background preloader

La motivation, enfouie au plus profond du cerveau ?

La motivation, enfouie au plus profond du cerveau ?
L'équipe de Mathias Pessiglione, chargé de recherche Inserm du "Centre de recherche en neurosciences de la Pitié-Salpêtrière" (Inserm/UPMC-Université Pierre et Marie Curie/CNRS) a identifié la partie du cerveau impliquée dans la motivation lors d'une action mêlant effort physique (La physique (du grec φυσις, la nature) est étymologiquement la « science de la nature ». Dans un sens général et ancien, la...) et mental: le striatum ventral. Les résultats de leur étude ont été publiés dans PLoS Biology le 21 février 2012. Les résultats d'une activité (Le terme d'activité peut désigner une profession.) Représentation 3D du système motivationnel (striatum ventral) activé lors d'un effort physique ou mental. © M. L'équipe de Mathias Pessiglione de l'unité Inserm 975 "Centre de recherche (La recherche scientifique désigne en premier lieu l’ensemble des actions entreprises en vue de produire et de développer les connaissances scientifiques. Référence: Related:  Cerveau Neuroscience Cognitif

Neuroplasticité Introduction : Un siècle environ d’études neuroanatomiques de plus en plus résolutives ont conduit à préciser l’organisation du système nerveux avec une très grande définition, mais en donnant en contrepartie la notion d’une fixité et d’une constance forte dans l’architecture cérébrale. Le fait que le cerveau soit constitué quasi exclusivement de neurones postmitotiques renforce cette notion de rigidité structurale, favorisant la recherche de gènes de structure à la base de la mise en place des réseaux nerveux. À ces idées sur le déterminisme génétique de l’organisation anatomique du système nerveux sont associées celles relatives à l’organisation fonctionnelle, relevant d’une conception localisationniste des fonctions cérébrales, issue notamment des travaux de Broca, à la fin du siècle dernier. Notion de neuroplasticité : considération du caractère dynamique de l’organisation cérébrale et de son fonctionnement – au-delà des questions de régénérescence 1- Prolifération : – interleukine-1,

Les talents naturels, passeport pour le plaisir au travail Si le plaisir au travail commence à intéresser, entre morosité fataliste, croyances anté-ferroviaires version “on n’est pas au boulot pour rigoler” et convictions erronées sur l’absence de marge de manœuvre ou de pouvoir d’agir, il reste souvent remisé au grenier des rêves à oublier ou confondu avec du divertissement (aaah, la table de ping-pong à côté de la compta!). Pourtant se régaler au boulot est possible… et exprimer ses talents naturels dans ses tâches professionnelles est un excellent moyen de gagner en satisfaction, en fluidité et en plaisir de travailler. Les talents naturels sont ces caractéristiques positives qui nous définissent tellement qu’elles sont indissociables de nous-mêmes et se manifestent, de façon plus ou moins consciente, souvent peu visible aux yeux d’autrui, au quotidien. Et ce n’est pas totalement surprenant. – du plaisir – du sentiment de satisfaction – du sentiment de trouver du sens à ce qu’on fait – de la fluidité dans l’action Redécouvrir nos talents

Percer l'un des grands mystères du cerveau Des chercheurs de l'Université McGill de Montréal découvrent un lien déterminant entre l'hippocampe et le cortex préfrontal. L'une des clés du mystère entourant certains troubles cognitifs et mentaux pourrait mettre en jeu deux structures du cerveau (Le cerveau est le principal organe du système nerveux central des animaux. Le cerveau traite les informations en provenance des sens, contrôle de nombreuses fonctions du corps, dont la...) que l'on croyait jusqu'à maintenant indépendantes l'une de l'autre, selon un groupe de chercheurs de l'Université (Une université est un établissement d'enseignement supérieur dont l'objectif est la production du savoir (recherche), sa conservation et sa transmission (études supérieures). Aux États-Unis, au moment...) "Nous avions toujours cru que l'hippocampe et le cortex préfrontal fonctionnaient de façon indépendante, précise la professeure Chudasama. Référence:

Le cerveau n'entend pas la négation Nos émotions commandent-elle notre raison ou notre intelligence doit-elle effacer nos sentiments ? On sait qu'après avoir essayé de mesurer l'intelligence par le Quotient Intellectuel, très controversé, les scientifiques ont étudié le QE, le Quotient émotionnel. Or la bonne gestion des émotions contribue à la performance de notre intelligence individuelle et collective. Roland Jouvent, Directeur de recherche au CNRS, a créé le "Centre Emotions" de la Salpêtrière et est intervenu lors de la dernière formation 1 soir 1 jour "Profession manager : passer de l'athlétisme au championnat olympique". Cette formation a rencontré un très vif succès. Des réactions ? Pour en savoir plus :Le cerveau magicien, Roland Jouvent, Odile Jacob, 2009Voyage extraordinaire au centre du cerveau, Jean-Didier Vincent, Odile Jacob 2008La décision, Alain Berthoz, Odile Jacob, 2003

Le cerveau et les principales fonctions cognitives - HAPPYneuron La mémoire est omniprésente dans la vie quotidienne. Elle nous permet de retenir toute sorte d’informations (souvenirs personnels, connaissances culturelles, procédures automatiques…) pendant une durée plus ou moins longue (de quelques secondes à toute une vie). Elle constitue le passé de chacun, ou plutôt la connaissance de celui-ci, et permet ainsi à quiconque de posséder une identité. Plusieurs formes de mémoire : Nous ne possédons pas qu'une seule mémoire même si nous avons tendance à envisager la mémoire comme un tout en disant avoir, de façon globale, UNE bonne/mauvaise mémoire ou en utilisant des phrases du style : ''Je dois avoir LA mémoire qui flanche !'' Mémoire verbale et mémoire visuelle La mémoire verbale permet de mémoriser par exemple une série de mots et de la rappeler après quelques minutes. Il existe différentes mémoires selon la durée du souvenir : Cliquez pour dérouler La mémoire à court terme ou mémoire de travail Les plaintes de mémoire Dans la vie quotidienne 1.

Estime de soi: redécouvrir nos talents Bonne nouvelle: vous n’êtes pas condamnés à l’horripilante triplette curieux/dynamique/motivé des canons de l’employabilité: la singularité de votre combinaison de qualités est une mine d’or à redécouvrir pour construire une confiance sereine et décontractée, vous rendre intéressant(e)s et désirable(s) professionnellement. Parce que les gens heureux n’ont pas d’histoire et que l’humilité est une vertu recherchée, il nous arrive rarement d’arriver à un dîner en ville en disant « oh la la, il faut que je vous raconte comment j’ai été altruiste/analytique/débrouillard* cette semaine ». On cherchera plutôt l’anecdote lose qui nous permettra de jouer l’auto-dérision et c’est sans doute très bien: c’est plus fun et ça entretient la conversation. Voilà donc deux raisons déraisonnables qui engendrent notre capacité très limitée à reconnaître nos propres qualités : – La confusion entre l’humilité, la modestie et la dévalorisation. Bref : il est temps de reconnaître nos qualités ! Voir aussi

pensée nom féminin (de penser) Ensemble des processus par lesquels l'être humain au contact de la réalité matérielle et sociale élabore des concepts, les relie entre eux et acquiert de nouvelles connaissances. Définie comme la représentation des idées et de leurs liaisons par l'esprit, la pensée apparaît comme le propre de l'homme – selon la formule célèbre de Pascal : « L'homme est un roseau pensant. » Elle est donc absolument essentielle, et, pour cette raison, elle fait l'objet de nombreuses analyses et critiques. L'éloge de la pensée Pensée et conscience Au sens large, la pensée est l'opération par laquelle le sujet s'aperçoit de ce qui lui advient : « Par le mot de penser, j'entends tout ce qui se fait en nous de telle sorte que nous l'apercevons immédiatement par nous-mêmes ; c'est pourquoi non seulement entendre, vouloir, imaginer, mais aussi sentir, est la même chose que penser » (Descartes, Principes de la philosophie). La pensée distingue le sujet des choses et des causes mécaniques. Pensée et connaissance

Entre le cerveau et la conscience : le temps Le livre de Benjamin Libet écrit trois ans avant sa mort en 2007 et traduit pour les éditions Dervy sous le titre L’esprit au-delà des neurones, témoigne d’une vie de recherche qui aura influencé autant les neurosciences que nourri nombre de débats en philosophie. D’ailleurs l’ouvrage, rétrospective des travaux et des découvertes du chercheur, porte un sous-titre programmatique qui atteste de cette double-entrée philosophique et scientifique : Une exploration de la conscience et de la liberté. Les travaux de Libet sont connus pour avoir mis en évidence l’existence d’activités neurales avant que n’émerge la pensée consciente. Autrement dit, que le cerveau travaille à notre insu et, en amont, prépare nos décisions conscientes, nous laissant ainsi avec l’impression quelque peu troublante qu’il (le cerveau) "décide" pour nous. La base du travail expérimental de Libet consistera à prendre en compte, de façon effective, l’accès conscient du sujet en première personne à ses états mentaux.

Related: