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Le Conseil d’État ratiboise Monsanto

Dans les semaines à venir, le Conseil d'État devrait remettre en cause le RoundUp Express, le pesticide vedette du groupe Monsanto. Largement vendu aux particuliers, depuis plusieurs années, les effets secondaires de l'un de ses adjuvants n'ont jamais été testés, comme l'exige pourtant le droit. Ce 13 février, un agriculteur a obtenu gain de cause au Tribunal de grande instance de Lyon dans son combat contre la firme américaine Monsanto. La firme, qui fait appel, a été déclarée responsable de l’intoxication de cet exploitant qui avait inhalé accidentellement le pesticide Lasso. Au même moment Monsanto est la cible de plusieurs requêtes devant le Conseil d’État, demandant l’abrogation de l’autorisation de mise sur le marché (AMM) de trois de ses produits. Le même jour, 13 février, dans l’une de ces procédures, le rapporteur public du Conseil d’État s’est prononcé contre l’un des pesticides les plus distribués en France, le RoundUp Express. Acceptables Étiquette Related:  Roundup, Dicamba, herbicides et autres -cides

Dow and Monsanto Join Forces to Poison America's Heartland Written by Richard Schiffman, Truthout In a match that some would say was made in hell, the nation’s two leading producers of agrochemicals have joined forces in a partnership to reintroduce the use of the herbicide 2,4-D, one half of the infamous defoliant Agent Orange, which was used by American forces to clear jungle during the Vietnam War. These two biotech giants have developed a weed management program that, if successful, would go a long way toward a predicted doubling of harmful herbicide use in America’s corn belt during the next decade. The problem for corn farmers is that “superweeds” have been developing resistance to America’s best-selling herbicide Roundup, which is being sprayed on millions of acres in the Midwest and elsewhere. Dow Agrosciences has developed a strain of corn that it says will solve the problem. But this plan has alarmed environmentalists and also many farmers, who are reluctant to reintroduce a chemical whose toxicity has been well established.

Monsanto, 50 ans de scandales sanitaires Malgré des condamnations à répétition, rien n'arrête la croissance du géant américain des phytosanitaires. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Soren Seelow La condamnation, lundi 13 février, du géant américain de l'agroalimentaire Monsanto, poursuivi par un petit agriculteur charentais intoxiqué par un herbicide, est une première en France. A l'échelle de l'histoire de la multinationale, centenaire, cette condamnation ne constitue qu'une péripétie judiciaire de plus dans un casier déjà très chargé. PCB, agent orange, dioxine, OGM, aspartame, hormones de croissance, herbicides (Lasso et Roundup)… nombre de produits qui ont fait la fortune de Monsanto ont été entachés de scandales sanitaires et de procès conduisant parfois à leur interdiction. Un géant de la chimie… explosif Depuis sa création en 1901 à Saint-Louis, le petit producteur de saccharine devenu un des principaux semenciers de la planète n'a cessé de défrayer la chronique. PCB : le procès de la honte Monsanto a fait appel.

Mais qui dirige les fameux Sommets de la terre ? J’ai besoin de votre avis. Ce qui suit est une proposition de documentaire télé que j’ai adressé à une société de production parisienne, par le biais d’un de ses responsables venu dîner chez moi. Lequel, très emballé par le sujet que je lui présentais oralement, m’a demandé un texte qui lui permettrait de démarcher une chaîne télé. Car c’est ainsi que les choses se passent. Une idée est retenue par une société de production, parfois une très petite structure pleine d’énergie - tel était le cas -, puis elle est proposée à ce que le jargon professionnel appelle le « diffuseur ». La télé, donc. Que s’est-il passé avec ce que vous allez lire ? Avant, il n’y avait rien, et c’est logique. L’industrie transnationale pouvait-elle rester à l’écart de ce bouleversement culturel ? Maurice Strong, grand industriel Dans le domaine de la crise écologique planétaire, une figure émerge dès 1970, en la personne du Canadien Maurice Strong, né en 1929. Voilà pour le versant entrepreneurial de Strong.

