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Dans la Silicon Valley, les geeks paient très cher pour envoyer leurs enfants dans des écoles sans aucun ordinateur.

Dans la Silicon Valley, les geeks paient très cher pour envoyer leurs enfants dans des écoles sans aucun ordinateur.
Une année dans une des prestigieuses Waldorf Schools californiennes coûte entre 13 000 € (école primaire) et 19 000 € (secondaire). Ces écoles sont littéralement remplies des enfants des cadres supérieurs des entreprises high-tech de la Silicon Valley (le Directeur Technique d’eBay, un grand nombre de cadres d’Apple, de Google, de Hewlett-Packard y envoient leurs enfants). Ce qui distingue ces écoles ? Les ordinateurs, ainsi que toutes leurs déclinaisons (IPAD, Smartphone,TBI…) sont interdits dans les salles de classe. (Et l’usage en est déconseillé à la maison). Quelles sont les raisons profondes qui poussent les parents – parmi les plus savants au monde en matière de technologie, on ne peut donc parler de “manque de connaissance” ou de “non prise en compte des enjeux de demain”… – à payer si cher pour mettre leurs enfants dans ces écoles ? [C'est aussi un point de singularité de l'histoire du monde. Related:  Processus d’apprentissage à l'ère numérique

SANKORÉ Session Inserm : Les nouveaux médias et le développement cognitif de l'enfant - CERIMES SANKORÉ Session Inserm : Les nouveaux médias et le développement cognitif de l'enfant Conférence-Débat : INSERM / SANKORE : ZOOM SUR LES NEUROSCIENCESQue disent les neurosciences sur l’Education numérique ? Les nouveaux médias viennent concurrencer les outils traditionnels de la transmission des savoirs et du développement des capacités cognitives.Dans un domaine où l'innovation est constante, la recherche devient rapidement obsolète. Cependant, une recherche abondante est déjà à notre disposition.Nous essaierons d'en dégager quelques grandes lignes et de proposer des axes sur lesquels les outils à venir pourront être évalués pour mettre en évidence leur valeur ajoutée du point de vue du développement de l'enfant.

Google Power Search course Google is the most popular search engine on the web. Most of us rely on Google search for finding information. Sometimes it can be difficult to find just the right information we are actually looking for out of the hundreds or thousands of results returned in Google’s search. Towards this end, in July 2012 Google created an online course called Power Searching with Google. The Google Power Searching course is available online on edX as an Xseries program. Go to Power Searching with Google Course The course is structured as a series of 6 modules, each of which comprises of 5-6 short video lessons. The instructor of the course is Daniel M. This Power Searching course introduces participants to the idea of search, how Google works, and gives them the methods, strategies and tactics to find what they need to find. This XSeries program in Power Searching with Google is open for all and self-paced, so everyone can learn at their own pace without being locked in a schedule.

Education et nouvelles technologies : y croire ou ne pas y croire Après un premier article polémique (voir Dans la salle de classe du futur, les résultats ne progressent pas), Matt Richtel a continué son enquête pour le New York Times sur le « pari éducatif high-tech ». Comme le montrait déjà le début de son enquête, ses derniers articles dessinent un fossé, une coupure assez radicale, entre ceux qui croient dans les vertus des technologies pour l’éducation et ceux qui n’y croient pas, avec des arguments aussi faibles dans l’un ou l’autre camp que ceux qu’on éprouve entre les tenants du livre papier et du livre électronique. La valeur des TICE dépend-elle du niveau d’argent dépensé ? Le second article de cette série s’intéressait donc au « boom des logiciels éducatifs », mais avant tout pour dénoncer leur manque de résultats effectifs. Ainsi, les évaluations de ces logiciels montrent qu’ils n’ont « aucun effet discernable » sur les résultats aux tests standardisés que subissent les élèves du secondaire aux Etats-Unis.

"L'école, le numérique et la société qui vient" ? Partager cette page Écrit par Élie Allouche L'idée centrale du livre : Le développement du numérique doit conduire à une refondation du projet scolaire et de l'ensemble des institutions académiques en intégrant ces technologies sur des bases scientifiques et humanistes. Changement de civilisation, changement d'Ecole : à quelles conditions ? Avec la généralisation des réseaux numériques, nous vivons un changement de civilisation équivalent à ce qui s'est produit avec l'invention de l'écriture puis de l'imprimerie. Plutôt que d'ignorer ce phénomène en le laissant à la sphère privée, l'Ecole doit en tenir compte sérieusement et méthodiquement en prenant toute la mesure des bouleversements en cours. Cette prise en compte suppose cependant qu'elle reste un lieu de socialisation, de narration et d'éducation à l'esprit critique qui ne transmet les savoirs qu'après un filtrage (et une exigence) à la fois scientifique et méthodologique. Bernard Stiegler et le concept de pharmakon Référence : D.

Impacts du numérique sur l'apprentissage «L'être et l'écran» «Le philosophe Dominique Lecourt analyse les bouleversements apportés par la révolution du numérique dans notre rapport à l’apprentissage et dans nos relations aux autres. » La Croix, le 24/09/2013 Apprend-on mieux sur un support papier ou sur un écran ? « Différentes études seraient plutôt en faveur du papier, mais la différence est faible [...] Futura Sciences, le 22/03/2013 Les enseignants plébiscitent le manuel numérique 90% des enseignants interrogés dans le cadre d’un sondage de Savoir livre estiment que le manuel numérique leur permet de mobiliser l’attention de toute la classe. Livre hebdo, 27 mai 2010. L’impact de l’usage des technologies numériques sur les apprentissages des élèves : qu’en dit la science ? Café pédagogique, 18 avril 2010 Les apports des TICELe rapport de la mission parlementaire de Jean-Michel Fourgous, sur la modernisation de l’école par le numérique "Réussir l’école numérique" consacre un chapitre aux apports des TICE dans les apprentissages."

Pour ou contre le numérique à l'école L'école remplit difficilement ses missions et doit évoluer. Ce constat est largement partagé aujourd'hui, mais les solutions proposées divergent beaucoup. Alors que l'Education Nationale fait de gros efforts pour renforcer la présence du numérique dans toutes les classes, les médias se font l'écho d'une autre tendance dans les écoles "alternatives" qui privilégient le travail manuel et interdisent absolument l'usage des ordinateurs. Le numérique à l'école : effet de mode ou promesse d'avenir ? Voici quelques pistes pour y voir plus clair. Stocklib©Cathy Yeulet Les principes Vincent Peillon, ministre de l'Education Nationale a lancé fin 2012 un plan pour faire entrer l'école dans l'ère du numérique. par Education_nationale Mais tout le monde ne fait pas confiance à la révolution numérique : s'y opposent bien sûr les partisans de l'école traditionnelle et du tableau noir, mais aussi les défenseurs de systèmes d'éducation alternatifs auxquels la presse s'intéresse souvent ces temps-ci. 1. 2.

La taxonomie DISCAS La taxonomie de DISCAS est un effort pour regrouper, à partir de l'examen des divers programmes d'études, les diverses habiletés et attitudes sollicités chez l'élève dans l'ensemble du curriculum. Ces 18 processus génériques, situés dans le tableau ci-dessous, constituent la taxonomie de DISCAS. Les 18 catégories (les 18 verbes, si l'on préfère) se retrouvent sous la colonne Processus, puisque ces verbes désignent, selon le cas, des processus cognitifs ou psychomoteurs (des habiletés) ou des processus affectifs (des attitudes) auxquels recourt l'élève dans ses divers apprentissages. Des exemples de verbes de comportement correspondant à chacun des processus se retrouvent dans la colonne voisine: Exemples de comportements. Les colonnes précédentes font ressortir les principes de regroupement de ces 18 catégories et la désignation du processus correspondant. Chacun des 18 processus est cliquable et donne accès à la fiche descriptive détaillée du processus en question.

La révolution cognitive Je vous recommande vivement cette conférence de Michel Serres, intitulée « Les nouvelles technologies, révolution culturelle et cognitive » (je suis tombé dessus grâce à un tweet de Jérôme Colombain). Outre la vigueur et la clarté de Michel Serres (qui sont impressionnantes), le propos est lui-même passionnant. Il y aborde la manière dont les ordinateurs et internet (ce qu’on appelle souvent les nouvelles technologies) sont en train de modifier radicalement, le temps, l’espace et notre cognition. Michel Serres compare la révolution « internet » à d’autres révolutions dans l’histoire de l’humanité - en lien avec l’émission, le traitement, la réception d’informations - : l’apparition du langage, l’apparition de l’écriture et l’apparition de l’imprimerie. Cela replace les choses dans une échelle temporelle intéressante. Mais si on perd, on gagne. La perte de mémoire, selon Michel Serres, est compensée par le fait d’être libéré de l’écrasante obligation de se souvenir.

L'écriture avec des tablettes et des ordinateurs est nécessaire à l'école Dans notre culture, l’écriture est une étape importante pour le développement neuro-psycho-affectif de l’enfant. En apprenant à écrire, l’enfant complète son développement neurologique. Il doit mettre en place des capacités de coordination visuo-motrice très fine puisque les lettres doivent avoir une forme précise, être tracée dans un ordre déterminé, et veiller à ce que les lettres respectent un stricte alignement horizontal. Sur le plan psychologique, l’écriture soutient l’abstraction, la généralisation, et la spatialisation. Jusqu’il y a peu de temps, l’écriture était associée au dispositif papier- crayon (ou ardoise-craie). Souvent, cette introduction est pensée en termes antagonistes : l’écriture numérique est opposée à l’écriture papier-crayon. Les enseignants savent l’importance de l’écriture en termes d’intégration de l’image du corps. Mais l’écriture peut également être un cercle vicieux, entrainant l’enfant toujours plus bas dans la mésestime de soi. Que l’on s’entende bien. N.

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