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Médias sociaux : après l'exclusion de Trump, la question de la censure et l'impératif d'évoluer

Médias sociaux : après l'exclusion de Trump, la question de la censure et l'impératif d'évoluer
Les plates-formes de médias sociaux sont coupables d’avoir sous-estimé les conséquences réelles de la désinformation largement diffusée via leurs canaux depuis des années. Elles semblent en avoir pris conscience suite à l’insurrection au Capitole du 6 janvier, qui a fait trembler la branche législative américaine. L’enquête en cours va sans doute révéler que la catastrophe démocratique a été évitée de peu. Dans les jours suivants, sans consulter qui que ce soit, sans même une réelle action coordonnée entre elles, Twitter, Facebook et YouTube ont supprimé de nombreux comptes, y compris ceux de Donald Trump. Google, Apple et Amazon ont exclu l’application Parler, utilisée par les trumpistes comme une sorte de base de repli. Pour agir de la sorte, les médias sociaux ont joué du flou de leur statut, jamais réellement précisé par la Loi sur les télécommunications de 1996, dont ils relèvent. Essayons toutefois de comprendre comment on en est arrivé là. La situation aux États-Unis

https://theconversation.com/medias-sociaux-apres-lexclusion-de-trump-la-question-de-la-censure-et-limperatif-devoluer-153247

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PROFESSEURS DOCUMENTALISTES & CDI Cet épisode de Blackmirror (Nosedive (chute libre) Saison 3 Épisode 1) pose la question du lien poussé à l’extrême entre les réseaux sociaux et la notion de popularité et des dérives engendrées. Contexte Nous sommes trois professeures documentalistes de l’académie de Guyane, tous les jours nous observons et accompagnons nos élèves dans leurs usages des réseaux sociaux. Nous faisons le constat d’une multiplication des signalements et des incidents à l’extérieur et à l’intérieur des établissements scolaires, liés à une utilisation inadaptée des réseaux sociaux et une viralisation extrêmement rapide de l’information, susceptibles d’avoir des conséquences graves (harcèlement, conduite à risques, mise en danger de la vie d’autrui, perte de confiance et d’estime de soi pouvant entraîner le décrochage scolaire…). Suite à une journée de formation (Nov 2017) et à une analyse continue de nos pratiques professionnelles, nous avons souhaité concevoir un jeu pédagogique.

Twitter, Facebook, réseaux sociaux et plateformes : un espace informationnel à réguler d’urgence ? Le 8 janvier 2021, le compte Twitter de Donald Trump était fermé par Jack Dorsey à la suite des émeutes ayant conduit à l’invasion du Capitole par une foule d’insurgés. Entre temps, Mark Zuckerberg annonçait que le compte Facebook de l’ex-président serait banni indéfiniment et immédiatement la capitalisation boursière de Facebook perdait 33,6 milliards de dollars. Plus tard, Jack Dorsey s’est exprimé pour justifier le bannissement du compte du président, mais il a aussi constaté qu’il convenait de faire à ce propos un constat d’échec. Mais de quel échec parle-t-on ? Depuis des mois et des années le président des USA s’adressait à ses 89 millions de « followers » pour leur délivrer à titre personnel différents types de messages.

États-Unis : pourquoi Twitter et Facebook sont accusés de censure par les pro-Trump A seulement trois semaines de la présidentielle américaine, Facebook et Twitter ont encore du mal à se positionner et à éviter les critiques. Les deux réseaux sociaux ont-ils censuré un article critique envers le candidat démocrate Joe Biden ? C'est ce qu'affirme le New York Post dans un éditorial publié mercredi. Les Républicains crient de leur côté à la partialité et plus surprenant : le patron de Twitter trouve la communication de sa propre plateforme "inacceptable".

Découvrir Snapchat : du divertissement à l'information - CLEMI Le CLEMI produit une série de modules vidéo à destination des enseignants, illustrant des cas concrets d’éducation aux médias et à l’information dans le premier et le second degrés. Objectif ? Développer l'esprit critique des élèves. Loi et réglementation des réseaux sociaux Les réseaux sociaux doivent respecter certains grands principes du Droit tant les contenus publiés engagent leur auteur, qualifié d’éditeur aux yeux de la loi pour la confiance en l’économie numérique. Ce dernier texte législatif le distingue de la responsabilité de l’hébergeur qui désigne le réseau social sur lequel le propos / la photo ou la vidéo est diffusé(e). L’hébergeur a une responsabilité limitée puisqu’aucune obligation de surveillance ou de filtration des données ne pèse sur lui à l’exception de certains cas. Il doit être prouvé qu’il a eu connaissance d’héberger des contenus “manifestement illicites” (racistes, négationnistes, cas d’atteintes à la vie privée ou en lien avec de la pornographie infantile) et n’a pas agi pour retirer au plus vite ces contenus. En ce sens, il a l’obligation de mettre en place un système de signalement facilement accessible et visible par l’internaute.

Mark Zuckerberg fait son mea culpa : Facebook aurait dû censurer l'appel aux armes d'une milice Le président américain Joe Biden a annoncé une série de décrets, avec au programme le changement climatique, l’immigration et d’autres questions cruciales Hier (mercredi 20 janvier), Joe Biden a posé sa main sur la bible et a prêté serment. Il est officiellement devenu le 46ème président des États-Unis.

