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Âtman

Âtman
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Vedānta[modifier | modifier le code] En tant que conscience absolue ou conscience pure, l'ātman est aussi le Brahman dans le Vedānta et particulièrement l'Advaita Vedānta. Celui qui connaît l'ātman est « l'agent de chaque chose (visvakrt), l'agent du Tout (sarvakarta), le monde est à lui et il est ce monde même »[6]. Bouddhisme[modifier | modifier le code] Le bouddhisme n'admet pas l'existence de l'ātman. C'est la non-existence du soi (anātman) , la notion complémentaire de l'ātman, qui est employée pour désigner le non-soi des phénomènes corporels et mentaux (skandha). Cependant, dans son ouvrage Hindouisme et bouddhisme, Ananda Coomaraswamy considère que le bouddhisme originel ne nie pas l'existence de l'ātman, d'un principe sans début ni fin, d'un Soi éternel, mais donne à voir ce qui n'est pas l'ātman en déclarant que n'est pas l'ātman les composés éphémères du corps. Notes et références[modifier | modifier le code] Brahman Related:  SpiritualitéOccultisme / Religion / ÉsotérismeInduismo e altre religioni dell'India

Tarot divinatoire - Wikipedia Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La Papesse, arcane majeur du Tarot Visconti Le tarot divinatoire est l'application de la cartomancie aux cartes du Tarot de Marseille ou de ses variantes historiques ou modernes. Histoire[modifier | modifier le code] pour l'histoire des jeux de cartes utilisés dans le Tarot divinatoire voir l'article Tarot de Marseille L'usage divinatoire du Tarot pourrait être daté de 1527 avec la parution du Chaos del Tri per uno, essai littéraire de lecture divinatoire avec les tarots de Teofilo Folengo écrit sous le pseudonyme de Merlin Cocai. C'est à la fin du XVIIIe siècle à Bologne en Italie qu'est attesté un des premiers documents connus avec la liste de cartes du Tarot et leurs significations divinatoires[1]. Le rayonnement du Tarot divinatoire fondé sur le Tarot de Marseille ou le Tarot de Besançon prendra son essor en France avec Antoine Court de Gébelin. Son travail sera repris et réinterprété dans les livres d'Etteilla.

Plérôme Le plérôme (plénitude) dans le Nouveau Testament[modifier | modifier le code] Dans le Nouveau Testament, le mot plérôme signifie « plénitude ». Il apparaît par exemple dans la prière de saint Paul (Épître aux Éphésiens, III, 19) : « Ainsi, vous recevrez la force de comprendre, avec tous les saints, ce qu'est la Largeur, la Longueur, la Hauteur et la Profondeur, vous connaîtrez l'amour du Christ qui surpasse toute connaissance, et vous entrerez par votre plénitude dans toute la Plénitude de Dieu. » Le Plérôme chez les gnostiques[modifier | modifier le code] Selon Charlotte A. Le Plérôme chez Carl Gustav Jung[modifier | modifier le code] Dans son ouvrage Les Sept Sermons aux morts, habituellement qualifié de « gnostique » et dont il attribue la substance à Basilide, Carl Gustav Jung enseigne ainsi ce qu'est le Plérôme : « Le néant est à la fois vide et plein... Notre nature profonde, intime est la différenciation. Jung assimile l'abandon de l'individuation humaine à une régression.

Philosophie indienne La philosophie indienne est un ensemble de systèmes philosophiques originaires de l'Inde. On définit classiquement deux sortes de philosophies indiennes selon qu'elles reconnaissent ou non l'autorité du Veda : les philosophies āstika (आस्तिक en devanāgarī) sont celles qui reconnaissent l'autorité du Veda et les Upanishads qui en sont la conclusion. Les différentes écoles āstika[modifier | modifier le code] Nyāya et Vaiśeṣika[modifier | modifier le code] Le Nyāya[modifier | modifier le code] L'école du Nyāya (en sanskrit न्याय, nyāya) est basée sur un texte appelé le Nyāya Sūtra. Mais le Nyāya n'est pas simplement une logique. Le Vaiśeṣika[modifier | modifier le code] Le système de Vaiśeṣika (en sanskrit वैशेषिक, vaiśeṣika), fondé par le sage Kanada, postule un pluralisme atomique. Bien que le système de Vaiśeṣika se soit développé indépendamment du système Nyāya, les deux ont par la suite fusionné en raison de leurs théories métaphysiques étroitement liées[9]. Le yoga de la connaissance.

Les Deux Vérités Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les Deux Vérités ou Les Deux Réalités, l'une relative et l'autre ultime, est une notion fondamentale du bouddhisme. Dans le bouddhisme la réalité est interprétée sous deux perspectives appelées Les Deux Vérités ou Les Deux Réalités. I. La réalité relative. Philippe Cornu déclare : « La réalité relative ou réalité d'enveloppement, réalité de surface, ou réalité conventionnelle se rapporte au mode d'apparence des phénomènes et de l'existence. II. « La réalité absolue désigne le mode réel des choses, leur nature essentielle et ultime[1]. » Georges Dreyfus ajoute : « L'importance de l'enseignement des deux vérités est bien révélé par Nagarjuna lorsqu'il dit que l'enseignement du Bouddha est entièrement basé sur les deux vérités, la vérité conventionnelle et la vérité ultime [...] Guy Bugault dit que « la distinction de deux vérités n'est pas une invention de Nagarjuna. Au niveau absolu, les deux vérités sont identiques. Georges Dreyfus explique :

Raymond Abellio Cet article peut contenir un travail inédit ou des déclarations non vérifiées (septembre 2016). Vous pouvez aider en ajoutant des références ou en supprimant le contenu inédit. Voir la page de discussion pour plus de détails. Raymond Abellio. Georges Soulès, dit Raymond Abellio (né à Toulouse le 11 novembre 1907 - mort à Nice le 26 août 1986), est un écrivain et philosophe gnostique français. Il a également été un homme politique des années 1930 et 40, occupant des postes de responsabilité à la SFIO avant-guerre puis, durant l'Occupation, au Mouvement social révolutionnaire (MSR) dont il sera l'un des dirigeants aux côtés de son fondateur Eugène Deloncle, puis à sa place. Son œuvre philosophique se développe à travers plusieurs essais et de nombreux articles montrant son approche de la gnose, questionnant le sens et les enjeux de la connaissance. Biographie[modifier | modifier le code] En 1945, Georges Soulès devient dès lors officiellement et définitivement Raymond Abellio[1]. Gnose

Kundakunda : s’émanciper des chaînes - ZONE CRITIQUE Posted by Eloïse in't Groen on mercredi, novembre 10, 2021 · Leave a Comment Alors que la fête de la lumière Dīpāvalī était célébrée par les jaïna il y a quelque jours, nous revenons sur l’oeuvre de Kundakunda, éditée cette année dans la collection “Rivages poche” par Payot, tant son influence résonne encore non seulement chez ses adeptes mais également dans la philosophie contemporaine occidentale. Réformatrice de la pratique religieuse, la conception de « l’absolu » kundakundienne ne manque pas de poser des enjeux didactiques bien actuels, en ce qu’elle interroge la transmission du savoir et participe d’une conception éducative de la philosophie. Kundakunda est un penseur majeur de l’Inde appartenant à l’école Digambara, branche du Jaïnisme, religion qui prône la fin des cycles de transmigrations de l’âme afin d’atteindre un état d’illumination. Le Soi éveillé : naissance d’un dualisme Transcendance et omniscience dans l’immanence Une traduction délicate Imprimer cet article Commentaires

Ikigai Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ikigai (生き甲斐) est l'équivalent japonais en français de "la joie de vivre" et "raison d'être". Bien que les significations soient identiques, les attitudes culturelles envers le concept sont différentes. Peu possèdent une raison d'être, mais ceux qui passent leur vie avec une passion pour quelque chose, peuvent être consumés par elle au détriment des rapports sociaux et d'un style de vie « normal ». Ainsi, il y a un aspect désirable et indésirable à avoir une raison d'être. Chacun, selon les Japonais, a un ikigai caché. (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Ikigai » (voir la liste des auteurs) Portail du Japon

Périchorèse La périchorèse (du grec: περιχώρησις perikhōrēsis, « rotation ») décrit la relation entre chaque personne du Dieu trinitaire (Père, Fils et Saint-Esprit). Ce terme désigne ce qui unit les Trois Personnes de la Trinité c’est-à-dire l’union consubstantielle (inséparable) dans un mouvement incessant d’amour par lequel le Père engendre le Fils dans l’Esprit[1]. Le mot latin circumincessio (plus tard circuminsessio) est utilisé pour désigner la même notion. Le terme, tel qu'il est utilisé dans la théologie chrétienne, a d'abord été employé par les Pères de l'Église. Il a été repris par des personnalités contemporaines telles que Jürgen Moltmann, Miroslav Volf, John Zizioulas, C. Baxter Kruger et d'autres. Les auteurs modernes utilisent le terme de périchorèse comme une analogie pour décrire d'autres relations interpersonnelles. Étymologie[modifier | modifier le code] Utilisation[modifier | modifier le code] Ensemble, ils spirent l'Esprit Saint. Trinitarisme social[modifier | modifier le code]

Kartikeya Hindu god of victory and war Kartikeya (Sanskrit: कार्त्तिकेय, IAST: Kārttikeya), also known as Skanda, Subrahmanya, Shanmukha and Murugan (Tamil: முருகன்), is the Hindu god of war. He is the son of Shiva and Parvati and the brother of Ganesha. Kartikeya has been an important deity in the Indian subcontinent since ancient times. It has been postulated that the Tamil deity of Murugan was syncretized with the Vedic deity of Subrahmanya following the Sangam era. The iconography of Kartikeya varies significantly; he is typically represented as an ever-youthful man, riding or near an Indian peafowl, called Paravani and sometimes with an emblem of a rooster upon his banner. Kaumaram is the denomination that primarily venerates Kartikeya. Etymology and nomenclature[edit] Kartikeya means "of the Krittikas" and the epithet is linked to the circumstances surrounding his birth. Birth and family[edit] In the Vana Parva of the Mahabharata, he is mentioned as the son of Agni and Svaha. Literature[edit]

Vipassanā bhāvanā Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Vipassanā bhāvanā ("vision supérieure" ou "vue pénétrante") est le nom d'une méthode de méditation dont le principe est de « prêter attention à la réalité ». Origine[modifier | modifier le code] La pratique[modifier | modifier le code] C'est une des pratiques de méditation les plus étudiées avec la Méditation transcendantale[1]. Dix-huit inspections[modifier | modifier le code] Stades[modifier | modifier le code] Souillures[modifier | modifier le code] Dans le Mahâyâna et le Hinayana[modifier | modifier le code] Références[modifier | modifier le code] Articles connexes[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code] (en) Vipassana Fellowship Bibliographie[modifier | modifier le code] William Hart, L'art de vivre, Méditation Vipassanā enseignée par S.N. Références[modifier | modifier le code] ↑ (en) Raymond J.

Géhenne Tombeaux dans la vallée de Hinnom. La vallée est associée de longue date à des cultes idolâtres, dont l'un inclut la pratique d'infanticides rituels dans le feu. Convertie ensuite en dépotoir dont la pestilence émane à des lieues à la ronde, la Géhenne acquiert dans la littérature juive ultérieure, tant apocalyptique que rabbinique et chrétienne, une dimension métaphorique, devenant un lieu de terribles souffrances, puis de demeure après la mort pour les pécheurs. Géographie[modifier | modifier le code] Carte de Jérusalem avec ses remparts à l'époque du Second Temple. La Vallée de Hinnom, commence non loin de la Porte de Jaffa et se dirige vers le sud à l’angle sud-ouest de la ville. Le Gue Hinnom dans la Bible hébraïque[modifier | modifier le code] La vallée de Hinnom est mentionnée pour la première fois dans le livre de Josué[1], afin de décrire la limite entre le territoire de la tribu de Juda et celui de la tribu de Benjamin. Il semble y avoir deux définitions de la Géhenne:

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