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Une Leçon de géopolitique du Dessous des cartes - Erdogan au cœur du conflit entre Arméniens et Azéris ? (07/10/2020) - Regarder le documentaire complet

Une Leçon de géopolitique du Dessous des cartes - Erdogan au cœur du conflit entre Arméniens et Azéris ? (07/10/2020) - Regarder le documentaire complet
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Haut Karabakh : une guerre turque La trêve au haut Karabakh n’aura pas tenu. Les forces arméniennes séparatistes et l’armée azerbaïdjanaise s’accusaient mutuellement d’avoir violé le cessez le feu moins de 24 heures après sa signature à Moscou. Cette trêve humanitaire avait été négociée par les ministres des affaires étrangères d’Arménie et d’Azerbaïdjan et devait ouvrir la voie à une rencontre avec les coprésidents du groupe de Minsk de l’OSCE (Russie, France, Etats-Unis), médiateur historique du conflit dans la région. Si la signature de ce texte était un beau succès pour la diplomatie russe, il n’aura pas duré. Le président azerbaïdjanais, Ilham Aliev, a dénoncé sur Twitter une « violation flagrante du cessez-le-feu » et un « crime de guerre ». Ce qu’on sait : depuis deux semaines, l’Azerbaïdjan a lancé́ une offensive militaire contre la petite république située dans le Caucase du Sud, perdue après l’effondrement de l’URSS au profit de l’Arménie. Un conflit asymétrique La Turquie sur tous les fronts

Méditerranée x Turquie – L’emprise d’Erdogan sur la Méditerranée orientale — NeoGeopo Les tensions en Méditerranée Orientale se multiplient au risque de cristalliser les différends entre la Turquie et des pays européens. Ainsi, les rivalités séculaires sont ravivées par Erdogan dont le néo-ottomanisme le mène à revendiquer territoires et ressources. Comme la Turquie est plus vulnérable qu’elle n’apparaît dans la sous-région, l’Union européenne gagnerait à apaiser cet espace stratégique. Les tensions en Méditerranée Orientale se multiplient au risque de cristalliser les différends entre la Turquie et des pays européens. L’activisme de la Turquie en mer Egée a suscité l’hostilité de son voisin grec.

Le projet de « swap » territorial entre l'Arménie et l'Azerbaïdjan dans la région du Haut-Karabagh en 2000 En 2000, l’Arménie et l’Azerbaïdjan considéraient le vieux projet d’échange territorial que les États-Unis avaient élaboré en 1992 : Ce plan, modifié à plusieurs reprises, prévoyait la reconnaissance par l’Azerbaïdjan de l’indépendance de la République du Haut-Karabagh et le transfert à l’Arménie du corridor de Latchine qui la relie à cette enclave, en échange du district de Meghri, qui aurait été octroyé à l’Azerbaïdjan. [...] En janvier 2000, au lendemain de la rencontre de Davos entre les présidents Robert Kotcharian et Gueïdar Aliev, cette tentative de troc a été accueillie favorablement par le ministre des affaires étrangères azerbaïdjanais, M. Vilayat Guliev, qui l’avait qualifiée de « percée historique ». Mais du côté arménien, les réactions officielles ont été tardives et embarrassées : le chef de la diplomatie, M.

Les séries au service d’une influence stratégique : le cas turc. – La Revue d'Histoire Militaire Les séries sont couramment marquées par la situation géopolitique et la politique internationale de leur pays de création. C’est le cas des séries turques qui connaissent un succès international depuis le début des années 2010. En 2013, elles secondent les séries américaines à 32 % des succès d’audience, et la valeur de leurs exportations s’élève à 300 millions de dollars cette même année[1]. Des Balkans à l’Amérique latine, leur succès est indéniable. Cet engouement peut s’expliquer par le fait que leur casting met en avant des femmes plus émancipées et l’image d’un Orient plus pro-actif. Ces aspects sont par ailleurs mis en valeur par des décors authentiques faisant écho au passé ottoman de la Turquie. Le succès des séries turques est aussi le résultat d’une volonté politique d’exporter vers l’international un modèle turc, permettant au pays de conquérir la place de puissance régionale incontournable. Ainsi, de nombreuses séries turques prennent pour cadre l’Empire ottoman.

Le Haut-Karabagh, territoire en voie d'étatisation - Mathieu Petithomme Les États de facto sont souvent présentés comme des zones grises isolées des relations internationales formelles, faisant face à d’importants problèmes internes et à des menaces extérieures [1]. Ces entités contestées sont largement perçues comme des territoires séparatistes illégitimes, si bien que les élites locales de Transnistrie ou des Républiques d’Ossétie du sud, d’Abkhazie, du Haut-Karabagh et de Chypre du nord sont toujours marginalisées lors des négociations de règlement des conflits. Considérées comme de marionnettes dans les mains de leurs États-parents, elles ne sont pas considérées comme des acteurs autonomes. Pourtant, bien qu’ils ne puissent faire entendre leurs voix au sein des forums internationaux, ils influencent plus ou moins directement les positions des États qui les protègent, tout en maintenant des revendications de souveraineté fondées sur leurs assises militaires, sur l’existence de populations permanentes et de capacités locales de gouvernance.

