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2001, l'Odyssée de l'espace

2001, l'Odyssée de l'espace
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le film est divisé en quatre actes distincts. Daniel Richter incarne le personnage de Moonwatcher dans le premier acte et William Sylvester joue le docteur Heywood R. Floyd dans le second acte. Produit et distribué par le studio américain Metro-Goldwyn-Mayer, le film est presque entièrement tourné au Royaume-Uni, dans les studios MGM British (il est d'ailleurs l'un des derniers films à user de ces locaux) ainsi qu'à Shepperton, du fait des plateaux de tournage plus vastes que ceux des studios américains. Le film est reçu de manière partagée par la critique et le public à sa sortie mais, au fil du temps, il acquiert un statut de film culte et connaît un énorme succès au box-office. §Synopsis[modifier | modifier le code] Un costume utilisé pour le film 2001, l'Odyssée de l'espace retrace, à travers différentes époques, le rôle joué par une intelligence inconnue dans l'évolution de l'humanité. L'aube de l'humanité. Maquette du Discovery One Related:  Science-fiction

2001 : L'Odyssée de l'espace (roman) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Dans son avant-propos, l'auteur nous prévient : « Mais rappelez-vous bien qu'il ne s'agit que d'une œuvre de fiction. La vérité, comme d'habitude, sera encore bien plus étrange »[1]. À la fin du second millénaire, les hommes se sont lancés à la conquête du système solaire. Sur un territoire semi désertique que les hommes appelleront bien plus tard Afrique, une tribu d’hommes-singes conduite par Guetteur de Lune survit tant bien que mal. « ...l’insatisfaction venait de pénétrer dans son esprit : il avait fait un pas de plus vers l’humanité »[2] « Et ainsi Guetteur de Lune dut regarder sans ciller le monolithe de cristal, le cerveau offert à ses manipulations encore incertaines. Une nuit, le léopard entre dans la caverne de Guetteur de Lune, avec le courage du désespoir ils parviennent à le repousser. Mais il lui viendrait bien une idée »[4] Le Dr Heywood Floyd doit par trois fois répondre aux question qu’on lui pose au sujet de son voyage. F.

La Planète des singes Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La Planète des singes est un roman de science-fiction, publié en 1963 par l'écrivain français Pierre Boulle (1912-1994). Il raconte l'histoire d'un petit groupe d'hommes qui explorent une planète lointaine similaire à la Terre, où les grands singes sont les espèces dominantes et intelligentes, alors que l'humanité est réduite à un état animal. La Planète des singes est l'un des romans les plus célèbres de Pierre Boulle, traduit dans de nombreuses langues, et a fait l'objet de plusieurs adaptations cinématographiques. Thème et inspiration[modifier | modifier le code] Le récit revisite le darwinisme dans un cadre actualisé[5]. Résumé[modifier | modifier le code] Le roman est divisé en trois parties. Première partie[modifier | modifier le code] Le chimpanzé Hector a été embarqué sur le vaisseau du professeur Antelle. Ces traces appartiennent à une jeune fille qui, sans être gênée de sa nudité, s’approche d’eux avec méfiance. 1.

THX 1138 Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. THX 1138 est un film américain de science-fiction réalisé par George Lucas (1971) et produit par Francis Ford Coppola. Synopsis[modifier | modifier le code] Dans une société souterraine du futur, les hommes vivent sous sédatifs. Ils sont socialement brimés par un pouvoir totalitaire et invisible au sein d'un univers blanc monochrome. Sous l'impulsion de sa compagne LUH 3417, l'ouvrier THX 1138 accepte de fuir avec elle. Univers[modifier | modifier le code] L'univers de THX 1138 est un univers uniforme, la couleur dominante étant le blanc. La situation[modifier | modifier le code] Pour habiter une cité souterraine, il semblerait que la Terre ait subi de nombreux bouleversements. De plus, les forces chargées de l'ordre ne sont pas des humains mais des policiers-robots ultra-violents qui semblent cependant capables de liens humains, comme prêter la matraque aux enfants, rassurer les gens, etc. Le pouvoir[modifier | modifier le code]

Stanley Kubrick Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Stanley. Stanley Kubrick est un réalisateur, photographe, scénariste et producteur américain né le dans la ville de New York à Manhattan[1],[2], et mort le dans son manoir de Childwickbury, entre St Albans et Harpenden (Hertfordshire, nord de Londres). Après des débuts dans la photographie, Kubrick, autodidacte, sera également son propre directeur de la photographie, producteur, scénariste ou encore monteur. Ses treize longs métrages en quarante-six ans de carrière l'imposent comme un cinéaste majeur du XXe siècle. Quatre de ses films sont classés dans le top-100 de l'American Film Institute. Biographie[modifier | modifier le code] Stanley Kubrick a toujours été réticent à s'entretenir sur ses œuvres, laissant au spectateur la liberté de formuler sa propre interprétation. Débuts dans la photographie[modifier | modifier le code] Stanley Kubrick se photographiant devant un miroir avec Rosemary Williams, 1949

Ravage (roman) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Ravage. Ravage présente le naufrage d'une société mature, dans laquelle, un jour, l'électricité vient à disparaître et plus aucune machine ne peut fonctionner. Les habitants, anéantis par la soudaineté de la catastrophe, sombrent dans le chaos, privés d'eau courante, de lumière et de moyens de déplacement. Un thème typique de la science-fiction post-apocalyptique, brossant le portrait de la fin de l'humanité technologique. Un étudiant en chimie agricole, François Deschamps, décide avec quelques autres personnes, de quitter Paris, mégalopole de vingt-cinq millions d'habitants, en proie au chaos et aux flammes pour retrouver son village d'enfance en Provence. Plus qu'un simple roman de science-fiction, Ravage est une dystopie révélant le pessimisme de l'auteur vis-à-vis de l'utilisation du progrès scientifique par les hommes. Recension dans Actus SF

Le Voyageur imprudent Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Historique[modifier | modifier le code] Le roman connaît une pré-publication, sous forme de feuilleton, en 1943, avant d'être édité en volume l'année suivante. Résumé[modifier | modifier le code] Noël Essaillon (physicien-chimiste), s'appuyant sur les travaux et la collaboration d'un jeune mathématicien (Pierre Saint-Menoux), invente une substance (la noëlite 3) permettant de voyager dans le temps. D'abord développée sous formes de gélules à ingérer, il en enduit ensuite un scaphandre beaucoup mieux étudié pour les voyages dans le temps. Présentation de l'œuvre[modifier | modifier le code] Adaptation[modifier | modifier le code] Éditions[modifier | modifier le code] Éditions imprimées[modifier | modifier le code] Le Voyageur imprudent est d'abord paru en feuilletons dans l'hebdomadaire Je suis partout durant l'année 1943. Livres audio[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code]

H. G. Wells Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Wells. Herbert George Wells, plus connu sous la signature H. G. Wells, né le 21 septembre 1866 à Bromley dans le Kent, Royaume-Uni et mort le 13 août 1946 à Londres, est un écrivain britannique surtout connu aujourd'hui pour ses romans de science-fiction. Il fut cependant également l'auteur de nombreux romans de satire sociale, d'œuvres de prospective, de réflexions politiques et sociales ainsi que d'ouvrages de vulgarisation touchant aussi bien à la biologie, à l'histoire qu'aux questions sociales. Biographie[modifier | modifier le code] Il fut un auteur très prolifique qui écrivit aussi bien des romans réalistes que de la science-fiction, comme des essais sur l'histoire de l'humanité ou l'évolution future de la société. Enfance et jeunesse[modifier | modifier le code] Un incident survenu alors qu'il n'avait que sept ans fut déterminant pour la suite de sa vie. Années d'études[modifier | modifier le code] H.

La Machine à explorer le temps Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La Machine à explorer le temps (titre original : The Time Machine) est un roman de science-fiction, écrit en 1895 par H. G. L'histoire[modifier | modifier le code] Londres, à l’extrême fin du XIXe siècle. Le voyageur du temps commence son récit en décrivant le monde de l’an 802 701. Les étapes de son élaboration[modifier | modifier le code] Ce roman est le premier de H. Lorsqu’il débute l’écriture de ce récit, Wells n’a que 21 ans. Il est publié dans une revue mensuelle de son université (la Normal School of Science de South Kensington). Wells a écrit ce premier récit au printemps 1888 mais l’idée du voyage dans le temps lui est probablement venue le 14 janvier 1887, après avoir assisté à l’exposé d’un étudiant, E. The Chronic Argonauts a été publié en avril, mai et juin de la même année, mais la publication ne se poursuivra pas, ce texte restera inachevé. Analyse[modifier | modifier le code] Verrière du siège de la Société Générale.

La Guerre des mondes Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. C'est l'une des premières œuvres qui confronte l'humanité et une race extraterrestre hostile[1], et le reflet de l'angoisse de l'époque victorienne et de l'impérialisme. La Guerre des mondes a été adapté en feuilletons radiophoniques (dont une version de Orson Welles qui défraya la chronique en 1938), jeux de rôle, bande dessinée ainsi que deux long-métrages (le premier a été réalisé par Byron Haskin en 1953 et le second par Steven Spielberg en 2005). Résumé[modifier | modifier le code] (…) Par delà le gouffre de l’espace, des esprits qui sont à nos esprits ce que les nôtres sont à ceux des bêtes qui périssent, des intellects vastes, calmes et impitoyables, considéraient cette terre avec des yeux envieux, dressaient lentement et sûrement leurs plans pour la conquête de notre monde (…) » Par la suite, les autres cylindres envoyés depuis Mars s'écrasent et libèrent d'autres engins mécaniques contrôlés par des créatures tentaculaires.

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