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Les 12 lois du cerveau

Les 12 lois du cerveau
Phrase-résumée de “Les 12 lois du cerveau” : Un neuroscientifique clair et pragmatique nous fait partir à la conquête des découvertes récentes sur le fonctionnement du cerveau humain pour mieux nous comprendre et vivre une vie meilleure. Ce livre a été édité en version originale en 2008, sous le titre Brain Rules, et fait partie du Personal MBA. En France, il est paru en novembre 2010, traduit de l’anglais (Etats Unis) par Sabine Rolland chez LEDUC.S éditions (300 pages). Note : cette chronique est une chronique invitée écrite par Patrick Boutain du blog Mémoire facile dans lequel il vous apprend à améliorer votre mémoire L’auteur : John Medina est un biologiste moléculaire du développement et consultant chercheur. Crédit Flickr par Gaetan Lee Chronique de “Les 12 lois du cerveau” : John Medina insiste sur la nécessité de faciliter l’interactivité entre trois univers : neurosciences, enseignements et entreprises. Loi n°1 L’exercice physique stimule les facultés mentales Le saviez-vous ? J. Related:  Métacognition

Créer de bonnes habitudes de mémorisation | Mémoire & Concentration ©stockxpert_orla Vous savez quoi ? Le principal problème avec les techniques de mémorisation, c’est de s’en rappeler ! Sérieusement, il existe quantité de méthodes et d’exercices pour stimuler la mémoire, mais si vous ne prenez pas l’habitude de les utiliser, vous allez les oublier… Quelle que soit la mnémotechnique, vous devez faire un effort conscient pour l’appliquer jusqu’à ce qu’elle devienne automatique. C’est comme cela qu’on développe sa mémoire. Nous sommes tous conscients du fait qu’il est possible de développer nos mémoires avec des exercices quotidiens prévus pour une augmentation graduelle de la difficulté; Comme la pratique régulière d’un sport augmente nos capacités physiques. Nous pouvons donc stimuler notre mémoire grâce à de simples activités quotidiennes du cerveau. Donnez-vous l’ordre d’enregistrer. 2 Exercices simples pour stimuler la mémoire à long terme 1° Vous souvenez-vous de 15 détails de votre vie au moment de la mort de la princesse Diana ?

Stratégies d’apprentissage efficaces D’après ma lecture du livre Mets-toi ça dans la tête ! Les stratégies d’apprentissage à la lumière des sciences cognitives, de P.C. Brown, L. memorisation-a-long-terme L’apprentissage par coeur reste incontournable pour : – les tables de multiplication, théorèmes, formules… – la conjugaison – le lexique en Langues Vivantes – les poésies… Que l’apprentissage se fasse par coeur ou non, il est nécessaire que l’élève intègre le fait qu’apprendre demande des efforts réguliers et constants. Bien entendu, cette fiche a besoin d’être complétée par l’utilisation d’autres outils (cartes mentales, flashcards, stratégies de compréhension de texte… cf. Laetitia Ferrari WordPress: J'aime chargement…

Apprendre à apprendre (1/4) : deux modes d’apprentissage Comment apprenons-nous ? Les neurosciences, les sciences cognitives, mais aussi le quantified self et bon vieil empirisme nous ont-ils fait progresser dans notre compréhension des mécanismes de l’apprentissage ? Et s’agit-il de pures découvertes théoriques ou sont-elles applicables à la salle de classe ou à chacun d’entre nous ? Même le plus fameux des MOOCs, Coursera, s’est intéressé à la question et propose maintenant un cursus « Apprendre à apprendre« . A sa tête, on trouve un neuroscientifique connu, Terrence Sejnowski et surtout Barbara Oakley, auteur d’un excellent livre sur l’apprentissage des sciences, A Mind for Numbers. Son éducation scientifique, Barbara Oakley l’a effectuée sur le tas. Mode « concentré » et mode « diffus » La créativité occupe une place importante dans le livre d’Oakley. Un des premiers principes sur lesquels elle s’étend dans son livre c’est ce qu’on pourrait appeler le paradoxe de la créativité. Le mode diffus, au contraire, est celui de l’inconscient.

5 principes essentiels issus des neurosciences pour mieux favoriser l’apprentissage en formation – FormaVox Quels sont, à votre avis, les avantages et inconvénients des pédagogies actives, ludiques et participatives ? Si les entreprises semblent conscientes de la nécessité d’amorcer un virage pédagogique dans leurs formations, elles sont parfois réticentes à l’idée de passer à l’action : est-ce vraiment utile et pertinent ? De mon point de vue, la réponse est indéniablement : OUI ! Et les recherches scientifiques menées ces dernières années vont clairement dans ce sens. 1. Tous les êtres humains disposent d’une mémoire de travail. Le problème de notre mémoire de travail, c’est qu’elle dispose d’une capacité très limitée : elle ne peut conserver simultanément que 7 éléments (+/- 2 en fonction des individus) pendant une période de 30 secondes. De plus, les recherches montrent que l’attention des apprenants chute naturellement au bout d’environ 10 minutes. 2. Les recherches nous montrent qu’au bout de 20 minutes, le taux d’assimilation d’informations chute de plus de 50%. 3. 4. 5. [hr] Source : J.

Apprendre à apprendre : Se connaitre soi-même 1. SE CONNAITRE SOI-MÊME : pour s'engager dans l'action L'apprentissage ne peut être efficace que si l'apprenant s'y engage activement, c'est un point essentiel. Cette action va s'engager à partir de nos représentations, qui fondent notre expérience et nous constituent, et à partir desquelles nous allons penser, faire des choix, agir. C'est pourquoi il est utile de les interroger dès le début de la démarche d'apprentissage, d'accepter si nécessaire de les modifier, de les faire évoluer, afin de lever des sources de difficultés potentielles et insoupçonnées. Il importe de prendre conscience également de nos perceptions émotives et affectives, car elles influencent notre engagement dans l'apprentissage, de sorte qu'elles peuvent le freiner, voire même le bloquer, ou au contraire le favoriser. Cette action a ensuite besoin d'un moteur, c'est la motivation. Selon notre type perceptif ou notre type d'intelligence, nous percevons et intégrons de façon privilégiée certains types d'information.

Les 4 piliers de l'apprentissage d'après les neurosciences D’après Stanislas Dehaene, psychologue cognitif, neuroscientifique et professeur au Collège de France, les neurosciences cognitives ont identifié au moins quatre facteurs qui déterminent la vitesse et la facilité d’apprentissage. 1. L’attention L’attention est la capacité que nous avons à nous ouvrir à la réalité : l’attention ouvre notre esprit. Le mouvement cérébral qui va nous permettre d’orienter notre action en fonction d’un objectif, d’un centre d’intérêt… Grâce à elle, nous captons, par nos cinq sens, les différentes informations en provenance soit de notre environnement, soit de notre ressenti émotionnel ou psychologique. Stanislas Dehaene ajoute que l’attention sert à sélectionner les informations, module massivement l’activité cérébrale et facilite l’apprentissage. Mais l’attention peut être sélective. Quelles conséquences pour l’enseignement ? La tâche la plus important des enseignants est de canaliser et captiver, à chaque instant, l’attention de l’enfant. 2. 3. 4.

Styles d’apprentissage : la typologie de Kolb Beaucoup d’encre a coulé au sujet des styles d’apprentissage. Vous aurez sûrement l’occasion de constater que votre apprenant a de la difficulté à saisir des concepts qui paraissent fort simples. Il est fort probable qu’il ait un style d’apprentissage différent du vôtre et que vos stratégies d’apprentissage s’avèrent inefficaces pour lui. Les recherches dans le domaine de l’enseignement nous démontrent qu’on a tendance à enseigner en se basant sur notre propre style d’apprentissage. Or, si notre apprenant n’a pas le même style d’apprentissage que nous, il y aura des difficultés à l’horizon. Le style d’apprentissage dominant, c’est la manière préférentielle de résoudre un problème. Nous utilisons les quatre styles de base, mais 75% des gens ont un style dominant. On ne peut pas hiérarchiser les styles d’apprentissage : leur efficacité spécifique varie en fonction des circonstances … Le cycle de Kolb et ses dérivés Le cycle des phases d’apprentissage. 1. Le cycle de McCarthy 1. 2. 3. 4. 1.

Neurosciences/Le plaisir et la motivation Notre vie est gouvernée par des émotions, positives ou négatives suivant les circonstances. Si la peur ou la tristesse sont malheureusement une part de notre vie, le fait que nous puissions ressentir du plaisir ou des affects positifs est primordiale pour un on fonctionnement mental. Quand cela n'est plus possible, c'est en raison de maladies mentales relativement graves : dépression ou schizophrénie. La capacité à ressentir du plaisir, est une "fonction" relativement complexe, loin de se limiter à une seule facette. une facette volitionnelle, correspondant à la motivation ;une facette affective, liée à la sensation de plaisir ressentie, l'hédonie ;et une facette cognitive, liée à l'apprentissage opérant/classique, à la capacité à anticiper et mémoriser les relations entre stimulus/comportements et récompense. Ces trois composants sont prises en charge par tout un système relativement élaboré d'aires cérébrales, qui porte le nom de circuit de la récompense.

12 stratégies de mémorisation... pour réactiver les informations efficacement Pour mémoriser de nouvelles informations, certains facteurs comme la répétition, les images mentales, les associations, le jeu et l’imagination sont très importants. 1.L’exagération Plus on exagère la représentation d’une chose dans nos images mentales, mieux on les mémorise. 2.La pensée positive On apprend mieux quand on se sent mieux. Kevin Finel, conférencier et enseignant spécialisé en hypnose, propose une manière de tirer profit du fonctionnement du cerveau pour apprendre plus efficacement, basée sur les ancrages positifs volontaires. – Proposez un objet à l’enfant ou demandez-lui de choisir un objet. – Demandez à l’enfant de le placer dans son champ de vision, proche de lui. – Demandez à l’enfant de se rappeler un souvenir positif, au cours duquel il s’est senti bien. – Demandez à l’enfant d’ouvrir les yeux et de fixer l’objet choisi comme stimulus (stylo, trousse, bijou…). – Il ouvre les yeux et fixe une dernière fois l’objet. 3.L’ordre, le classement et les associations d’idées etc…

Mémoire Il est démontré que les émotions peuvent moduler la façon dont une information est enregistrée, l’émotion renforçant ponctuellement l’attention. Ainsi, une émotion positive peut se traduire par une amélioration ponctuelle des performances mnésiques. Il apparaît également que la consolidation, et donc la rétention d’une information est favorisée par l’émotion : le rappel d’un souvenir émotionnel après un long intervalle est souvent plus important que lorsque ce souvenir est neutre. L’imagerie fonctionnelle montre d’ailleurs que le rappel des souvenirs est proportionnel à leur intensité émotionnelle qui peut être observée par l’activation de l’amygdale, siège des émotions. Enfin, la récupération d’un souvenir est aussi améliorée par la présence d’une émotion positive. Il existe un pendant pathologique à ce processus : en effet, une émotion trop intense, notamment traumatique, entraîne une distorsion de l’encodage. Mémoire et oubli : du physiologique au pathologique

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