Combats dans le Haut-Karabakh : le début d’une nouvelle guerre entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan ? Tirs d’artillerie, blindés, bombardements… depuis dimanche 27 septembre 2020, le Haut-Karabakh, région du Caucase, est le théâtre d’affrontements entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan. Selon un bilan provisoire et partiel, plusieurs dizaines de morts sont à déplorer… Pourquoi cette région se retrouve-t-elle à nouveau au centre de tensions entre les deux anciennes Républiques soviétiques – chacune renvoyant à l’autre la responsabilité d’avoir déclenché les hostilités ? Guillaume Erner reçoit Florent Parmentier , politologue, secrétaire général du CEVIPOF/Sciences Po, chercheur associé au Centre de géopolitique de HEC. Auteur notamment de « Les chemins de l’Etat de droit, la voie étroite des pays entre Europe et Russie », ed. Le Haut-Karabakh "Nous sommes dans le Caucase, cette montagne de langues. A l'issue de cette guerre, un cessez le feu a été conclu en 1994. "En réalité, la situation est celle de deux pays qui pourraient se retrouver de nouveau sur le chemin de la guerre. Les alliances

Fascinant Empire ottoman Les relations entre le monde ottoman et l’Europe de la Renaissance : c’est de cela que traite « L’Empire du sultan », sous la forme d’une exposition longue et dense. Elle les évoque du point de vue artistique au sens large, de la peinture et de la gravure aux armures et aux automates. Mais, les relations artistiques étant indissociables des relations diplomatiques, militaires ou économiques, toutes ces données se trouvent présentes, de façon explicite ou plus discrètement. La période étudiée s’étend de la chute de Constantinople, en 1453, au début du XVIIe siècle, marqué par l’accord de paix de Zsitvatorok, signé en 1606. Il n’est pas inutile non plus de réviser ses connaissances artistiques, car le regard va de Dürer à Tintoret, de Hans Memling à Gentile Bellini, des graveurs allemands aux graveurs flamands. Lire aussi L’influence de l’Empire du sultan à Bruxelles

Combats meurtriers au Haut-Karabakh, l’Azerbaïdjan et l’Arménie au bord de la guerre, au moins 24 morts L’Arménie et l’Azerbaïdjan étaient au bord de la guerre, dimanche 27 septembre, des combats meurtriers ayant éclaté entre les forces azerbaïdjanaises et la région séparatiste du Haut-Karabakh, soutenue par Erevan. Aucun des deux camps n’a donné d’explication détaillée pour cette flambée de violence, chacun affirmant avoir répliqué aux provocations de l’autre. Les belligérants font état d’au moins vingt-quatre morts, dont des civils. L’Azerbaïdjan affirme avoir conquis des territoires, ce que l’Arménie a démenti, affirmant que l’armée azerbaïdjanaise avait subi des pertes, environ 200 militaires. L’Azerbaïdjan n’a, pour l’heure, pas communiqué sur ses pertes militaires. Un conflit majeur impliquant l’Azerbaïdjan et l’Arménie pourrait entraîner l’intervention des puissances en concurrence dans la région du Caucase, la Russie et la Turquie. La loi martiale instaurée en Arménie et en Azerbaïdjan Tribune : Haut-Karabakh : « On ne construit pas la paix sur l’injustice institutionnalisée »

Haut-Karabakh : malgré le cessez-le-feu, les bombardements continuent Forces arméniennes séparatistes du Haut-Karabakh et armée azerbaïdjanaise s’accusent mutuellement, dimanche 11 octobre, de ne pas respecter l’accord de trêve entré en vigueur la veille, et de poursuivre les bombardements de zones civiles. Dans l’après-midi, aucun échange de prisonniers ou de corps n’avait été annoncé, un objectif pourtant affiché du cessez-le-feu humanitaire négocié à Moscou, et qui devait entrer en vigueur samedi à 12 heures, soit 10 heures à Paris. L’Azerbaïdjan a accusé les séparatistes arméniens de ne pas respecter la trêve, faisant état notamment d’une frappe nocturne sur Gandja, deuxième ville du pays, qui a fait neuf morts civils. Accusations et contre-accusations Article réservé à nos abonnés Lire aussi A Erevan, la capitale de l’Arménie, « l’espoir de vivre en paix, c’est tout » Le président séparatiste, Araïk Haroutiounian, a affirmé dimanche matin que ses troupes respectaient « l’accord de cessez-le-feu » et a jugé la situation « plus calme » que la veille.

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