau

Un maître de l'art nouveau, Alphonse Mucha - 4 mars au 23 avril 1966 Le Monde - 11 mars 1966 Un maître de l'art nouveau : Alphonse Mucha L'art du Tchèque Alphonse Mucha (1860-1939), présenté en ce moment à Paris (Hôtel de Sens - 1, rue du Figuier 4ème, jusqu'au 23 avril - L'exposition a été réalisée par Mlle Andrée David, qui a rédigé les notices) recouvre les années 25 sans être ébranlé en rien par leurs problèmes. Il appartient à l'aspect de l' "Art Nouveau", qui a trouvé des solutions. C'est un artiste plein de certitudes comme Gaudi ou Guimard, mais dont l'originalité est de ne se fier qu'au décor en y mettant assez de ressources et d'animation pour que ce décor compte exclusivement. Les compositions sur tissus, des l'entrée de la présentation au rez-de-chaussée de l'Hôtel de Sens, frappent par une apparente répétition de la figure centrale, toujours féminine. L'univers des formes ne défile que dans l'environnement d'une silhouette centrale qui peut être Printemps ou Eté selon les fleurs qui s'enroulent autour d'elle. Exposition Alphonse Mucha

Sideboard | Godwin, Edward William Object Type This sideboard is stylish and dramatic, but it is also quite appropriate for use in a dining room. It is functional with drawers, adjustable shelves, and a rack fitted to take a large dish between the cupboards. The construction and finish are practical and hygenic, with hard surfaces and simple decoration, and the raised bottom shelf gives access for cleaning the floor. Materials & Making E.W. Godwin designed the first version of this sideboard in ebonised deal, a cheap wood, in 1867. Ownership & Use The original sideboard was designed by Godwin for the dining room of his London home in 1867. Physical description Sideboard, mahogany, ebonised with silver plated handles and inset panels of embossed leather paper. Place of Origin London, England (made) Date 1867-1870 (made) Artist/maker Edward William Godwin, born 1833 - died 1886 (designer) William Watt & Co. Materials and Techniques Mahogany, ebonised, with silver-plated handles and inset panels of embossed leather paper Dimensions

Chair | Mackmurdo, Arthur Heygate Object Type This is a dining chair, as suggested by its shape and practical leather upholstery, which is a copy of the original covering. The chair combines two completely different styles. While the legs and seat are both based on Georgian furniture of the 1780s, the serpentine design of the back is highly innovative. People A. Time Although it is not known exactly when this chair was designed, Mackmurdo used the same serpentine shapes on the title-page of his book Wren's City Churches, published in 1883. Physical description Chair, made of mahogany with green leather seat. Place of Origin London, England (probably, made) Date ca. 1883 (made) Artist/maker Arthur Heygate Mackmurdo, born 1851 - died 1942 (designer) Collinson & Lock (probably, maker) Materials and Techniques Mahogany, with inset mahogany fretwork panel painted on the front only; replacement upholstery Marks and inscriptions Monogram CG Dimensions Height: 97.2 cm, Height: 43.5 cm seat, Width: 48.5 cm, Depth: 47 cm Object history note

Aubrey Beardsley English draughtsman and writer. He was brought up in Brighton, in genteel poverty, by his mother. She gave her children an intensive education in music and books, and by the time he was sent to boarding-school at the age of seven Beardsley was exceptionally literate and something of a musical prodigy. He was also already infected with the tuberculosis that eventually killed him. Early in 1894 Beardsley was appointed art editor of the Yellow Book. It may be argued that Beardsley was the most significant figure to emerge in English art in the last decade of the 19th century. BibliographyJ. Aubrey Beardsley illustrations for Salome by Oscar Wilde English This portfolio contains unbound plates of the 16 designs used for the 1907 edition of Oscar Wilde’s Salomé by John Lane, plus an additional plate entitled ‘Salomé on Settle’, printed on Japanese vellum. It is fuller and more explicit than the censored versions of the drawings published in 1894. Who made these images? Aubrey Beardsley (1872–1898) was a fashionable young London illustrator, whose first commissions had been from the publisher J M Dent for a version of the medieval poet Malory’s Morte d’Arthur. How did he come to illustrate Wilde’s Salomé? When Salomé was first published in February 1893, the Pall Mall Budget magazine asked Beardsley for a drawing in response. In April, however an art publication, The Studio, ran it as part of its first edition. March ’93.

Eugène Olichon (1879-1950), architecte sur la côte d'Émeraude autour des années 1910 - persee.fr Les débuts : la production domestique malouine et la diffusion par les revues Né dans une famille d'enseignants, c'est sans appui professionnel ou familial particulier qu'Eugène Olichon s'installe à son compte en 1908, rue Sainte-Barbe, à l'entrée de la ville close de Saint-Malo. Il connaît déjà bien la région, non comme architecte, mais comme peintre. La publication de deux villas dans la Construction Moderne6 à ce moment précis marque le démarrage de l'activité du cabinet Olichon. Édifiées toutes deux dans le quartier balnéaire du Sillon qui relie la ville close à la station balnéaire toute nouvelle de Paramé, les premières villas d'Olichon doivent s'intégrer à un front urbain dense et récent, du fait du passage du tramway et du succès grandissant des bains de mer. Livrautorui d'hwtoure de l'architecture n° 8 5.

Gertrude - Ancienne demeure de l'entrepreneur Poivrel, dite hôtel Poivrel - Inventaire Général du Patrimoine Culturel (1.3.0 (Build: 92)) Hormis une légère modification de la distribution au 1er étage et la transformation d'une partie du décor intérieur, l'hôtel construit en 1900-1901 pour l'un des entrepreneurs les plus actifs à Rennes, M. Poivrel, est conservé dans ses dispositions d'origine. Le tapis de mosaïque du grand hall peut être attribué à Isidore Odorico père. Comme le montre l'analyse de François Loyer, cet hôtel, est l'une des oeuvres remarquables de la production de l'architecte Emmanuel Le Ray. Son originalité tient tant dans sa disposition intérieure, les pièces de réception étant rejetées sur le jardin, que dans la dualité entre les façades sur rue et sur jardin exprimant des réalités différentes, l'une publique et quelque peu ostentatoire, l'autre privée, plus simple et chaleureuse. Édifice clef dans le paysage urbain du début du siècle, cet " objet architectural " contribue à construire l'image de son concepteur comme celle de son commanditaire.

Gertrude - Maison d'architecte, dite hôtel Le Ray - Inventaire Général du Patrimoine Culturel (1.3.0 (Build: 92)) Édifice appartenant au corpus des maisons d'architecte qui constituent des exemples de référence tant pour la production locale que dans la carrière de leur auteur. La relation à l'espace public, au moyen de la cour surélevée, est ici particulièrement originale. Cet hôtel réalisé par Emmanuel Leray pour lui même s'accommode du bâti préexistant. Sa construction en retrait d'alignement et surtout l'emploi d'une cour antérieure surélevée formant socle individualisent l'édifice. L´édifice individualisé par rapport à son environnement grâce son implantation et à un astucieux système de soubassement formant terrasse cherche à se distinguer.

La Samaritaine, un palimpseste urbain Le projet de reconversion de la Samaritaine actuellement en cours d’instruction fournit l’occasion de revenir sur une épopée architecturale majeure dans l’histoire des Grands magasins parisiens ralentie, sinon interrompue, par la crise de 1929. Aménagés dans des édifices existants ou reconstruits entre 1883 et 1934, les quatre magasins situés entre la rue de Rivoli et le Pont-Neuf qui composaient jusqu’en 2005 l’équipement commercial connu de tous sont principalement l’œuvre de Frantz Jourdain, puis d’Henri Sauvage. À l’instigation de la maîtrise d’ouvrage, la mise à jour des études historiques et un colloque international organisé à Paris en juillet 2011 ont permis de renouveler les savoirs ainsi que de rendre tangibles l’intérêt et la complexité du destin de cet ensemble patrimonial insigne. Plan d'ensemble de La Samaritaine. © Archives de La Samaritaine Les stratifications du Magasin n° 2 La nouvelle façade d'Henri Sauvage côté Seine du Magasin 2 (1926-28). © Archives de la Samaritaine

Péristyle - Référentiel thématique des travaux en histoire de l'art, patrimoine bâti et arts décoratifs: Content Grasset, pionnier de l’Art nouveau ou théoricien des formes géométriques? Au printemps 2011, une exposition intitulée «Eugène Grasset, l’art et l’ornement», organisée au Musée cantonal des Beaux-arts de Lausanne, a présenté aux visiteurs une grande diversité d’œuvres de Grasset en proposant non seulement de découvrir son travail artistique sur l’affiche, l’illustration, le bijou, le vitrail, la mosaïque et la typographie, mais aussi ses ouvrages consacrés à la théorie du dessin ornemental. C’était aussi une tentative d’explorer la portée de Grasset dans l’art du XXe siècle à travers ses travaux sur la forme pure et géométrique. Jusqu’à maintenant, ses œuvres, qui se caractérisent par des motifs végétaux et des courbes gracieuses, attestent que cet artiste-décorateur est bel et bien profondément ancré dans le mouvement de l’Art Nouveau du tournant du XXe siècle, comme l’indique le titre de l’exposition organisée en 1981 à Paris et à Lausanne, Grasset Pionnier de l’Art Nouveau.

Related: