Dow and Monsanto Join Forces to Poison America's Heartland
Written by Richard Schiffman, Truthout In a match that some would say was made in hell, the nation’s two leading producers of agrochemicals have joined forces in a partnership to reintroduce the use of the herbicide 2,4-D, one half of the infamous defoliant Agent Orange, which was used by American forces to clear jungle during the Vietnam War. These two biotech giants have developed a weed management program that, if successful, would go a long way toward a predicted doubling of harmful herbicide use in America’s corn belt during the next decade. The problem for corn farmers is that “superweeds” have been developing resistance to America’s best-selling herbicide Roundup, which is being sprayed on millions of acres in the Midwest and elsewhere. Dow Agrosciences has developed a strain of corn that it says will solve the problem. But this plan has alarmed environmentalists and also many farmers, who are reluctant to reintroduce a chemical whose toxicity has been well established.
Monsanto, 50 ans de scandales sanitaires
Malgré des condamnations à répétition, rien n'arrête la croissance du géant américain des phytosanitaires. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Soren Seelow La condamnation, lundi 13 février, du géant américain de l'agroalimentaire Monsanto, poursuivi par un petit agriculteur charentais intoxiqué par un herbicide, est une première en France. A l'échelle de l'histoire de la multinationale, centenaire, cette condamnation ne constitue qu'une péripétie judiciaire de plus dans un casier déjà très chargé. PCB, agent orange, dioxine, OGM, aspartame, hormones de croissance, herbicides (Lasso et Roundup)… nombre de produits qui ont fait la fortune de Monsanto ont été entachés de scandales sanitaires et de procès conduisant parfois à leur interdiction. Un géant de la chimie… explosif Depuis sa création en 1901 à Saint-Louis, le petit producteur de saccharine devenu un des principaux semenciers de la planète n'a cessé de défrayer la chronique. PCB : le procès de la honte Monsanto a fait appel.
Agent Orange Still Used In the U.S.
Agent Orange, or 2,4-D (2,4-dichlorophenoxy acetic acid), used as a defoliant during the Vietnam War, is nasty. It is linked to cancer, cell damage, severe hormonal disruption, reproductive problems and birth defects. Invented during World War Two, 2,4-D is one of the oldest legally available pesticides on the market. The Natural Resources Defense Council (NRDC) filed a lawsuit in federal court against the EPA on February 23 for failing to respond to a 2008 petition to cancel all registrations of 2,4-D. I am reminded of the lyrics to an Anti-Flag (a political punk band) song: “Radiation, Agent Orange tested on us souls, guinea pigs for western corporations.” I am sure by now that you want to do something. Avoid using any weed control products that contain 2,4-D, including ‘weed and feed’ products with this chemical. Here is what you can do to let your opinion about 2,4-D be known. Related stories Dow Chemical is Full of Greenwashing People’s Court Puts Agrichemical Giants On Trial
COMBAT MONSANTO
Rochefort : un éleveur attaque Monsanto et son désherbant Roundup - SudOuest.fr#xtor=EPR-260-[Newsletter]-20120303-[zone_info#xtor=EPR-260-[Newsletter]-20120303-[zone_info#xtor=EPR-260-[Newsletter]-20120303-[zone_info#xtor=EPR-260-[Newsletter]-20120303-[z
oustache fournie, chapeau de poète et veste en cuir. A priori, Jacques Maret n'est pas à la tête d'une multinationale agricole. Il le confirme et se dit « paysan »… Oui mais paysan bio, bien sûr. Éleveur d'un troupeau de bovins depuis seize ans, à Saint-Laurent-de-la-Prée, près de Rochefort, il s'est spécialisé dans le veau sous la mère. Une profession accaparante, qui n'empêche pas notre homme de mener son combat « pour la santé publique ». Avec le soutien de Générations Futures (1), Jacques Maret s'est notamment lancé à l'assaut de Monsanto, le géant américain des produits phytosanitaires (voir le documentaire d'Arte, Le monde selon Monsanto). Une véritable enquête Pour Jacques Maret, c'est déjà une petite victoire : « En 2009, nous avions envoyé un courrier au ministre de l'Agriculture pour lui demander de retirer l'autorisation de mise sur le marché de ce produit. Deux autres Roundup visés Toutefois, Jacques Maret ne baisse pas les bras.
Etude bidonnée par Monsanto a été validée par les autorités sanitaires
Photo : source Avant d’être commercialisés, les OGM sont-ils vraiment évalués avec la plus grande rigueur scientifique, comme leurs promoteurs le prétendent ? Toute entreprise sollicitant une autorisation de mise sur le marché de son OGM doit produire une évaluation censée démontrée que sa semence transgénique est inoffensive. Ces analyses sont réalisées par des laboratoires que les entreprises de biotechnologie rémunèrent directement. Les autorités sanitaires qui étudient ensuite le dossier, comme l’Agence européenne de sécurité des aliments (EFSA [1]), ne disposent ni de temps ni de crédits pour pratiquer leurs propres analyses. Que doivent évaluer les experts ? Le Mon810 « aussi sûr » qu’un grain de maïs conventionnel ? Concernant son maïs Mon810, Monsanto a affirmé en 2007 : « Comme il a été démontré dans ce dossier de renouvellement d’autorisation, Mon810 est équivalent à un maïs conventionnel à l’exception de sa protection contre certains papillons parasites ». Conflits d’intérêts
OGM : herbicides, mon amour
Près de 80% des OGM cultivés dans le monde sont des cultures résistantes à l’herbicide Roundup. Développées par Monsanto, ces semences génétiquement modifiées doivent permettre de faciliter le désherbage en supportant des pulvérisations de l’herbicide également produit par la firme. Mais une étude de l’Inra (Institut national de la recherche agronomique) et du CNRS (Centre national de la recherche scientifique) publiée en novembre 2011 montre que ce modèle biotech a atteint sa limite, à cause du développement dans les champs de mauvaises herbes également résistantes au Roundup. Aux Etats-Unis, l’apparition de « supers adventices » oblige ainsi les agriculteurs à multiplier les pulvérisations de Roundup, ainsi que d’autres herbicides complémentaires. Les données recensées par l’Inra affiche une augmentation de la consommation d’herbicides depuis l’introduction des OGM. Des OGM développés par les firmes productrices d’insecticides En ce sens, les semences RR® sont victimes de leur succès.
MONSANTO : Comment piéger les journalistes crédules – même de Médiapart ?
Le SMC propose une liste qui paraît tout à fait objective et est intitulée : « Réactions d’experts à propos du maïs GM provoquant des tumeurs » . Huit scientifiques sont cités et réagissent à l’étude de Séralini et on y trouve aussi 10 contre-arguments dont l’auteur n’est pas cité. Sans aucune surprise, toutes les réactions rejettent l’étude de Séralini. D’après Spinwatch , 70% de tout l’argent reçu par le SMC viendrait de l’industrie et la liste des donateurs comprend presque tous les grands de l’industrie des biotechnologies. Cette opération de désinformation semble avoir bien marché puisque les trois citations critiques mentionnées par Reuters contre l’étude de Séralini proviennent de personnes (Tony Sanders, Mark Tester, David Spiegelhalter) qui sont sur la liste qu’a fait circuler le SMC. Médiapart a publié le 22 septembre un article intitulé "OGM : une étude fait beaucoup de bruit pour presque rien" se référant, à notre grand étonnement largement au SMC.