Autobiographie
Enseigner Lettres cycle 4 - Lecture analytique - "La Pistolétade" - Hervé Bazin
Lecture analytique de « La Pistolétade » d'Hervé BAZIN, Vipère au poing, chapitre IX, pour des élèves de 3ème - début de classe de seconde. Séance de deux heures suivie de plusieurs prolongements possibles, à placer dans une séquence sur le roman, sur l'autobiographie ou les récits d'enfance et d'adolescence. Comparaison de l'extrait avec les deux adaptations, travail sur la trace écrite. SUPPORT : « La Pistolétade » extrait de Vipère au poing (chapitre IX) d'Hervé BAZIN. étudier un récit d'adolescenceanalyser un conflit mère-fils MODALITES : Travail préparatoire à la maison : chercher les connotations liées au nom « vipère ». EN CLASSE : cours dialogué. Ecrire les connotations trouvées par les élèves au tableau au fur et à mesure de leurs propositions. Ecrire le nom « pistolétade » au tableau. Lecture expressive faite par le professeur : découverte par les élèves du texte. Essayer de repérer les réactions des élèves pendant la lecture. Demander ce qui les choque puis ce qui leur plaît. Un défi
Les chats dans la poésie, baudelaire, eluard, prévert, maurice carême, pablo neruda
"Hautain, libre, mystérieux, voluptueux, babylonien, impersonnel, il est l'éternel compagnon de la supériorité et de l'art - incarnation de la beauté parfaite et frère de la poésie - le chat doucereux, grave, savant et patricien."H.P. Lovecraft (1890-1937) Nombreux sont les poètes qui ont écrit sur les chats. Je n'ai retenu ici que les poèmes qui me plaisent particulièrement. Le plus célèbre poète ayant les félins comme source d'inspiration reste sans doute CHARLES BAUDELAIRE (1821-1867). LES CHATS Les amoureux fervents et les savants austères Aiment également, dans leur mûre saison, Les chats puissants et doux, orgueil de la maison, Qui comme eux sont frileux et comme eux sédentaires. Amis de la science et de la volupté, Ils cherchent le silence et l'horreur des ténèbres; L'Èrèbe les eût pris pour ses coursiers funèbres, S'ils pouvaient au servage incliner leur fierté. LE CHAT Dans ma cervelle se promène, Ainsi qu'en son appartement, Un beau chat, fort, doux et charmant. L'Arlequin
Les Chats de Baudelaire, commentaire
« Les Chats » in Les Fleurs du mal (1857) Baudelaire Les amoureux fervents et les savants austères Aiment également, dans leur mûre saison, Les chats puissants et doux, orgueil de la maison, Qui comme eux sont frileux et comme eux sédentaires. Amis de la science et de la volupté, Ils cherchent le silence et l’horreur des ténèbres ; L’Erèbe les eût pris pour ses coursiers funèbres, S’ils pouvaient au servage incliner leur fierté. Ils prennent en songeant les nobles attitudes Des grands sphinx allongés au fond des solitudes, Qui semblent s’endormir dans un rêve sans fin ; Leurs reins féconds sont pleins d’étincelles magiques Et des parcelles d’or, ainsi qu’un sable fin, Etoilent vaguement leurs prunelles mystiques. Commentaire « C’est une bête philosophique » affirmait Théophile Gautier, « le poète impeccable » à qui Baudelaire dédie Les Fleurs du mal (1857), en parlant du chat dans La ménagerie intime (1869). I) Un éloge paradoxal B) Dualité ou duplicité : l’éloge nuancé Céline Roumégoux
Les Chats - Charles Baudelaire - Commentaire
Plan de la fiche sur Les Chats de Baudelaire : Introduction Les chats est un sonnet de Baudelaire écrit en 1847 (publié en 1857 dans Les Fleurs du mal). Ce sonnet a été l'objet d'études linguistiques modernes, notamment par Claude Lévi-Strauss. Pour Baudelaire, l'image des chats est liée à celle de la femme comme le montrent explicitement les deux autres poèmes du recueil ayant pour thème cet animal. Problématique : Peut-on se fier aux apparences ? Charles Baudelaire Texte du poème Les Chats Télécharger Les Chats en version audio (clic droit - "enregistrer sous...") - Lu par Janico - source : litteratureaudio.com Les Chats Les amoureux fervents et les savants austères Aiment également, dans leur mûre saison, Les chats puissants et doux, orgueil de la maison, Qui comme eux sont frileux et comme eux sédentaires. Ils prennent en songeant les nobles attitudes Des grands sphinx allongés au fond des solitudes, Qui semblent s’endormir dans un rêve sans fin ; Charles Baudelaire, Les Fleurs du mal I. I.