background preloader

Le Meilleur des mondes

Le Meilleur des mondes
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le roman a été adapté à la télévision en 1980 et en 1998. Résumé de l'intrigue[modifier | modifier le code] Présentation du Meilleur des Mondes (chapitres 1 à 6)[modifier | modifier le code] L'histoire débute à Londres, en l’an 632 de Notre Ford dans un bâtiment gris nommé D.I.C. Dans cette société, la reproduction sexuée telle qu'on la conçoit a totalement disparu ; les êtres humains sont tous créés en laboratoire, les fœtus y évoluent dans des flacons, et sont conditionnés durant leur enfance. Une fois enfants, les jeunes humains reçoivent un enseignement hypnopédique qui les conditionne durant leur sommeil, créant une morale commune profondément ancrée dans les subconscients de chacun. les castes supérieures : Les Alpha en constituent l'élite dirigeante. Chacune de ces castes est divisée en deux sous-castes : Plus et Moins. La réserve et les sauvages (chapitres 7 à 9)[modifier | modifier le code] Analyse[modifier | modifier le code] Related:  Science-fiction

Objectif Lune Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Résumé[modifier | modifier le code] De retour de voyage, Tintin et le capitaine Haddock apprennent que le professeur Tournesol est parti pour la Syldavie, où il leur demande de le rejoindre. Deux hommes sont capturés, mais ce sont en fait les détectives Dupont et Dupond envoyés à la rescousse. La XFLR6, radioguidée depuis l’usine, décolle et fait le tour de la Lune en photographiant sa face cachée (qui est invisible depuis la Terre). Les mois passent et le travail avance. Finalement, le jour (ou plutôt le soir, comme le dit Baxter) du départ arrive. Fiche technique[modifier | modifier le code] Aspects scientifiques[modifier | modifier le code] Ces deux volets de l’aventure lunaire furent publiés en 1954, quinze ans avant la mission Apollo 11, et avant même le premier satellite (Spoutnik). Hergé a consulté un de ses amis, le scientifique Bernard Heuvelmans et consulté le livre l’Astronautique d’Alexandre Ananoff[2].

Fahrenheit 451 Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le titre fait référence au point d'auto-inflammation, en degrés Fahrenheit, du papier. Cette température équivaut à un peu moins de 233 °C. Résumé[modifier | modifier le code] Première partie : Le foyer et la salamandre[modifier | modifier le code] Dans la nuit, le pompier Guy Montag marche sur la route pour rentrer chez lui. Arrivé chez lui, il trouve sa femme Mildred étendue sur le lit sans connaissance et à ses pieds gît un petit flacon de cristal vide : elle vient d'absorber son contenu, une trentaine de comprimés d'un somnifère. Le lendemain, elle ne se souvient plus de rien. Montag croise régulièrement Clarisse dans la rue. Depuis quatre jours, Montag ne voit plus Clarisse. Un peu à la traîne, Montag repart en mission. Le capitaine quitte leur maison en demandant à Montag de revenir travailler. Cette partie se termine alors qu'il vient de lire l'extrait d'un livre. Deuxième partie : Le tamis et le sable[modifier | modifier le code]

On a marché sur la Lune Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Synopsis[modifier | modifier le code] Le récit se poursuit au point où l’avait laissé Objectif Lune. Après quelques minutes de peur au lancement, les passagers de la fusée reprennent connaissance et tout semble bien se passer : la fusée se dirige vers la Lune. Cependant, il y a une surprise de taille : les Dupondt, qui ont pris place à bord pour des raisons de sécurité, se sont trompés d’heure. Le voyage se déroule sans incident ou presque et la fusée se pose sans encombre sur la Lune. Fiche technique[modifier | modifier le code] Scénario : HergéDessins : HergéÉditeur : CastermanLieux : Syldavie, LuneÉpoque : 1954 Comme souvent dans les albums d’Hergé, de nombreux changements ont été opérés sur les planches entre la parution de l’histoire dans le journal de Tintin (étalée entre 1950 et 1953) et leurs parutions en albums en 1953 et 1954. Aspects scientifiques[modifier | modifier le code] Anecdotes[modifier | modifier le code]

Pierre-Joseph Proudhon Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pierre-Joseph Proudhon Philosophe français XIXe siècle Proudhon donna dans son Système des contradictions économiques, publié en 1846, une explication de la société fondée sur l’existence de réalités contradictoires. Biographie[modifier | modifier le code] Premières années[modifier | modifier le code] Proudhon est né à Besançon (dans une maison de la rue du Petit-Battant), d’un père garçon brasseur et d’une mère cuisinière. Intérêt pour la politique[modifier | modifier le code] En 1839, il écrit L'Utilité de la célébration du dimanche, un traité qui contient les germes de ses idées révolutionnaires. Proudhon et la révolution de 1848[modifier | modifier le code] Proudhon est surpris par la révolte parisienne de février 1848. Proudhon sous la Deuxième République[modifier | modifier le code] Proudhon à l'assemblée nationale en 1848. Il est choqué par la violence des Journées de Juin. Proudhon et le Second Empire[modifier | modifier le code]

Autour de la Lune Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Autour de la Lune est un roman d’anticipation de Jules Verne, paru en 1869 Historique[modifier | modifier le code] Le roman paraît d'abord dans le Journal des Débats du 4 novembre au 8 décembre. C'est la suite du roman De la Terre à la Lune, paru en 1865. Résumé[modifier | modifier le code] Thèmes abordés dans le roman[modifier | modifier le code] Un roman prémonitoire[modifier | modifier le code] Illustration prémonitoire : la capsule où flotte le drapeau américain est récupérée dans l'océan Erreurs scientifiques[modifier | modifier le code] Liste des personnages[modifier | modifier le code] Les personnages sont les mêmes que ceux du roman précédent De la Terre à la Lune. Au sol on retrouve J. Hommage au roman[modifier | modifier le code] Illustrations du roman[modifier | modifier le code] Illustrations du roman par Émile Bayard et Alphonse de Neuville Bibliographie[modifier | modifier le code] Revue Jules Verne 15. Autour de la Lune, version audio

Socialisme scientifique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Définitions et historique[modifier | modifier le code] Dans le Manifeste du Parti communiste, Marx et Engels jugent sévèrement les formes de socialisme et de communisme « critico-utopiques » présente dans les œuvres d'auteurs comme Saint-Simon, Owen ou Fourier : à leurs yeux, ces idées se sont perdues dans la réalisation expérimentale de leurs utopies, en négligeant la lutte des classes[2]. Le premier auteur à utiliser l'expression « socialisme scientifique » - ainsi que celle de « socialisme utopique » - n'est cependant pas Marx, mais un adversaire politique de ce dernier, Pierre-Joseph Proudhon[4], qui forge le terme en 1840 dans Qu'est-ce que la propriété ? Marx pense son œuvre à l'aune de la science : Le Capital se veut un traité scientifique. Voir aussi[modifier | modifier le code] Articles connexes[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code] Friedrich Engels. Notes et références[modifier | modifier le code]

De la Terre à la Lune Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. De la Terre à la Lune, trajet direct en 97 heures 20 minutes est un roman d'anticipation de Jules Verne, paru en 1865. Historique[modifier | modifier le code] Le roman paraît d'abord en feuilleton dans le Journal des débats du 14 septembre au 14 octobre 1865, avant d'être repris en volume la même année chez Hetzel. Dans ce roman d'aventures et d'anticipation Jules Verne imagine une aventure extraordinaire et palpitante : après la fin de la Guerre de Sécession, le Gun Club de Baltimore aux États-Unis tente d'envoyer un obus habité par trois hommes sur la Lune. L'œuvre est devenue une référence dans le domaine de la science-fiction avec de nombreux héritiers comme le roman de H. De la Terre à la Lune forme la première partie d'un diptyque, qui se clôt avec Autour de la Lune, paru quatre ans plus tard. Résumé[modifier | modifier le code] Le tir est un succès. Personnages[modifier | modifier le code] Autoportrait de Nadar, prototype de Michel Ardan

Robert Owen Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Owen. Robert Owen Robert Owen, né le à Newtown (comté de Montgomeryshire) et mort le dans la même ville, était un socialiste réformateur gallois. Il est considéré comme le « père fondateur » du mouvement coopératif. Biographie[modifier | modifier le code] L'industriel[modifier | modifier le code] Owen naquit à Newtown, dans le Montgomeryshire, au Pays de Galles, où son père était forgeron. En 1794 ou 1795, il devint le directeur et l'un des associés de la Chorlton Twist Company à Manchester. Débuts d'œuvre sociale[modifier | modifier le code] Principes[modifier | modifier le code] Les années suivantes, les travaux d'Owen à New Lanark connurent une portée nationale et même européenne. Owen fut en revanche très déçu par le Factory Act (1819), issu d'un projet de législation industrielle dont il fut l'un des artisans. L'utopie coopérative d'Owen[modifier | modifier le code] Ses enfants[modifier | modifier le code]

Jules Verne Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Jules Verne Jules Verne photographié par Nadar. Œuvres principales Jules Verne, né le à Nantes en France et mort le à Amiens en France, est un écrivain français dont l'œuvre est, pour la plus grande partie, constituée de romans d'aventures et de science-fiction (ou d'anticipation). En 1863 paraît chez l'éditeur Pierre-Jules Hetzel (1814-1886) son premier roman Cinq semaines en ballon, qui connaît un immense succès y compris à l'étranger. L’œuvre de Jules Verne est populaire dans le monde entier et, selon l’Index Translationum, avec un total de 4 702 traductions, il vient au deuxième rang des auteurs les plus traduits en langue étrangère après Agatha Christie[1]. Biographie de Jules Verne Jeunes années Plaque apposée sur la maison natale de Jules Verne à Nantes. De plus, plusieurs accessits de musique vocale montrent son goût pour cette matière, goût qu'il conservera toute sa vie[N 3]. Étudiant à Paris « - Ce sont de vilains bonshommes ! 1903. Œuvres

Socialisme utopique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'expression « socialisme utopique » désigne l'ensemble des doctrines des premiers socialistes européens du début du XIXe siècle (qui ont précédé Marx et Engels) tels Robert Owen en Grande-Bretagne, Saint-Simon, Charles Fourier, Étienne Cabet et Philippe Buchez en France. Ce courant est influencé par l'humanisme et souvent le christianisme social. Il s'inscrit à l'origine dans une perspective de progrès et de foi dans l'homme et la technique. Le socialisme utopique se caractérise par la volonté de mettre en place des communautés idéales selon des modèles divers, certaines régies par des règlements très contraignants, d'autres plus libertaires ; certaines communistes, d'autre laissant une plus grande part à la propriété individuelle. Des milliers d'expériences de création de communautés socialistes s'inscrivant dans la filiation du socialisme utopique peuvent être relevées à travers l'histoire. Pensée et doctrine[modifier | modifier le code]

Les Premiers Hommes dans la Lune Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les Premiers Hommes dans la Lune (The First Men in the Moon) est un roman de science-fiction de H. G. L'histoire[modifier | modifier le code] Traductions en français[modifier | modifier le code] Traduit par Henry-David Davray, illustrée par Martin van Maele, éd. Adaptations au cinéma[modifier | modifier le code] La cavorite[modifier | modifier le code] Elle réapparaît dans : Voir aussi[modifier | modifier le code] Article connexe[modifier | modifier le code] Totalitarisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le totalitarisme est l'un des trois grands types de systèmes politiques avec la démocratie et l'autoritarisme. C'est un régime à parti unique, n'admettant aucune opposition organisée et dans lequel l'État tend à confisquer la totalité des activités de la société. L'expression vient du fait qu'il ne s'agit pas seulement de contrôler l'activité des personnes, comme le ferait une dictature classique. Les origines du concept[modifier | modifier le code] On peut définir le totalitarisme comme une idéologie qui « nie toute autonomie à l'individu et à la société civile et s'emploie a les supprimer autoritairement au profit d'une vision moniste du pouvoir et du monde ; recouvrant tous les aspects de la vie humaine, cette idéologie fonde et justifie la domination absolue de l'État ». L'écrivain allemand Ernst Jünger, par son exaltation de la « mobilisation totale », décrit les contours du totalitarisme[9].

La Guerre des mondes Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. C'est l'une des premières œuvres qui confronte l'humanité et une race extraterrestre hostile[1], et le reflet de l'angoisse de l'époque victorienne et de l'impérialisme. La Guerre des mondes a été adapté en feuilletons radiophoniques (dont une version de Orson Welles qui défraya la chronique en 1938), jeux de rôle, bande dessinée ainsi que deux long-métrages (le premier a été réalisé par Byron Haskin en 1953 et le second par Steven Spielberg en 2005). Résumé[modifier | modifier le code] (…) Par delà le gouffre de l’espace, des esprits qui sont à nos esprits ce que les nôtres sont à ceux des bêtes qui périssent, des intellects vastes, calmes et impitoyables, considéraient cette terre avec des yeux envieux, dressaient lentement et sûrement leurs plans pour la conquête de notre monde (…) » Par la suite, les autres cylindres envoyés depuis Mars s'écrasent et libèrent d'autres engins mécaniques contrôlés par des créatures tentaculaires.

Vers une société sans État Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Vers une société sans État (ISBN 0812690699) est un essai écrit par l'économiste libertarien David Friedman, traduit en Français par Françoise Liégeois et publié en France en 1992. C'est un des livres les plus influents dans la littérature anarcho-capitaliste. Thèse principale[modifier | modifier le code] Le livre cherche à démontrer non seulement la faisabilité pratique, mais aussi la désirabilité d'une société fonctionnant sans le moindre État, défini comme une agence de type gouvernementale bénéficiant d'un monopole de la violence légale et parfois de divers autres droits exclusifs. Dans la seconde partie, l'auteur fournit les concepts de base de l'économie au lecteur, comme la propriété privée, les diverses théories de la valeur utilisées au cours de l'Histoire, ainsi que les mécanismes de la praxéologie. Approche utilitariste de l'anarchie[modifier | modifier le code]

Related: