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Pragmatisme

Pragmatisme
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le pragmatisme est une méthode philosophique tournée vers le monde réel. Le terme désigne parfois un mouvement de pensée selon lequel n'est vrai que ce qui a des conséquences réelles dans le monde. Le mot pragmatisme est issu d'une école philosophique d'origine américaine, dont le fondateur est Charles Sanders Peirce. Peirce a proposé l'emploi du mot pragmaticisme pour distinguer sa démarche des usages non-philosophiques du mot « pragmatisme ». En effet, dans le langage courant, pragmatisme désigne, en anglais comme en français, la simple capacité à s’adapter aux contraintes de la réalité ou encore l’idée selon laquelle l’intelligence a pour fin la capacité d'agir, et non la connaissance. Les deux autres grandes figures du pragmatisme classique (fin XIXe siècle-début XXe siècle) sont William James et John Dewey. Présentation générale[modifier | modifier le code] Histoire du pragmatisme[modifier | modifier le code] Related:  FilosofiaPhilosophie et culture générale

Will Kymlicka Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Kymlicka. Travaux[modifier | modifier le code] La principale thèse de Kymlicka est d'apporter un cadre libéral à la revendication pour un juste traitement des groupes minoritaires. Ces groupes se divisent pour lui en deux catégories : les groupes pluriethniques ou immigrants, et les minorités nationales, dont le premier exemple est, pour lui, le Québec, au Canada même. elles sont présentes dès la fondation de l'État-nation ;elles ont déjà eu une autonomie ;elles ont une culture commune ;elles ont une langue commune ;elles ont des institutions propres. Ainsi selon ces critères il existe au Canada deux minorités nationales : les Québécois et les Amérindiens. En revanche et à l'inverse, les groupes multiethniques ne sont pas dans la même situation. Dans son ouvrage Multicultural Citizenship en 1995, Kymlicka développe son idée. un droit à la représentation. Publications[modifier | modifier le code]

Liste des écoles philosophiques Page(s) en rapport avec ce sujet : ÉCOLE PHILOSOPHIQUE D ALEXANDRIE. Bien des Anciens qui ont fait carrière... Or, si on consulte la liste des plus anciens «pensionnaires» de cette fo.... Cet article liste les écoles de philosophie et courants de pensée rattachant les philosophes. Doctrines générales Écoles philosophiques Les écoles de l'Antiquité Les écoles médiévales Les écoles modernes Écoles de philosophie religieuse Voir aussi Liste des philosophes par année de naissance Ce texte est issu de l'encyclopédie Wikipedia. Yuk Hui Hong Kong philosopher Yuk Hui is a Hong Kong philosopher and university professor. He is known for his writings on philosophy and technology. Hui has been described as one of the most interesting contemporary philosophers of technology.[1][2] Education[edit] Hui studied Computer Engineering at the University of Hong Kong, wrote his doctoral thesis under the French philosopher Bernard Stiegler at Goldsmiths College in London and obtained his Habilitation in philosophy of technology from Leuphana University in Germany.[3] Career[edit] Hui has taught at the Leuphana University, Bauhaus University, and has been a visiting professor at the China Academy of Art. Influence and concepts[edit] Hui works on the intersection between technology and philosophy. Bibliography[edit] Monographs[edit] Anthologies[edit] Edited volumes[edit] See also[edit] References[edit]

Dialectique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La dialectique (appelée aussi méthode ou art dialectique) est une méthode de discussion, de raisonnement, de questionnement et d'interprétation qui occupe depuis l'Antiquité une place importante dans les philosophies occidentales et orientales. Le mot « dialectique » trouve son origine dans le monde grec antique (le mot vient du grec dialegesthai : « converser », et dialegein : « trier, distinguer », legein signifiant « parler »). Elle aurait été inventée par le penseur présocratique Zénon d'Élée[1], mais c'est surtout son emploi systématique dans les dialogues de Platon qui a popularisé l'usage du terme. La dialectique s'enracine dans la pratique ordinaire du dialogue entre deux interlocuteurs ayant des idées différentes et cherchant à se convaincre mutuellement. Histoire[modifier | modifier le code] La dialectique dans l'Antiquité[modifier | modifier le code] Chez les présocratiques[modifier | modifier le code]

Counter-Enlightenment The Counter-Enlightenment was a term that some 20th-century commentators have used to describe multiple strains of thought that arose in the late-18th and early-19th centuries in opposition to the 18th-century Enlightenment. The term is usually associated with Isaiah Berlin, who is often credited with coining it, though there are several earlier uses of the term,[1] including one by German philosopher Friedrich Nietzsche, who wrote of Gegenaufklärung at the end of the 19th century. The first known use of the term in English was in 1908, but Berlin may have re-invented it. Berlin published widely about the Enlightenment and its enemies and did much to popularise the concept of a Counter-Enlightenment movement that he characterised as relativist, anti-rationalist, vitalist, and organic,[2] and which he associated most closely with German Romanticism. Counter-Enlightenment movement vs Enlightenment thinkers[edit] Counter-Enlightenment and Counter-Revolution[edit] See also[edit] Notes[edit]

Démonologie Le mot « démonologie » provient du grec δαίμων (daimōn), « divinité », « pouvoir divin », « Dieu »[1] et de -λογία (-logia), « la science », « l'étude ». Jusqu'à la fin du XIIIe siècle, peu d'intérêt était porté aux démons[réf. nécessaire]. Le Traité sur le mal de Thomas d'Aquin en 1272 rappelle que le diable est un hérétique, et que la sorcellerie un crime d'hérésie. Définition[modifier | modifier le code] Les objectifs de la démonologie sont d'opérer une classification hiérarchique des démons, de connaître leurs histoires et de comprendre leur façon d'opérer. Satan, Léviathan[3], Bélial et Lucifer sont quatre êtres différents. D'après Richelmus de Schental, abbé cistercien de Wurtemberg au XIIIe siècle, les démons se comptent par centaines de milliards. Développements[modifier | modifier le code] Michel Psellos est considéré comme une source incontournable de la démonologie par les théologiens de la Renaissance, une époque où le diable revient au centre des débats philosophiques.

Romantic epistemology - Wikipedia Romantic epistemology emerged from the Romantic challenge to both the static, materialist views of the Enlightenment (Hobbes) and the contrary idealist stream (Hume) when it came to studying life. Romanticism needed to develop a new theory of knowledge that went beyond the method of inertial science, derived from the study of inert nature (natura naturata), to encompass vital nature (natura naturans). Samuel Taylor Coleridge was at the core of the development of the new approach, both in terms of art and the 'science of knowledge' itself (epistemology). Coleridge's ideas regarding the philosophy of science involved Romantic science in general, but Romantic medicine in particular, as it was essentially a philosophy of the science(s) of life. What is Life? Were such a question proposed, we should be tempted to answer, what is not Life that really is? Background[edit] The idealist position was challenged by the Common Sense Philosophy of Thomas Reid. Role of imagination[edit] Method[edit]

Utopie L’utopie (mot forgé par l'écrivain anglais Thomas More, titre de son livre L'Utopie, du grec οὐ-τόπος / ou-tópos, « en aucun lieu ») est une représentation d'une société idéale, opposée aux sociétés réelles imparfaites. C'est un genre d'apologue qui se traduit, dans les écrits, par un régime politique idéal (qui gouvernerait parfaitement les hommes), une société parfaite (sans injustice par exemple, comme la Callipolis de Platon ou la découverte de l'Eldorado dans Candide) ou encore une communauté d'individus vivant heureux et en harmonie (l'abbaye de Thélème dans Gargantua de Rabelais en 1534), souvent écrites pour dénoncer les injustices et dérives de leurs temps. Une utopie peut désigner également une réalité difficilement admissible : en ce sens, qualifier quelque chose d'utopique consiste à le disqualifier et à le considérer comme irrationnel. Genre opposé, la dystopie — ou contre-utopie — présente non pas « le meilleur des mondes » mais « une utopie en sens contraire », selon F.

Naturphilosophie La Naturphilosophie (/naˈtuːɐ̯filozoˌfi/ː[1] Écouter, litt. « philosophie de la nature ») désigne un courant de pensée, essentiellement allemand. « Le concept germanique de Naturphilosophie, expression privilégiée du romantisme allemand, n'a pas d'équivalent linguistique en français ou en anglais »[2]. La traduction littérale en français par l'expression « philosophie de la nature » peut être trompeuse, car il a existé une philosophie naturelle bien avant que n'apparaisse ce mouvement. Il donc est préférable de conserver son appellation Naturphilosophie non traduite[3]. Définition du concept de Naturphilosophie[modifier | modifier le code] Les sources de la Naturphilosophie[modifier | modifier le code] Les thèmes de la Naturphilosophie[modifier | modifier le code] En réaction contre le mécanisme rigide de la physique mathématique d'Isaac Newton[9], alors paradigme dominant de la science moderne, la Naturphilosophie fait ressurgir la question du vivant, de l'organique, de l'organisation.

Élisabeth de Fontenay Élisabeth de Fontenay en 2009. Élisabeth de Fontenay, née en 1934, est une philosophe et essayiste française, philosophe reconnue de la question juive et de la cause animale[1]. Biographie[modifier | modifier le code] Famille, enfance et conversion au judaïsme[modifier | modifier le code] Elle est élevée dans la religion catholique, baptisée enfant, puis inscrite à l'âge de 5 ans au collège Sainte-Marie de Neuilly. À 22 ans, elle abandonne le catholicisme et se tourne vers le judaïsme ; elle détaille sa conversion dans l'ouvrage Actes de naissance, paru en 2011[1],[2],[3]. Carrière[modifier | modifier le code] Cette réflexion peut être rapprochée du courant actuel de la pensée posthumaniste représenté notamment par Peter Sloterdijk ou Donna Haraway. À la mort de Jankélévitch en 1985, elle fonde, avec notamment Pierre Michel Klein et Béatrice Berlowitz, l'Association Vladimir Jankélévitch. Elle fait aussi partie du Comité d'éthique ERMES[8], aux côtés notamment d'Henri Atlan. Et encore :

Fantôme dans la machine Le Fantôme dans la machine est une expression de Gilbert Ryle qui désigne de façon critique la conception selon laquelle l'esprit est une entité immatérielle logée dans le corps, conception qu'il attribue à René Descartes. Pour Ryle, au contraire, l'esprit ne diffère pas de l'activité du corps, bien qu'il appartienne à une autre catégorie conceptuelle que celle du corps, ce qui le conduit à une analyse critique du dualisme cartésien. Erreur de catégorie[modifier | modifier le code] Gilbert Ryle affirme que ceux, philosophes ou non, qui croient que l'esprit est quelque chose de distinct du corps font une grave erreur d'un point de vue logique. Pour lui, ce genre d'erreur est « catégoriel » et peut être illustré par l'exemple suivant : Une personne en visite à l'université d'Oxford qui, ayant fait le tour de tous les bâtiments – la bibliothèque, l'administration, les salles de cours etc. – dirait : « Je vois tous ces bâtiments, mais où se trouve l'université ? ↑ G. G.

Edgar Morin Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Morin. Edgar Morin Edgar Nahoum, dit Edgar Morin, né à Paris le 8 juillet 1921, est un sociologue et philosophe français. Biographie[modifier | modifier le code] Il s'intéresse très vite aux pratiques culturelles qui sont encore émergentes et mal considérées par les intellectuels : L'Esprit du temps (1960), La Rumeur d'Orléans (1969). Durant les années 1960, il part près de deux ans en Amérique latine où il enseigne à la Faculté latino-américaine des sciences sociales. Aujourd'hui directeur de recherche émérite au CNRS, Edgar Morin est docteur honoris causa de plusieurs universités à travers le monde. Il est membre du comité de parrainage de la Coordination française pour la Décennie de la culture de paix et de non-violence. Morin a écrit plusieurs ouvrages revenant sur son passé, dont Autocritique en 1959, Vidal et les siens sur son père en 1989 et Itinérance publié en 2006. Œuvre[modifier | modifier le code]

Trois âges de Vico Les trois âges de Vico sont un découpage chronologique de l'Histoire proposé par Giambattista Vico en 1725. Ce découpage est le premier des tentatives de conceptualisation d'âges en philosophie de l'histoire au XVIIIe siècle. Concept[modifier | modifier le code] Giambattista Vico publie, en 1725 et en 1744, ses Principes d'une science nouvelle relative à la nature commune des nations. Il s'agit pour lui de fonder une science de l'histoire afin de rompre avec la description historique linéaire. l'âge des dieux, celui de l'émergence de la religion, de la famille et d'autres institutions sociales de base. Chaque âge, soutient Vico, imprime sa marque sur les formes de production humaines (la langue, le droit, la morale, etc.). Postérité[modifier | modifier le code] Trois âges de Comte[modifier | modifier le code] Popularisation par Michelet[modifier | modifier le code] L'ouvrage de Vico est peu distribué en France. Notes et références[modifier | modifier le code] Portail de la philosophie

Stoïcisme Le stoïcisme est une école de philosophie hellénistique fondée par Zénon de Kition à la fin du IVe siècle av. J.-C. à Athènes. Le stoïcisme est une philosophie de l'éthique personnelle influencée par son système logique et ses vues sur le monde naturel. Les stoïciens sont particulièrement connus pour leur enseignement moral, selon lequel « la vertu est le seul bien » pour les êtres humains et les choses extérieures telles que la santé, la richesse et le plaisir ne sont ni bonnes ni mauvaises en soi (adiaphora, « ἀδιάφορα »), n'ayant de valeur qu'en tant que « matière sur laquelle la vertu peut agir ». De nombreux stoïciens romains, tels Sénèque et Épictète, soulignent le fait que « la vertu suffisant pour le bonheur », un sage devrait être émotionnellement résistant au malheur. Le stoïcisme s'épanouit dans la Grèce antique, puis la Grèce romaine et la Rome antique jusqu'au IIIe siècle apr. Sources[modifier | modifier le code] Étymologie[modifier | modifier le code] En grec, lekta.

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