Agent Orange Still Used In the U.S. Agent Orange, or 2,4-D (2,4-dichlorophenoxy acetic acid), used as a defoliant during the Vietnam War, is nasty. It is linked to cancer, cell damage, severe hormonal disruption, reproductive problems and birth defects. Invented during World War Two, 2,4-D is one of the oldest legally available pesticides on the market. The Natural Resources Defense Council (NRDC) filed a lawsuit in federal court against the EPA on February 23 for failing to respond to a 2008 petition to cancel all registrations of 2,4-D. I am reminded of the lyrics to an Anti-Flag (a political punk band) song: “Radiation, Agent Orange tested on us souls, guinea pigs for western corporations.” I am sure by now that you want to do something. Avoid using any weed control products that contain 2,4-D, including ‘weed and feed’ products with this chemical. Here is what you can do to let your opinion about 2,4-D be known. Related stories Dow Chemical is Full of Greenwashing People’s Court Puts Agrichemical Giants On Trial

COMBAT MONSANTO Climat : l’effet du CO2 est supérieur à celui des cycles solaires Une nouvelle étude réalisée par les scientifiques de la NASA indique que ce sont les gaz à effet de serre résultant de l’activité humaine, et non pas des variations de l’activité solaire, qui sont le principal facteur du réchauffement de la planète. Graphique : variation de l’irradiance solaire totale. Ces dernières années, elle a chuté à des niveaux les plus bas enregistrés depuis le début des observations satellitaires. La réduction résultante de l’énergie solaire influant sur le climat terrestre était d’environ 0,25 watts par mètre carré, soit moins de la moitié du déséquilibre total du bilan énergétique de la Terre. (Crédit : NASA / James Hansen) Goddard Institute for Space Studies, 30 janvier 2012 Cette étude actualise l’évaluation du déséquilibre du bilan énergétique de la Terre, c’est-à-dire de la différence entre la quantité d’énergie solaire absorbée par la surface de la Terre et celle restituée dans l’espace, sous forme de chaleur. Lire aussi : Hansen, J., Mki.

Rochefort : un éleveur attaque Monsanto et son désherbant Roundup - SudOuest.fr#xtor=EPR-260-[Newsletter]-20120303-[zone_info#xtor=EPR-260-[Newsletter]-20120303-[zone_info#xtor=EPR-260-[Newsletter]-20120303-[zone_info#xtor=EPR-260-[Newsletter]-20120303-[z oustache fournie, chapeau de poète et veste en cuir. A priori, Jacques Maret n'est pas à la tête d'une multinationale agricole. Il le confirme et se dit « paysan »… Oui mais paysan bio, bien sûr. Éleveur d'un troupeau de bovins depuis seize ans, à Saint-Laurent-de-la-Prée, près de Rochefort, il s'est spécialisé dans le veau sous la mère. Une profession accaparante, qui n'empêche pas notre homme de mener son combat « pour la santé publique ». Avec le soutien de Générations Futures (1), Jacques Maret s'est notamment lancé à l'assaut de Monsanto, le géant américain des produits phytosanitaires (voir le documentaire d'Arte, Le monde selon Monsanto). Une véritable enquête Pour Jacques Maret, c'est déjà une petite victoire : « En 2009, nous avions envoyé un courrier au ministre de l'Agriculture pour lui demander de retirer l'autorisation de mise sur le marché de ce produit. Deux autres Roundup visés Toutefois, Jacques Maret ne baisse pas les bras.

Etude bidonnée par Monsanto a été validée par les autorités sanitaires Photo : source Avant d’être commercialisés, les OGM sont-ils vraiment évalués avec la plus grande rigueur scientifique, comme leurs promoteurs le prétendent ? Toute entreprise sollicitant une autorisation de mise sur le marché de son OGM doit produire une évaluation censée démontrée que sa semence transgénique est inoffensive. Ces analyses sont réalisées par des laboratoires que les entreprises de biotechnologie rémunèrent directement. Les autorités sanitaires qui étudient ensuite le dossier, comme l’Agence européenne de sécurité des aliments (EFSA [1]), ne disposent ni de temps ni de crédits pour pratiquer leurs propres analyses. Que doivent évaluer les experts ? Le Mon810 « aussi sûr » qu’un grain de maïs conventionnel ? Concernant son maïs Mon810, Monsanto a affirmé en 2007 : « Comme il a été démontré dans ce dossier de renouvellement d’autorisation, Mon810 est équivalent à un maïs conventionnel à l’exception de sa protection contre certains papillons parasites ». Conflits d’intérêts

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