BD " Dans la tête de Juliette " - CLEMI Les discours de prévention relatifs à l’usage du numérique par les jeunes, et tout particulièrement des réseaux sociaux et du smarpthone, revêtent souvent un caractère moralisateur qui peine à convaincre les adolescents. Ils ont souvent le sentiment que ces discours visent à critiquer leurs pratiques, à porter un regard négatif sur ce qui aujourd’hui constitue une partie de leur vie et même de leur identité. Le choix d’une bande dessinée éducative, basée sur le personnage de Juliette – l’adolescente de la famille Tout-Écran – qui vit avec son smartphone une séquence importante de son quotidien d’adolescente, vise précisément à aborder par la fiction des problématiques fortes telles que la captation de l’attention et des données, les algorithmes de recommandation, l’identité numérique ou encore l’évaluation de l’information.

Comprendre l'EMI Éducation aux Médias et à l’Information Texte écrit collaborativement en introduction aux journées départementales 2014-2015, coordonné par Marion Carbillet. 1. TRIBUNE. "Censure de Donald Trump sur les réseaux sociaux : Mark Zuckerberg maître du monde?" 19h00 , le 9 janvier 2021, modifié à 12h03 , le 10 janvier 2021 Olivier Babeau, président de l'Institut Sapiens, professeur à l'université de Bordeaux et essayiste (dernier livre paru : Le Nouveau Désordre numérique, Buchet-Chastel), revient sur la censure des comptes Twitter et Facebook de Donald Trump. Voici la tribune d'Olivier Babeau, président de l'Institut Sapiens : "Une crise démocratique peut en cacher une autre. Le fait le plus remarquable des récents événements américains est peut-être moins l'occupation spectaculaire du Capitole que la décision de grands réseaux sociaux de censurer le président encore en exercice. Peu importe que l'on approuve ou que l'on condamne l'attitude de Trump.

30 chiffres sur l'usage d'Internet, des réseaux sociaux et du mobile en 2021 4,66 milliards d’internautes dans le monde, 4,2 milliards d’utilisateurs des réseaux sociaux, 5,22 milliards de mobinautes, 6h54 passées en moyenne en ligne… Hootsuite et We Are Social dévoilent les chiffres de l’utilisation du web et des réseaux sociaux en 2021. Découvrez les chiffres clés d’Internet et des réseaux sociaux dans le monde en 2021. © We Are Social / Hootsuite La grande étude annuelle Digital Report 2021, publiée par Hootsuite et We Are Social, permet de connaître toutes les statistiques sur l’usage du web et des réseaux sociaux dans le monde. Parmi les principaux enseignements, l’étude montre que l’utilisation d’Internet, des médias sociaux et du mobile a connu une forte hausse en 2020. Internet en 2021 : les 10 chiffres clés

La « cancel culture » ou comment lyncher sans réfléchir sur les réseaux sociaux « Nouvelle censure » selon Le Nouvel Obs, débat « impossible » s’interroge France Culture, la Cancel Culture fait grincer des dents en France. La Cancel Culture, issue du verbe anglais « cancel » : « supprimer », « éliminer », « retirer »… pourrait se traduire par la culture de l’élimination appliquée à des hommes et/ou des organisations. Cette pratique préexistait ipso-facto bien avant sa dénomination « officielle ». Elle s’est paradoxalement concrétisée dans un monde dématérialisé. L’emploi du verbe anglais cancel au sens de la cancel culture remonte à 2015, mais son utilisation ne s’est popularisée comme le note Jesse Kinos Goodin qu’en 2018 après les événements liés au phénomène #MeToo en 2017. Un phénomène qui fait suite à des mouvements sociétaux

Twitter et Facebook ont pris le pouvoir face à Donald Trump après les violences du Capitole C'est sans précédent dans l'histoire des réseaux sociaux : le président des États-Unis ne pouvait plus s'exprimer sur Facebook, Instagram, Twitter mais aussi Snapchat ou Twitch et dans une moindre mesure YouTube après l'intrusion ce mercredi 6 janvier de militants pro-Trump à l'intérieur du Capitole, à Washington. Dans un premier temps, alors que les supporters du milliardaire républicain manifestaient dans un climat insurrectionnel, Facebook avait simplement supprimé une vidéo postée sur le compte de Donald Trump, puis suspendu temporairement son compte. Ce jeudi 7 janvier, le PDG de Facebook a finalement pris des mesures plus drastiques à l'encontre du locataire de la Maison Blanche. Mark Zuckerberg a annoncé que les comptes Facebook et Instagram de Donald Trump resteraient bloqués pour une durée indéterminée et pendant "au moins les deux prochaines semaines".

Instagram autant pour promouvoir qu’enseigner Aujourd’hui, presque tout le monde a un appareil photo-téléphone dans sa poche. Avec une qualité image se rapprochant des meilleurs appareils, tous peuvent s’improviser photographes. Les réseaux sociaux de partage de photos sont devenus hyper populaires auprès des jeunes, d’autant plus que les deux plus utilisés permettent de créer des « stories ».

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