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Pyramide des besoins de Maslow

Pyramide des besoins de Maslow
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pyramide des besoins Théorie de Maslow[modifier | modifier le code] Présentation générale[modifier | modifier le code] C'est en 1970, dans la deuxième édition de son ouvrage Motivation and Personality, qu'apparaît l'exposé le plus complet de sa théorie de la motivation : la hiérarchie des besoins. Recherchant ce qui se cache derrière ces motivations, il met à jour cinq (groupes de) besoins fondamentaux : les besoins physiologiques, les besoins de sécurité, les besoins d'appartenance et d'amour, les besoins d'estime et le besoin d'accomplissement de soi. Maslow découvrit par la suite que les besoins s'inscrivaient dans le cadre d'une hiérarchie. Remarque : Lorsqu'un besoin précédent n'est plus satisfait, il redevient prioritaire. Relativité et progressivité[modifier | modifier le code] La représentation de la hiérarchie des besoins sous la forme d'une pyramide a généré bon nombre de malentendus et, par là même, des critiques infondées. Related:  communication

Pourquoi remettons-nous souvent les choses au lendemain La procrastination est la tendance (plus cognitive que pathologique comme nous allons le voir) à remettre systématiquement les choses au lendemain. Mais, rappelle le journaliste David McRaney sur son blog, la procrastination correspond à une idée reçue qui affirme qu’on est paresseux et qu’on gère mal son temps, alors qu’à la vérité, elle est alimentée par notre faiblesse à gérer nos impulsions. Un conflit cognitif entre le présent et le futur Si vous jettez un oeil à la file d’attente des films que vous projetez de voir (comme c’est le cas sur un service de VOD ou de prêt de DVD comme Netflix), vous constaterez qu’elle est constituée pour beaucoup de documentaires passionnants et de films d’auteurs, plus que des derniers blockbusters (qui demeurent toujours parmi les plus loués, comme le montre l’étonnante cartographie des locations de Netflix). Image : Marshmallow Tug of War photographié par Alex Tran. « Vous pouvez essayer de combattre ce penchant naturel.

Êtes-vous visuel, auditif ou kinesthésique? | www.joeannbenoit.com S'il y a un point commun, universel, qui relie tous les êtres humains quel que soit la race, la langue, la religion, l'âge, le sexe ou la culture, c'est que nous avons tous les mêmes cinq sens de base pour appréhender le monde qui nous entoure. En effet, les organes des sens, la vue, l'ouie, le toucher, l'odorat et le goût sont les premiers outils qui nous permettent de recueillir des informations, lesquelles sont envoyées à notre cerveau qui les traduit en représentations mentales. Le VAK - Visuel, Auditif, Kinesthésique - est une théorie de la communication qui part du postulat que les gens communiquent en privilégiant un de leur cinq sens. Les bénéfices d'un tel outil sont multiples. Quelques caractéristiques de chaque profil Habillement - le visuel aime être bien mis, suivre la mode, coordonner les couleurs. Ce ne sont là que quelques uns des 30 critères de base permettant d'identifier chaque profil. VAK et les enfants En général, tout jeune enfant est d'abord kinesthésique.

Imagine de ne pas prendre ce dernier chocolat La simple idée de déguster un chocolat peut parfois nous décider à passer à l'acte. Néanmoins, selon une nouvelle étude, si les gens s'imaginaient dévorer des chocolats étape par étape, avec à chaque fois le fait de croquer, mastiquer et avaler, ils auraient moins tendance à en manger s'ils en avaient l'opportunité. Ce type de réponse atténuée à un stimulus répété est connu sous le terme d'habituation. Carey Morewedge, de l'Université (Une université est un établissement d'enseignement supérieur dont l'objectif est la production du savoir (recherche), sa conservation et sa transmission (études...) Carnegie Mellon à Pittsburgh, et ses collègues ont utilisé des chocolats et du fromage pour montrer que le simple fait d'imaginer leur consommation suffit à provoquer une habituation à ces aliments. Morewedge et ses collègues ont trouvé que les participants qui avaient imaginé manger de grandes quantités de sucreries ou de fromage en avaient beaucoup moins consommé ensuite.

Sept lois à connaître pour être plus efficace au travail " La vie au travail comme à la maison, ne peut pas être mise en équation. Il y a pourtant des dizaines de lois empiriques qui la régissent sans que nous en prenions conscience. Mises à jour par des savants ou des praticiens, elles ont fait leurs preuves. En voici sept qui devraient aider le manager à bien s'organiser. 1. Définition : " Rien ne se passe jamais comme on l'a prévu ". Le pépin arrive toujours quand il ne faut pas et où il ne faut pas. >>> Faites de la paranoïa intelligente, dès que c'est important pour vous. 2. Définition : " Comme le gaz, le temps se dilate jusqu'à occuper la totalité de l'espace disponible ". Cette loi fondamentale s'applique à la gestion de son temps mais aussi de sa carrière et de sa vie. >>> Il faut donc borner son temps et celui des autres. 3. Définition : " Plus on dispose de place, moins on trie ". C'est une variante de la loi de Parkinson. >>> Restreignez vos zones de rangement. 4. >>> Inutile de gaspiller ses forces. 5. >>> Faites des pause. 6. 7.

LES DEUX LOGIQUES DE LA PERFORMANCE. Approche globale et intégrée pour bâtir la performance durable fondée sur la qualité La course sans fin vers toujours plus de compétitivité pose une question de fond. Jusqu'où peut-on pousser les gains de productivité sans dégrader les autres domaines de la performance : qualité, sécurité, innovation, satisfaction clients, développement RH, conditions de travail, climat social… ? Selon leur philosophie sous-jacente, on peut classer les réponses en deux catégories : • Les gains de productivité dégradent la qualité et les conditions de travail. • Loin de s'opposer, productivité, qualité et intérêt des salariés se renforcent. Les exemples ne manquent pas à l’appui de chacune de ces positions opposées. C’est l’objet de cet article, organisé en trois parties : • Illustration : cas du processus « Traitement des Réclamations » • De l’illustration aux enseignements généraux concernant la productivité • Approche globale et intégrée pour un management de la performance durable Ce cas a été retenu pour deux raisons. 1. 2. Cette dernière corrélation paraissait paradoxale. 3. 1. 2.

Cinq lois à connaître pour être efficace au travail (saison 2) " La vie, au travail comme à la maison, échappe à la logique mathématique. Mais il existe des lois empiriques, éprouvée par des scientifiques ou des praticiens, qui devraient aider le manager à mieux gérer son temps, son énergie et son équipe. Après les sept lois exposées dans la saison 1, en voici cinq autres dans notre saison 2 ! 1. Définition : " Plus l'activité est captivante, plus elle parait brève Les minutes ralentissent ou s'accélèrent selon l'intérêt qu'on porte à la tâche. >>> Allouez un budget temps à chacun des dossiers que vous allez traiter, dès le matin, et ce que vous démarriez par les plus faciles ou les plus pénibles. 2. Définition : " L'utilité d'un réseau est proportionnelle au carré de ceux qui l'utilisent ". C'est l'effet levier des réseaux sociaux, mis en équation par le créateur d'Ethernet, Robert Metcalfe. >>> Intégrez des réseaux physiques ou virtuels mais ne soyez pas toujours demandeur : apportez votre contribution de façon pertinente et régulière. 3. 4. 5.

Voir le monde à sa manière Nous sommes tous familiers avec l'idée que nos pensées et nos émotions varient d'une personne à l'autre, mais la plupart des gens pensent que la façon dont ils perçoivent le monde avec leurs yeux est généralement très similaire quel que soit les individus. Pourtant la taille du cortex visuel primaire, la zone à l'arrière du cerveau responsable du traitement de l’information visuelle, peut varier selon un rapport de un à trois chez les humains. Des chercheurs du Centre Wellcome Trust pour la neuro-imagerie à l'UCL (University College London) ont montré pour la première fois que la taille de cette région affecte la façon dont nous percevons notre environnement. Pour leurs travaux, les chercheurs ont utilisé des séries d’illusions d’optique qu’ils ont montrées à des sujets tests comme l’illusion d’Ebbinghaus représentée sur l’image ci-dessus. Grâce à l’IRM fonctionnelle, les chercheurs ont également pu mesurer la surface du cortex visuel primaire chez chaque participant.

Thérapie cognitive, principes • Une cognition, qu'est-ce que c'est ? Le mot "Cognition" vient du latin "Cognito" signifiant : une pensée. D'un point de vue formel, le terme "Cognition" comprend l'ensemble des connaissances, des croyances et des représentations mentales d'une personne ; Dans un sens plus large, cela inclut également les mécanismes par lesquels cette personne acquiert de l'information (démarches d'apprentissage), la traite, la conserve et l'exploite. Les cognitions sont liées à la perception, à l'éducation, à l'apprentissage, à la mémoire, à l'intelligence, à la fonction symbolique et au langage. Plus simplement, on pourra retenir que nos "cognitions" sont nos croyances et nos pensées. • Nos émotions sont le fruit de nos pensées." C'est là le principe premier de la thérapie cognitive : ce n'est pas le monde extérieur qui est la cause de nos émotions et de notre humeur, mais seulement la représentation que l'on en a et les pensées qui nous traversent l'esprit. Schéma d'après David Burns. 1. [Accueil]

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