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Bernard STIEGLER, la bêtise.mpg

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La Stratégie du choc Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La Stratégie du choc, la montée d'un capitalisme du désastre (titre original : The Shock Doctrine: The Rise of Disaster Capitalism) est un essai socio-politique altermondialiste publié en 2007 par la journaliste canadienne Naomi Klein. Thèse du livre[modifier | modifier le code] Après une préface où elle expose les différents points de son argumentation, le premier chapitre porte sur la torture et plus particulièrement sur les expériences de lavage de cerveau effectuées par Donald Ewen Cameron et qui auraient été financées par la CIA. Naomi Klein cite plusieurs exemples pour étayer sa thèse. L'auteur évoque notamment les réformes engagées et les mesures prises après la crise asiatique de 1997, l'ouragan Katrina ou encore le tsunami de 2004. Naomi Klein soutient également que les théories de l'école de Chicago telles qu'elles auraient été appliquées dans ces pays présentent deux contradictions. Critiques[modifier | modifier le code]

Lyon sous-surveillance - Cartographie collaborative et ressources sur la vidéo-surveillance divorce sos papa droits des peres avocats Marshall Sahlins Marshall David Sahlins (born December 27, 1930) is an American anthropologist who is professor emeritus at the University of Chicago.[1] Life[edit] He received both a Bachelors and Masters degree at the University of Michigan where he studied with Leslie White, and earned his Ph.D. at Columbia University in 1954 where his main intellectual influences included Karl Polanyi and Julian Steward. He returned to teach at the University of Michigan and in the 1960s became politically active, protesting against the Vietnam War and (according to Napoleon Chagnon) began flunking students out of the graduate program who failed to protest.[2] In 1968, he signed the “Writers and Editors War Tax Protest” pledge, vowing to refuse tax payments in protest against the Vietnam War.[3] In the late 1960s, he also spent two years in Paris, where he was exposed to French intellectual life (and particularly the work of Claude Lévi-Strauss) and the student protests of May 1968. Work[edit] Publications[edit]

Pharmacologie du Front National - Un livre de Bernard Stiegler. • Ars Industrialis Quatrième page de couverture : Lorsqu'une société souffre d'une façon qu'elle ne parvient pas à expliquer ni à soigner, elle se met à persécuter un bouc émissaire – et c'est d'abord en ce sens que nous parlons d'une « pharmacologie du Front National ». Extrait (p. 53) : « Quant à nous qui venons aujourd'hui, c'est à dire après l'effondrement de cette calamiteuse aventure planétaire néoconservatrice et ultralibérale également appelée « mondialisation » , qui aura planétarisé l'immonde, et dont l'idéologie domine encore, et même comme jamais, la tâche qui s'impose est de reconstruire un savoir-vivre, et avec lui des savoir-faire et des savoirs théoriques – le savoir-vivre contemporain devant être issu, dans nos sociétés, et pour autant qu'elles sont encore policées, de la polis grecque, et constituer en cela la nouvelle forme historique de la citoyenneté. Extrait (p. 35) : L'avis d'un lecteur : Introduction

La société qui vient Enregistrements vidéo des débats du 3 mars 2012 à La Colline En associant avec , a fait paraître tout récemment aux éditions Mille et une nuits – un ouvrage co-signé par Julien Gautier, Denis Kambouchner, Philippe Meirieu, Bernard Stiegler et Guillaume Vergne. Nous vous proposons de participer le samedi 3 mars prochain, de 14h à 17h, au théâtre de la colline, à une discussion des thèses et analyses avancées dans cet ouvrage. Jean-Hugues Barthelemy, professeur de philosophie, Franck Cormerais, économiste et professeur de sciences de l’information et de la communication, Christian Fauré, ingénieur, Alain Giffard, directeur du Groupement d’intérêt scientifique « Culture et médias numériques », spécialiste de la lecture, et Victor Petit, post-doctorant en philosophie à l’université de Compiègne, s’entretiendront avec Julien Gautier, Denis Kambouchner, Philippe Meirieu, Bernard Stiegler et Guillaume Vergne pour ouvrir ensuite une discussion générale avec toutes les personnes présentes.

Pour "Un manifeste hacker" de McKenzie Wark Abstract Hackulturation, hackculture, c’est à la fois la crise iconoclaste et symbolique de la culture, où la figure de rhétorique viatique n’en serait pas une mais le paradoxe, à tous les niveaux de l’expérience, de la connaissance de la technique et de son ignorance, et de l’expression décodée sans limites dans l’univers codé de l’expertise. C’est d’autre part la naissance d’une culture émergente de la décomposition du miroir commun, de fait et rampante, mais au fil du temps qui se construit plastiquement entre matière et méta concepts, entre réseaux de signes constitués par des messages, comme une langue trans-genre des disciplines et des médias. La hack culture est pragmatique, spontanée, collective, interactive, et admet sans ambages la prédiction de la fiction interférant dans l’actualité documentaire. C’est peut-être l’événement de la réalisation poétique du monde ; c’est peut-être, au contraire, le dépassement de la vérité symbolique attachée au texte. Exergue

Michel Maffesoli et son Homo Eroticus dans Darketing Cet épisode accueille Michel Maffesoli, membre de l’Institut Universitaire de France, et professeur de sociologie à la Sorbonne. Il est l’auteur du livre « Homo Eroticus », nous propose ici une œuvre qui est l’aboutissement de 30 ans de réflexion à propos des valeurs du monde moderne, d’une nouvelle culture qui voit le jour et qu’il décrit comme une société postmoderne, animée par le culte du plaisir et il définit pour nous ce qu’est un « homo eroticus ». Il évoque dans son nouvel ouvrage le retour d’un mode de vie basé sur l’émotion, de l’érotique social. Selon lui, la société est en train de passer à un état où l’émotionnel, les pulsions dominent la raison. Il croit à la fin de l’individualisme et au retour du « vouloir-vivre ensemble ». Il parle du triomphe des pulsions sur le « bien-pensé ». Il suggère, de plus, la fin du mode de pensée dit du « père » et l’apparition du mode de pensée dit « des frères ».

Bernard Stiegler : « Le marketing détruit tous les outils du savoir Texte publié intégralement dans la revue Soldes [1], que vous pouvez vous procurer dans l’une de ces librairies ou lors de l’événement organisé au Point éphémère à Paris le 24 mars (voir à la fin de l’article). Peut-on sortir de l’ère industrielle ? J’ai la conviction profonde que ce qu’on appelle humain, c’est la vie technicisée. La forme de vie qui passe par la technique, qu’elle soit du silex taillé ou du silicium, organisée comme aujourd’hui par un microprocesseur ou par autre chose. Dans tous les cas, nous avons affaire à de la forme technique. L’individuation psychique, c’est-à-dire la manière de devenir ce que je suis, l’individuation collective, la manière dont se transforme la société dans laquelle je vis, et l’individuation technique, la manière dont les objets techniques se transforment, sont inséparables. Quand on appréhende les questions dans leur globalité, il est inconcevable de faire face à cette poussée démographique avec des moyens non industriels. Et aux États-Unis ?

Jusqu'où ira-t-il ? @Flynt75 "ensuite ma nièce insistant sur la raison pour laquelle on devait le faire cette fois-ci exceptionnellement, la maîtresse lui répond "c’est parce que le président l’a dit" et l’une de ses camarades enchaînent : "Parce que les juifs ils sont faciles à tuer, ils ne peuvent pas se défendre c’est pas comme les arabes et les noirs"...Puis ils se sont levés et ont fait une minute de silence à la mémoire des 3 enfants et de l’adulte pour faire plaisir à Sarko." Votre exemple est terrifiant, cela montre que la décision d’imposer une minute de silence n’est pas innocente, c’est le but recherché. C’est le sujet de mes articles. Mais, comme votre exemple le montre, le but de ce battage médiatique est d’inscrire dans l’opinion publique qu’il y a une communauté victime et une autre coupable, tout cela avant même que l’enquête n’ait apporté des indices concrets.

Bernard Stiegler : « Prendre soin de la jeunesse et des générations » & « Economie de l’hypermatériel et psychopouvoir  commander ce livre Bernard Stiegler est un philosophe atypique, ayant fait ses "humanités" comme on disait dans le temps, en prison. Il n'a pas oublié. 20 ans plus tard, il participait à un "atelier philosophique" à la Maison d'Arrêt de Douai (animé par B. Stevens). C'est comme cela que j'ai été amené à le connaître. Ci dessous, la critique de ses 2 derniers livres dans Libé : Haute attention Philo. Si on se fiait aux titres des deux livres que Bernard Stiegler publie conjointement, on irait plus spontanément vers "Prendre soin de la jeunesse et des générations", qui laisse croire à un ouvrage «généraliste», plutôt que vers "Economie de l’hypermatériel et psychopouvoir", qui fait craindre le traité quelque peu abstrus. Réalité. On complexifierait en indiquant par quel biais Stiegler arrive à faire critiquement dialoguer Platon, Kant, Husserl, Michel Foucault ou Gilbert Simondon. Insistons encore. Au centre de cet arc, il y a la notion d’attention. «Contrôle». © Libération Share and Enjoy

Tapage nocturne à l'hôpital Bernard Stiegler : « l’emploi salarié va devenir minoritaire » Bernard Stiegler lors de son intervention au OuiShare Fest © OuiShare Bernard Stiegler est directeur du groupe de réflexion Ars Industrialis (Association internationale pour une politique industrielle des technologies de l'esprit) et de l’IRI (Institut de Recherche et d’Innovation) qu’il a créé au sein du centre Georges Pompidou. Interview réalisée à l'occasion du OuiShare Fest, festival de l'économie collaborative, à Paris du 5 au 7 mai 2014. Les politiques prennent-ils la mesure de l’impact du numérique sur nos économies ? Absolument pas. Ils raisonnent avec un logiciel qui date de 1950. L’économie collaborative ne dessine-t-elle pas les contours de ce nouveau mode d’organisation du travail ? Michel Bauwens : « le peer-to-peer est l'idéologie des travailleurs de la connaissance »

Une société de la bêtise systémique. Bernard Stiegler, capitalisme pulsionnel, consumérisme, temps de cerveau disponible... Malgré la présence de l’inévitable chien de garde Guy Sorman (pour ne pas le nommer), Bernard Stiegler a tout de même réussi à faire passer son message ô combien salutaire... « Je crois que cet évènement est d’une extrême gravité, il est accablant, il est sidérant. (..) Je ne suis pas du tout surpris par ce qui s’est passé. D’abord parce que je suis depuis des années d’innombrables évènements semblables dans le monde. Aujourd’hui par exemple, le neuro-marketing se développe pour court-circuiter ce qui dans notre néo-cortex nous fait réfléchir avant d’agir. Je ne dis pas que M. Je pense qu’il y a des causalités dans la société et je pense que la multiplication de ce type d’évènements, que l’on voit en Afghanistan, puis en Norvège il y a quelques mois, etc. et que aujourd’hui tout le monde a dit que c’est inimaginable de prendre une petite fille par les cheveux et de la tuer comme ça... Mais enfin, regardez la déclaration de M. Compléments : La 1ère partie du débat (Ce soir ou jamais)

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